@kube

Captain Watch

score 3287

Kube

38 abonnements 48 abonnés

CANNES

  • 1909

    Notés

  • 29

    Envies

  • 0

    Alertes

“Le cinéma, ce salarié de nos rêves on peut l'acheter lui, se le procurer pour une heure ou deux, comme un prostitué.”

958 Pitchs

Point limite

Point limite (1964)

Point Limite est le Contre-Champs de Docteur Folamour. 🛩️

dimanche 3 mars 2024


Terrifier 2

Terrifier 2 (2022)

Merda d'artista - Piero Manzoni 🤡

jeudi 15 février 2024


Hiruko the goblin

Hiruko the goblin (1991)

C'est tellement con, dieu que c'est con. 👺

jeudi 1 février 2024


Gandhi

Gandhi (1982)

La figure de Gandhi est passionnante en elle-même... Le film est une commande de producteur, au mieux dogmatique, au pire totalement interchangeable, impersonnel... Autant lire la biographie du personnage, c'est pareil. Austria reprochait un "gommage de l'aspect ethnique". 🇮🇳

jeudi 4 janvier 2024


Désordres

Désordres (2022)

Si dans les Hommes le dimanche (1930) la population subissait le calvaire, montage, démontage de la vie infernale, pris au piège, de la belle et longue vie, ravi, ravi de voir enfin du désordre, sous l'horloger, les chants, le silence, la fumée : la révolution. Émotion. ⏱️

samedi 23 décembre 2023


Le Dîner de cons

Le Dîner de cons (1998)

Hostel (film, 2005) ☎️

mardi 19 décembre 2023


Les amours d'une blonde

Les amours d'une blonde (1965)

Des scènes hilarantes, belles et esthétiques, dans un gloubi-boulga de situations. Les amours d'une blonde, une réussite, un projet touchant et une annonce d'un grand cinéaste de l'image, du conte. Un bonheur. 🍾

mercredi 29 novembre 2023


Le bateau phare

Le bateau phare (1985)

Dans la nuit, un bateau phare guide les voyageurs. Dans la nuit, ils éteignent le phare. Qu'allons-nous devenir ? C'est le pari fou de ce projet solitaire. Une ile à la dérive, des hommes dans une situation tendue, un jeu d'enfant. 🦜

mercredi 29 novembre 2023


Annie Hall

Annie Hall (1977)

Woody Allen est un intellectuel, et un intellectuel s'adapte à toute forme de bêtise. Annie Hall dans son style pouvait être une comédie romantique pataud, il en fait de l'or, il en fait des étoiles, il en fait Annie Tout. 🎾

mercredi 29 novembre 2023


Mirage de la vie

Mirage de la vie (1959)

Dorénavant dans mon top 3 des meilleures fin du cinéma. 🎭

mardi 28 novembre 2023


L'Amour l'après-midi

L'Amour l'après-midi (1972)

Je pense encore aujourd'hui que Rohmer n'a rien fait de meilleur. Un film exaltant, extraordinaire, la palme de la meilleure voix off de l'histoire du cinéma, dans un élan de fantasme, et de jardin d'éden, ou l'idéal côtoie la réalité, d'une façon fracassante ! 💕

lundi 27 novembre 2023


Le Genou de Claire

Le Genou de Claire (1970)

Un film érotique ou l'érotisme est dans les yeux. Rohmer surenchérit les apparences, si loin, mais si proche de l'Aurore du Murnau, il propose un nouveau conte moral, une nouvelle histoire sur transat, un nouveau moment de beauté impressionniste. 🎾

lundi 27 novembre 2023


Five Nights at Freddy's

Five Nights at Freddy's (2023)

Et ! Toi ! (- Qui... Moi ?) - OUI ! TOI ! Tu as aimé le jeu Five Night's at Freddy's ? (- Eu... O- Oui, beaucoup, mais...) - SUPERBE ! Alors, Achète le livre ! Achète le film, et Bientôt, le Happy Meal ! Youpi ! Vive le consumérisme ! Vive le pigeonnât ! *The Living Tombstone* 🐻

lundi 27 novembre 2023


L’Ombre du feu

L’Ombre du feu (2023)

200 000 fantômes, et seulement 5 cadavres. A l'ombre du feu du petit garçon et du gros homme, la calcination de l'esprit et du corps. L'histoire d'une femme, d'un enfant et de deux anciens soldats en souffrance, c'est une histoire vraie, et terriblement vulgaire. 🍉

mercredi 15 novembre 2023


Killing

Killing (2018)

La Sagesse de Killing n'a d'égal que son souvenir d'une enfance révolutionnaire, détestable et punk... Dans ce littéral retour à la tradition et à la réaction, Killing est un film merveilleusement vieux, merveilleusement bis, et merveilleusement frustrant. 🥷

mercredi 15 novembre 2023


KOTOKO

KOTOKO (2011)

Avec Kotoko, on voit et on entend... Oui, la vieillesse se fait sentir, la sensibilité aussi, et pour une fois, malgré toute l'antipathie qu'a le cinéaste envers ses personnages : le spectateur a l'impression de vivre dans la peau squelettique d'une femme au bord du gouffre. 🤱

mercredi 15 novembre 2023


Haze

Haze (2005)

Tsukamoto fait ce qu'il veut, et il a décidé de faire du mauvais Aronofsky... C'est du cinéma positionné dans une posture totalement immature et adolescence, et ça donne Haze, un très, très mauvais, film d'horreur, et un très, très ridicule, film à tiroir. 🪝

mercredi 15 novembre 2023


Vital

Vital (2004)

Pataud, vulgaire, tire-larme... Il n'opère que dans le grand-guignolesque. Son sérieux outre mesure très adolescent vide le film de tout son titre : sa vitalité a mon désarroi absent... Heureusement que le concept est bon... ⚰️

mercredi 15 novembre 2023


A Snake of June

A Snake of June (2002)

Une première photo, comme les gouttes de la pluie bleue battante. Une histoire de voyeurisme, d'érotisme, de cinéma, et dans son aspect, son retour dans le passé, dans sa marginalité, les serpents en juin sont rassasiés face a tant de grandiose. 📸

mercredi 15 novembre 2023


Gemini

Gemini (1999)

Tsukamoto fait du commercial... Pour une fois, qu'il ne sait pas où se mettre... Trop tiraillé à copier son homologue Shūji Terayama, il échoue là où il a toujours réussi : la finesse vulgaire, la haine des autres, mais l'amour du grotesque... Seul le dernier se retrouve. 🩻

mercredi 15 novembre 2023


Bullet Ballet

Bullet Ballet (1998)

Bullet Ballet n'est pas seulement un joyau visuel déprave, mais il est aussi le symptôme d'une grande maladie : celui d'un jeune déjà vieux dans un monde a la dérive... Alors on danse sous les balles, et on se voit dans le miroir une dernière fois. De l'anti-Wong Kar-Wai. 👢

mercredi 15 novembre 2023


Tokyo Fist

Tokyo Fist (1995)

Fight Club peut bien aller se faire voir ! Ici, on ne fait pas dans la demi-mesure. Pour Tsukamoto, pas de concession : l'adolescent doit souffrir, la femme doit souffrir, l'homme plus que tout les autres. Avec Tokyo Fist : on prend des coups ! On saigne ! 🥊

mercredi 15 novembre 2023


Tetsuo II

Tetsuo II (1992)

Papi radote : il répète ce qu'il a déjà dit avec plus d'argent... Les réactionnaires devraient changer de disque... Ils leur collent à la peau... Mais aussi jeune ? 👁️

mercredi 15 novembre 2023


Tetsuo

Tetsuo (1989)

Tetsuo est malade : il est enfermé chez lui, dans sa crainte du monde, son caractère irrationnel et réactionnaire... La peur, peur totale et définitive de l'aliénation le pousse à se transformer en un objet : qu'on admire et utilise, un objet marginal. 🔩

mercredi 15 novembre 2023


Les Aventures de Denchu Kozo

Les Aventures de Denchu Kozo (1987)

Euuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu... ......Oui ? 🧛

mercredi 15 novembre 2023


PlayTime

PlayTime (1967)

La force de PlayTime c'est le vide qu'il provoque. Hulot, dans ce grand décor, la grande hypocrisie humaine, au milieu de la foule et du restaurant, vidé par tant de choses si palpables. Il est le seul cinéaste pastiche et satirique à atteindre cette forme de matérialité. 🏙️

mercredi 15 novembre 2023


Jour de fête

Jour de fête (1949)

Avec rien, il est tout : oncle Tati, sa vie, son œuvre, la fête constante du cinéma, qui ne s'arrête que pour voir les gens, leurs yeux, leurs gestes, et leurs problèmes... Vous ne verrez rien de mieux, de tous vos yeux. 🚲

mercredi 15 novembre 2023


Monnaie de singe

Monnaie de singe (1931)

M.A.R.X.S MonnAi derxSinges... Pour ma part, je le considère comme leurs plus brillants. Infiltration en mer et parfaite représentation de l'essence même de cette secte immense qu'est l'Argent, et tout ce qu'il y a autour : rien d'autre que l'océan. La Vanne ! 🛟

mercredi 15 novembre 2023


Un air si pur...

Un air si pur... (1997)

"L'air si pur" pue au prime abord... Mais il n'en est rien... Il souffre de son manque de séparation de ses influences, et de ses diatribes beaucoup plus proches de la littératures, mais réussi totalement à punir ses protagonistes, savoureusement ! 🐂

mercredi 15 novembre 2023


Yakuza contre triades

Yakuza contre triades (1995)

C'est juste Con et Nul a chier, a voir avec des bonnes bières ! (Et en VF !) 🩸

mercredi 15 novembre 2023


Ouragan sur le Caine

Ouragan sur le Caine (1954)

À l'horizon rien de fringuant, si ce n'est ce jeune homme arrivant sur un navire arriéré, qui prendra le large et les framboises... Une histoire qui méritait d'être contée, dans un cinéma de l'insurrection, et de la prise de conscience. Une image de l'Amérique anticommuniste. 🚢

mercredi 15 novembre 2023


Sciuscià

Sciuscià (1946)

Quelle horreur... De Sica a le secret des mélodrames. 🐎

samedi 4 novembre 2023


Saint Omer

Saint Omer (2022)

Vous avez l'air surpris. Pourquoi ? Il joue clair dans son jeu, la citation de Duras n'a rien d'anodin. Nous sommes face à une personne dans son essence de vraie, qui romance sa propre histoire, cet esprit entre le vrai, et le mécanique, en fait un grand objet de cinéma. 👶🏿

mercredi 4 octobre 2023


La soupe au canard

La soupe au canard (1933)

Avant Allen, les Marxs parlaient déjà, jouaient déjà. Quel bac à sable ! Les pâtés s'enchaînent ! D'un coup, nous rigolons totalement, d'une façon très grasse, devant cette fresque d'idées grandiloquente ! Et Éloquente ! Voyez-le ! 🎩

mardi 3 octobre 2023


Zelig

Zelig (1983)

Le burlesque et la subversion : pas de doutes, toute la fascination qu'on peut avoir pour ce caméléon, Woody Allen, métamorphose, main levée en salue à sa nymphe, lui, juif, derrière Hitler. Tout ce burlesque, cette satire, ce goût des choses simples, et intellectuelles. 🥸

mardi 3 octobre 2023


Hit Man

Hit Man (2023)

Comédie Sympa, même si je suis peu sensible. En-tout-cas, c'est familial, ça aurait pu être beaucoup plus virulent et subversif encore : il tenait une perle, lâché aux mains de Netflix, et de la morale. Il trouvera cependant son public, même parmi vous ! 👖

mardi 3 octobre 2023


Le mal n'existe pas

Le mal n'existe pas (2023)

Godard, Reygadas, 2023, et temps de temps, que nous avons traversé dans le brouillard des forêts, nous y sommes, dans la froideur, et dans la chaleur de l'être humain. Moderne, on dit ça, moderne, c'est une très grande œuvre de cinéma. 🪵

mardi 3 octobre 2023


愛是一把槍

愛是一把槍 (2023)

J'ai tout pour être conquis : cet aspect Kitano, enfantin, ces moments de contemplation, entre rêve et réel, sur la corde, comme son maître Bi Gan, et ses moments de grâce. Le résultat est cependant plus aléatoire, il a plus l'aspect d'un film très poseur, trop référencé. 🏖️

mardi 3 octobre 2023


Foto di gruppo

Foto di gruppo (2023)

Plan Plan... 🐶

mardi 3 octobre 2023


The Killer

The Killer (2023)

Je considère The Killer comme le meilleur, ou en tout cas, le plus réussi des films de David Fincher. Car il fait opposer son stratagème usé, son émo avec une arme, face à la réalité immuable du monde : cet univers imprévisible. 🍔

mardi 3 octobre 2023


La Bête

La Bête (2023)

Je pense que 0 film sera aussi exaltant, aussi f̸̪̈̈͌̚ǫ̷̛̭̮̂r̷̢͈̫̼͖͐̏ͅţ̷͈̣̇̈́͆̀͝, surréalist, naturalist possibl. tElle KvIrus d'1 ordi? l'2cran se d2s@gr2ge? nO̸s̵ ̷p̴e̶n̵s̴2̵e̶s̶ ̷l̵e̸s̴ ̴p̵l̷u̶s̵ ̷f̴r̴O̷I̷d̷e̴s̶_̶p̸r̵e̵nnent essence ??? la forme le fon ??? l4involontèr ??? 🪽

mardi 3 octobre 2023


L'affaire de la mutinerie du Caine

L'affaire de la mutinerie du Caine (2023)

S'illustrant comme le cinéaste de la violence, même post-mortem, dans son propre procès, Friedkin, adepte de l'expression "Frapper Fort, Viser Juste", dans la totalité du procès impossible de se perdre, de s'attendrir, simplement contempler l’attente, avant l'explosion. ⚖️

mardi 3 octobre 2023


Making Of

Making Of (2023)

Le point de vue d'un tournage, dans l'œilleton de la camera d'un stagiaire chargé des Making Off. Entre le touchant, le véridique, le contemporain, et une force de point de vue, qui peut trouver son essoufflement face aux clichés du genre. 📹

mardi 3 octobre 2023


Aggro Dr1ft

Aggro Dr1ft (2023)

Si vous voulez vivre une expérience intéressante : passez votre chemin. Si vous voulez voir l'autodestruction d'un cinéaste redoutable, en une espèce d'ersatz vulgaire de Godard, et vous palucher sur cette suite d'images clipesque : ce film est fabriqué pour vous ! 😈

mardi 3 octobre 2023


The Palace

The Palace (2023)

C'est un échec total... Polanski et Skolimowski voient le sucés de Triangle of Sadness et décident de faire pareil. n'étant pas foncièrement un cinéaste de la satire sociale, il en demeure une comédie très vulgaire et plate. Sauf le dispositif : le bug de l'an 2000... 🐧

mardi 3 octobre 2023


La parte del leone: una storia della Mostra

La parte del leone: una storia della Mostra (2023)

"Nous, à Venise, on est super sympa et très progressistes"... Aussi le festival : "Alors madame Varda, vous êtes moche n'est-ce pas ?". Inutile de perdre d'avantage de temps, c'est une pub. 🏆

mardi 3 octobre 2023


Pauvres créatures

Pauvres créatures (2023)

Je sors de ce film avec cette phrase de Shelley en tête : “Soyez donc des hommes, ou mieux : des surhommes !” Pas si différent de ses sobres origines, Lathimos envoie le paquet dans cette satire grotesque et steampunk, avec ces poupées parfaites (calme et sérénité, drôlesse). 🧠

mardi 3 octobre 2023


Un jeune Chaman

Un jeune Chaman (2023)

Un très, très, très beau film. Du fin fond de nulle part, l'humanité a l'air de subsister, et on a pourtant oublié ces belles créatures tribales et mythiques de la simplicité... Ils sont comme nous, juste plus vivant, plus captivant que jamais. 👺

mardi 3 octobre 2023


Ferrari

Ferrari (2023)

La vérité n'intéresse pas Mann, et c'est parfois bien le problème. En-tout-cas ce film qui exige quelque part une vision de la politique italienne, du libéralisme et des caractères, s'avère au final très rafistolée, monotone, sauf une seule fois : une envolée. 🏎️

mardi 3 octobre 2023


Stolen

Stolen (2023)

Ceci n'est pas un film Bollywoodien ou commercial. C'est très imparfait, parfois pompeux, mais part d'une intention noble, vraie : Alors que notre monde sombre dans l'obscurantisme et la post vérité, une femme perd son enfant dans une gare... Puis le film devient Mad Max... 🚑

mardi 3 octobre 2023


La Collectionneuse

La Collectionneuse (1967)

Je me souviens encore de ces discussions en bord de rive, cette ambiance délétère, mais nostalgique de l'été... Quelque part ces discussions, on les a tous vécues, quelque part ce film est la catharsis de nos souvenirs de jeunesse. 🏺

mardi 3 octobre 2023


Œdipe roi

Œdipe roi (1967)

C'est un jugement lent, un enchaînement d'extrêmes, nos yeux explosent, le sang gicle, et plus le temps passe, plus on se rend compte de la perfidie de l'ensemble. Œdipe Roi est un grand film, touchant, maîtrisé de bout en bout, énigmatique et tellement vrai. 👩‍🍼

lundi 2 octobre 2023


Accattone

Accattone (1961)

Premier essai chaste d'un Pasolini aux aguets, face à la misère du monde, la merde qu'il aime tant explorer, jusqu’à la fin, il aura troublé toutes tranquillité, toute intimité. Accattone, le voilà, décidément dans la merde... La merde a de l'avenir chez Pasolini. 🍝

lundi 2 octobre 2023


Des oiseaux, petits et grands

Des oiseaux, petits et grands (1966)

Pasolini considérait ce film comme son chef-d'œuvre. Et il avait raison. Confusius pensait que l'Oiseau était l'animal le plus sage possible. La sagesse ne se met pas en cage, chez Pasolini, même capturée, captivée, il s'envole, s'envole, s'envole, et nous emporte avec lui. 🐦‍⬛

lundi 2 octobre 2023


The Black Tower

The Black Tower (1987)

"Qui n'est à soi-même terrible, à nul autre ne saurait inspirer la terreur". Dans la tour noire de John Smith, que trouve-t-on ? ... Une terreur inestimable, introspective, conceptuelle, qui peut sonner au départ comme un symbole, qui au final devient un coup de couteau. 🏥

lundi 2 octobre 2023


Genèse d'un repas

Genèse d'un repas (1979)

Ne vous êtes-vous jamais demandé "qu'est-ce qu'il y a dans mon assiette" ? En partant de ce postulat, la question est répondue de fond en comble par Moullet, et dans toute la critique matérialiste de notre monde injuste. On frôle le film important à voir. 🍌

lundi 2 octobre 2023


Dogman

Dogman (2023)

Apparemment : Le ridicule ne tue pas... Dommage... Ce remake niais de Joker, aux dialogues raffinés, métaphoriquement clownesque, aussi fracassant puisse être ce crachas envers les drag-queen, Shakespeare, Piaf, et Marleen, nous oublions de souhaiter a Besson sa Démission. 🐕💩

dimanche 1 octobre 2023


Police

Police (1985)

Je vous laisse deviner de quoi parle le film. 🚨

samedi 30 septembre 2023


Sous le soleil de Satan

Sous le soleil de Satan (1987)

Si Dieu permet, spectateur, que de ce visionnage tu retires du fruit, pense toi-même si d’un œil sec. Je pus voir de près notre image tellement déformée, que, des yeux coulant le long du dos, les pleurs baignaient la croupe. ✝️

samedi 30 septembre 2023


หัวใจทรนง

หัวใจทรนง (2003)

WHAT THE FUCK ?!?!?!? 🌙

lundi 18 septembre 2023


Amour après amour

Amour après amour (2020)

"Wide as an ocean and deep as a puddle". Fort heureusement, le sens du cadre, la plasticitée Photographique, et la musique de Sakamoto peuvent maintenir quelques sens éveillés encore un instant... Mais quelle innocence... Quelle sagesse... Quelle vanité... 🌺

samedi 26 août 2023


/IMAGINE

/IMAGINE (2023)

L'IA n'est que comme un pinceau. L'artiste lui, continue de réfléchir, son intelligence_a Elle [(ou)lui)]] est authentique. 🎂

vendredi 25 août 2023


Fête de famille

Fête de famille (1998)

Dans l'industrie du "Too Much", Festen a tout de même deux ou trois armes pour lui afin de se défendre, et de conquérir les petits cœurs... Cependant, son dispositif proche du pseudo-réel, et son ambition de subversion sont incompatibles avec sa méthode tape l'œil, vain. 🍷

vendredi 25 août 2023


Anatomie d'une chute

Anatomie d'une chute (2023)

"Mesdames et messieurs, en guise d'introduction, voici un film sur la ruse - et la fraude. Sur les mensonges." (F is for Fake, Orson Welles). Anatomie de l'audio, Anatomie du visuel. Entre Preminger, Kurosawa, et cette singularité documentaire, Justine Triet en grande maitrise.🦮

jeudi 24 août 2023


Van Gogh

Van Gogh (1991)

Après tout, il allait de soi, que Pialat, ce grand moderniste aux fonds du naturel humain le plus proche, adapte un jour l'histoire d'un des artistes qui lui ressemble le plus. Mais il ne parle pas de son œuvre, non, il parle des choses, il parle des corps, pas des lignes. 🖼️

mardi 22 août 2023


Angle mort

Angle mort (2021)

L'image du mort qui commente l'ironie de la situation, du gouvernement assassin, de la mère prête a escalader la montagne pendant 4 ans pour au final... Rien... La république n'est que le nom d'une place. Le contraste fort, le tracé injuste, les larmes ensanglantées. 🧺

lundi 21 août 2023


À cœur perdu

À cœur perdu (2021)

Pas beaucoup d'intérêt dans ce petit film d'animation iranien mignon, si ce n'est la qualité exotique, paysagiste, et peut être symbolique. 🫀

lundi 21 août 2023


Charbon

Charbon (2023)

Tout débute comme un Cedric Jiminez ou le film "A plein temps", limité à lui-même, conceptuel et droit. Puis soudainement : Ladri di biciclette. L'affection avec ce protagoniste oublié, livreur Uber, est forte, juste. Une réussite. 🚲

lundi 21 août 2023


Poupées de chair

Poupées de chair (2022)

On pourrait penser que ça parle d'aliénation de la femme. Mais l'ambiguïté est tellement présente qu'elle banalise son propos et son film. C'est prévisible et la trame pour moi se limite à elle-même. On a manqué un film sur l'aliénation patriarcale ! 🚗

lundi 21 août 2023


Встреча

Встреча (2022)

Oui, ça va droit au but : on parle de souvenirs et de nostalgie. Le trait est malléable. Kentridge diffamait déjà les tracés et les contrastes pour de nouvelles formes, ici les figures. Un thème cher aux cinéastes, film qui me donne donc la furieuse impression de déjà vu. 🐟

lundi 21 août 2023


Masculine

Masculine (2018)

Ne tombant pas dans les écueils d'un film sur le thème de l'homophobie ou de la transphobie banalisée, Masculine est un huit clos sensuel aux deux acteurs symbiotique. En phase et dans une partie totalement iconographié, de divisions, de porno, de scission de l'écran. 👠

lundi 21 août 2023


Le Figuier

Le Figuier (2023)

Un film pour un jeu de mots, la coupe brutale fait penser à un mélange de François Rollin et de Luc Moullet. 🍏

lundi 21 août 2023


La Cuillere

La Cuillere (2022)

Allégorie de la femme/20 : simple, clair, et Pixaresque. 🪜

lundi 21 août 2023


The Delay

The Delay (2022)

À premières vues, on a un film à concept linéaire et sympathique. Mais il se transforme rapidement en Tati burlesque, la caméra lointaine, et le moment d'amour, la légèreté à l'italienne. Et cet acteur... 🎉

lundi 21 août 2023


Bruit Rose

Bruit Rose (2022)

C'est joli, c'est bien fait, c'est assez vain, pas grand-chose d'intéressant à dire dessus. 👶

lundi 21 août 2023


Les Huîtres

Les Huîtres (2022)

Une autre vision de 12 Hommes en Colère, sans condamnation, seulement des victimes arbitraires. Si l'imagerie est typique d'un court-métrage dogmatique, un peu scolaire, la fin, elle, sauve le film du Pathos, avec sa vision du radeau de la méduse, mais plus... féminin. 🦪

lundi 21 août 2023


Juste avant la nuit

Juste avant la nuit (1971)

Chabrol explore la culpabilité d'un tueur pervers, qui parasite le social, qui parasite ces riches aux pensées archaïques. "On est plus criminel quelquefois qu'on ne pense." Disait Voltaire. Vous n’êtes pas d'accord ? 🫳

lundi 21 août 2023


良夜不能留

良夜不能留 (2021)

24 Frames, d'Abbas Kiarostami, mettait fin au cinéma (moderne ?) avec une conclusion remplie d'espoir... L'amour ne meurt jamais... 4 ans plus tard, l'enfant de l'Iranien, enfant du Cinéma, renaît d'une aire nouvelle dans la nuit, se maintient. C'est fort. Trop pour moi. 🚦

lundi 21 août 2023


Blight

Blight (1996)

Jocelyn Pook, sa mélodie du malheur, et les fantômes entre les murs. John Smith en est l'exorciste, de ce qui est aujourd'hui qu'une route de quelques secondes. Pire que la dame blanche. Les fiance des rêves de la nuit, du jour, de la poussière, et de nouveau, de la musique. 🧱

lundi 21 août 2023


La Maison démontable

La Maison démontable (1920)

C'est impressionnant de bout en bout, sans coupures, sans fioritures, les perspectives se déforment, la maison de Keaton est celle de Maurits Cornelis Escher, et d'un cascadeur malade. Impossible de ne pas être ébahis devant si peu de temps de distance, d'onirisme ! 💘

lundi 21 août 2023


Les Photos d'Alix

Les Photos d'Alix (1980)

Le Eustache parfait pour l'art de la philosophie de l'image. Un film important pour penser l'image en soit, penser aux films, aux photos, aux interprétations, aux liens avec l'homme, et aux émotions spirituelles. 📷

lundi 21 août 2023


Les Hommes le dimanche

Les Hommes le dimanche (1930)

Le Cinéma, Le Vrai. Pour Deleuze, "La recherche de la vérité est l'aventure propre de l'involontaire". Pour Tarkovski, tout les films sont des liens au passé et à l'avenir, une répétition de Destin. Filmer le tracé de la vie, les instants, choses, gens. Un chef-d’œuvre. 🏞️

lundi 21 août 2023


La Carrière de Suzanne

La Carrière de Suzanne (1963)

C'est beau, c'est sincère, c'est une histoire mêlant amour, amitié, admiration, haine et moments de touchées, touchant, humain, et jeune. Rohmer, c'est l'antidote de l'art, les éléments disposés pour une petite histoire, et des petites émotions. J'en veux encore. ☕

lundi 21 août 2023


Les Chiens de paille

Les Chiens de paille (1971)

Grand film rejoignant la saga de la violence comme ordinaire, avec Délivrance, Orange Mechanique, et maintenant As Bestas. Les Chiens de Paille, nonobstant d'être le meilleur Peckinpah, est aussi un des films les plus traumatisant possible ! 👓

lundi 21 août 2023


Pat Garrett et Billy le Kid

Pat Garrett et Billy le Kid (1973)

Pat Garrett et Billy le Kid, deux icônes, deux traitements. Bob Dylan fait rythmer ce film d'une façon différente que ses autres films, un ralenti infini, élégiaque, parfois contemplatif, nostalgique, la mélancolie d'une histoire sans gentils, sans méchants, avec amour. ⛅

lundi 21 août 2023


La Horde sauvage

La Horde sauvage (1969)

Peckinpah l'engrenage invincible, aux 24 tours par seconde, il filme les champs de bataille chaotique comme Eisenstein filmait la guerre dans Alexandre Nevski. Mais ce sadique prend le temps en plus de ralentir l'image, pour nous montrer l'extrême violence plus longtemps. 🚂

lundi 21 août 2023


Coups de feu dans la Sierra

Coups de feu dans la Sierra (1962)

On ressort de Coup de Feu dans la Sierra avec beaucoup de tendresses, d'un voyage béni de récurrence du genre, mais déjà des balbutiements du Peckinpah maniaque d'après : le chaos des champs de bataille, l'enfer de la débauche paysanne. 👰‍♀️

lundi 21 août 2023


Le Souffle de la tempête

Le Souffle de la tempête (1978)

Je ne suis pas certain qu'Alan J. Pakula a réussi à retranscrire cette idée du noir, du complot, de la peur d'un inconnu qui nous veuille du mal. La politique, c'est une grande histoire et des moments de réussite, mais aussi des moments de too-much. 🪦

lundi 21 août 2023


L'Homme de l'Ouest

L'Homme de l'Ouest (1958)

Les fantômes de la haine, trucages et mascarades, Mann et ses westerns, donc le genre a l'icône du passé, offre ici un film parfaitement sombre, sur la trajectoire d'une malchance morbide. Grand. 🏚️

lundi 21 août 2023


L'Appât

L'Appât (1953)

À chaque moment de ce grand voyage un allié deviens une nouvelle sorte d'ennemi. Qu'il est bon de voir Mann, sa folie des grandeurs vue d'un œil si petit, dans cette histoire de chasse, de ruse, et de rédemption. Coup de cœur. ☕

lundi 21 août 2023


Le Gaucher

Le Gaucher (1958)

Billy The Kid, nouvelle icône, nouvelle vision. Le Gaucher dépeint ce criminel comme un humain aux multiples erreurs, a l'aigreur et l'amertume émanant d'une cicatrice infernale. Des suites d'échecs criminels filmés comme infiniment petit, mais pourtant déjà infiniment grand. 🗞️

lundi 21 août 2023


Little Big Man

Little Big Man (1970)

Si vous voulez, considérez Little Big Man comme le Forest Gump des westerns... À boire et a manger dans ce film aux multiples points de vue, rentré en force et en lourdeurs, mais un moment d'anthologie : une magnifique scène de sexe, filmé comme un exercice de cardio. 🛖

lundi 21 août 2023


La Poursuite impitoyable

La Poursuite impitoyable (1966)

Penn et son amour des criminels. Il détruit toutes formes de manichéisme, mais rappelle l'indicible réalité de l'injustice à l'américaine. Le personnage de Marlon Brando, un raté charismatique, met du charme à ce drame social. Malgré cette romance mollassonne. 🚞

lundi 21 août 2023


Missouri Breaks

Missouri Breaks (1976)

Le film ne vaux principalement que pour son affrontement entre ces deux têtes d'affiche, et ça suffit amplement ! Brando et Nicholson en un regard font la démonstration dans des champs séparés de leur surpuissance. 🐦

lundi 21 août 2023


L'Ouragan de la vengeance

L'Ouragan de la vengeance (1966)

L'homme de l'enfer provoque une nouvelle tornade. Il y a toujours un ennemi quelque part, des buissons secs, de l'autre côté de la montagne, dans la maison dans laquelle on est bien caché. Nicholson l'a bien compris. Millie Perkins, elle, met un agréable froid. Un grand film. 🪵

lundi 21 août 2023


La Mort tragique de Leland Drum

La Mort tragique de Leland Drum (1966)

Le plus grand western qui existe sur la planète : le plus moderne, radical, paranoïaque, l'élégie de la traversée d'un désert aride, qui dessèche la tête, l'esprit, les émotions. La paranoïa, elle, distillée çà et là comme une oasis. une force hasardeuse. Frissons garantis ! 🏜️

lundi 21 août 2023


Les Cheyennes

Les Cheyennes (1964)

On dit que le voyage est meilleur que la destination. La destinée des Cheyennes, elle, vous repose sérieusement la question. En fait elle en pose pleins. Est-ce que l'Amérique a déjà été innocente ? Quel était son alibi ? Comment se défend-elle de ce crime odieux ? 🏫

lundi 21 août 2023


La Poursuite Infernale

La Poursuite Infernale (1946)

Icône, héros du pays, qui sombre, qui sombre... Plongeon dans la tyrannie de l'amour, l'ange de la vengeance devenu héros couvre l'image de son ombre. Soudain, un chihuahua braille une étincelle, me faisant poser une question : John Ford, a-t-il peur du Noir ? 🐄

lundi 21 août 2023


Les 2 Cavaliers

Les 2 Cavaliers (1961)

Ou le cinéma aux icônes, et aux icônes aux manques de binarités. Ils sont peut-être deux, mais pourtant pleins. Lentement la boite à musique se désagrège, la corde attend un nouvel Indien a pendre, l'Amérique au portait de Dorian Grey. Stewart est un fantasme de l’Amérique. 🪶

lundi 21 août 2023


L'Homme tranquille

L'Homme tranquille (1952)

Il n'est pas tiré par les cheveux de parler de misogynie. Oui, la morale est indépendante de la beauté morale, la vraie morale se moque même de la morale. Coup-de-poing par coup de blues, les prairies de l'amour prend des couleurs bien criardes chez Ford, en tout cas celui-ci. 🍻

lundi 21 août 2023


L'Homme qui tua Liberty Valance

L'Homme qui tua Liberty Valance (1962)

Ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste. Et il est juste de parler de force de Ford. Souffle de cigarettes de la nuit, l'écran de fumée de la vie, du western, de la force sans la justice, de la justice sans la force, et les deux. 🥩

lundi 21 août 2023


Les Contrebandières

Les Contrebandières (1968)

Un délire brut, et une coupure brutale. ⛰️

lundi 21 août 2023


Evil Dead 2

Evil Dead 2 (1987)

C'est de la merde, mais c'est trop bien ! 💀

lundi 31 juillet 2023


Brigitte et Brigitte

Brigitte et Brigitte (1966)

Luc en roue libre, angoissant et conscient de lui-même, comme un film de Marx Brothers diffusé sans musique dans l’obscurité. Jamais, à l'heure, Moullet, chaque nuit de voyages, raffinés et kaleidoscopique, cohérent dans son absurdité. 🚄

jeudi 27 juillet 2023


Loulou

Loulou (1980)

Son arme : le Cadre, sa toile : le Long Plan : chaque nouvelle instance d'amour, de touché, révélé par un simple champ, sans contre-champ, comme si Hitchcock s’était mis à faire du documentaire, moderne, de jeunesse, de printemps, et d'enfantines bouffées de sang. 👩🏻‍❤️‍💋‍👨🏻

jeudi 27 juillet 2023


Passe ton bac d'abord

Passe ton bac d'abord (1978)

Pialat sans déception, Pialat sans simulation, mais Pialat avec violence, et vision de la jeunesse, qui explose par de simples regards, parfois yeux dans les yeux, parfois plus voyeurs. Dieu que c'est touchant. Le meilleur, pour une fois, ce sont les mots. 🤵‍♀️

mercredi 26 juillet 2023


Caravaggio

Caravaggio (1986)

Certains cinémazographes et poètes de cinéma, considèrent les plus grands peintres comme étant des images du metteur en scène de la camera. Pinceau comme Vidéo. Si Greeneway est si proche et pourtant si loin de ses artistes, Jarman, lui, assume sa proximité au Caravage. 🍇

mercredi 26 juillet 2023


L'Île au trésor

L'Île au trésor (1986)

Raul Ruiz me déçoit... Oui visuellement (et ça compte énormément.) et thématiquement le film peut rentrer dans les racines de sa filmographie. Pour ce qui est du reste, tout est enfance qui part, qui reviens, qui s'éloigne de la poétique, plus de l'horrible violence. 🪙

mercredi 26 juillet 2023


Raging Bull

Raging Bull (1980)

Scorsese brutalise cette minable brute, avec coup, panache, musique et sortie de cadre. Ces moments entre tenue et détenu fait osciller la balance morale du spectateur, placé au milieu d'un mauvais coup, et toujours vu d'un mauvais œil. 🥊

mercredi 26 juillet 2023


Tout le monde aime Jeanne

Tout le monde aime Jeanne (2022)

Ce que j'aime particulièrement avec Jeanne, c'est sa capacité à être une humaine. Celle qui, comme nous, quand elle est posée, au quotidien, attend, marche, elle pense, a toutes sortes de choses, penses des histoires dans sa tête. C'est juste. 🐠

mercredi 26 juillet 2023


Muriel, ou le Temps d'un retour

Muriel, ou le Temps d'un retour (1963)

Le temps d'un retour... Ou quand la carcasse viens, laissant l’âme au loin. Dans ces braves rencontres, ou corps et décors s’entremêlent, ou cicatrices s'ouvrent comme coupures, coupures, coupures et encore des coupures. Renais, ou 1h57 de sommités. 💐

mercredi 26 juillet 2023


Policiers en colère

Policiers en colère (2022)

Écoutez remballez tout, les droitardés ont niqué le cinéma. Avec un pareil chef-d’œuvre inutile de continuer. Je dirais même, Apichatpong Weerasethakul, Albert Serra, Kelly Reitchard, Jonathan Glazer, ... démission pour tout le monde ! Bruno Chacal et Jean Vessie sont là ! 💩

mercredi 26 juillet 2023


Le Sacrifice

Le Sacrifice (1986)

Suggérer. Suggérer le mal, le pire, puis subvenir au meilleur. Ô, sûr, ce n'est pas dans les cordes de Tarkovski d'être aussi romantique, on l'approprierait plus à Bergman. Ce n'est pas anodin si le film commence par l'arbre de la source. Chimère, douce-amère. Touché, Coulé. 🍂

lundi 17 juillet 2023


Paris, Texas

Paris, Texas (1984)

Wenders a deux mains : dans l'une, il l'a l'humanité la plus simple, la plus amoureuse, la plus souriante, et la plus solitaire. Dans l'autre, il a le goût du voyage, du vent, du pays, de la vision. De Paris au Texas, tout est une question d'humain. 📞

lundi 17 juillet 2023


L'amour c'est gai, l'amour c'est triste

L'amour c'est gai, l'amour c'est triste (1971)

Une simple comédie, qui, comme son titre l'indique, n'est que gai et tristesse. Enfin bref une petite romance, très théâtralisé, oui je disais "comédie" dans son sens totalement scénique... Fort heureusement, le casting est passionnant, et Goya donne des couleurs au film. 🤵‍♂️

dimanche 16 juillet 2023


Tu imagines Robinson

Tu imagines Robinson (1968)

Un film qui comprend... - Quoi ? - Un film qui comprend, ce qu'est la projection. Un film qui comprend ce qu'est l'identification. Un film qui comprend ce qu'est le transfert. Et surtout un film qui nous fait sombrer, dans la folie de l'ennui. Fidèle donc, au vrai Crusoé. 🏝️

samedi 15 juillet 2023


Les Fruits de la Passion

Les Fruits de la Passion (1981)

Shūji Terayama nous aura habitué à son œuvre poétique, et son sens du cinéma comme visuel, comme tentative d'émotion intime, immédiate, découverte du monde, et sujet propre a chacun. Dans tout ça, il sali son film avec du sadisme humoristique, dommage... 🔞

samedi 15 juillet 2023


Rotterdam-Europoort

Rotterdam-Europoort (1966)

Beaucoup plus abrupt et impactant que son voyage a Valparaíso, plus bombardier, moins d'incendie, le film se paie le luxe de finir comme il a commencé : brutalement. Mais malgré toute cette vision faussée, le vrai, l'œil, subsiste, et ça fait mal. 🚢

samedi 15 juillet 2023


…A Valparaíso

…A Valparaíso (1963)

Cinéma comme voyage, films comme anecdotes. Le bateau débarque enfin, puis nous y sommes, la vallée du paradis. À l'instar de Robert Flaherty et sa mise en réel, il capture comme il voit, un parfait Ciné-Œil, une offensive Vertovienne. 🚠

samedi 15 juillet 2023


Les Astronautes

Les Astronautes (1959)

On a parfaitement ici, un film poétique, dans son sens le plus total, et dans sa forme la plus poussive qui soit. Par forme, j'entends la pathologie de la forme de Chris Marker et son comparse Walerian Borowczyk : leur pathologie de la forme absolue, et du courant continue. 🦉

vendredi 14 juillet 2023


Vive la baleine

Vive la baleine (1972)

Blue Whale Challenge. 🐋

vendredi 14 juillet 2023


Sans soleil

Sans soleil (1983)

Picture study. Étude sur l'image. Изучение изображений. イメージスタディー. Estudo de imagem. Suirte d- もっと多くの逸話がある qui font les chef-d'oeuvres du cinéma, et de o ensaio. Стихотворение - это попытка открыть нам глаза to see what we don't look at anymore. Il écrit un voyage, une bombe.🛩️

jeudi 13 juillet 2023


La strada

La strada (1954)

« Il lui semblait fort possible d’aller voir La Strada, comme cela, en passant, par jeu ou par tristesse, jusqu’à la fin de sa vie, qui pourrait être longue. ». Le plus beau, et le plus triste film, certainement... Aussi le plus fort, capable de briser toutes les chaînes. 🎺

jeudi 13 juillet 2023


La Soudaine Richesse des pauvres gens de Kombach

La Soudaine Richesse des pauvres gens de Kombach (1971)

Ce que le film avait de simplement excellent au début, est rendu totalement bouleversant et traumatisant à la fin. La patience est de mise pour ce spectateur affamé de justice. Dans notre monde ou l’exécution sommaire, sur les plus défavorisés, semble être la règle... 🍲

mercredi 12 juillet 2023


Fame

Fame (1980)

Évidemment, ça va sans dire, c'est un film daté, et certainement le film de l'enfance de beaucoup de personnes. Nostalgie mise à part le tout vise un affect d'un certain type de cinéma et de spectateur, au procédé convenu, pathos, dogmatique, clichtoneux, creux. 🩰

mardi 11 juillet 2023


Shoot the Moon

Shoot the Moon (1982)

Ridicule. Adepte de la culture du toujours trop, toujours plus, du m'a-tu-vu, et toujours trop loin, tirant sur le pathos, la disproportion, et le grand-guignolesque balourd. Ils cassent leurs assiettes à 1m de distance, et par équivaux : ils me cassent les couilles. 🛶

mardi 11 juillet 2023


Midnight Express

Midnight Express (1978)

Cinémato-Graphie. Parker positionné, dépeignant tel la nuit de Ferdinand Hodler et sa palette décolorée, les prisons tortionnaires et les injustices. Sujet lourd, alourdi, par un symbolisme aguicheur, et une culture du toujours plus, et toujours trop, mais sur la ligne. 🇹🇷

mardi 11 juillet 2023


Le Syndrome chinois

Le Syndrome chinois (1979)

Définitivement un souvenir de cinéma, sur un objet des oubliettes. La mire de barre montre une nouvelle facette des couleurs, transmission d'une nouvelle information, d'une nouvelle cacahuète, et pourtant d'un nouveau tremblement de terre, et d'une nouvelle tension, nerveuse. 📺

mardi 11 juillet 2023


Les Chariots de Feu

Les Chariots de Feu (1981)

Histoire clichée, ou un héros fort doute de lui, pendant que sa femme, écrite comme une pimbêche au foyer, sans caractère, lui dit "Tu ne t'occupes plus de notre amour, arrêtes le sport !" son amant lui répond "Non chérie, je t'aime, mais la course, c'est ma vie !". 🏃‍♂️

mardi 11 juillet 2023


Drive

Drive (2011)

Hana-Bi, en moins bien, version InThePanda. 🦂

vendredi 7 juillet 2023


It Follows

It Follows (2014)

As-tu compris ? C'est une métaphore du sida ! C'est subtil hein ? 🚗

vendredi 7 juillet 2023


Jeremiah Johnson

Jeremiah Johnson (1972)

Débute comme un film d'appel a la nature illustratif... S'emboite comme une épopée d'un homme et des tribu autours de lui... Deviens une course a la violence... Au final, Jérémiah Johnson est comme le miroir américanisé du message Herzog-ien : la montagne est un stade. 🐻

vendredi 7 juillet 2023


La Chute de l'Empire romain

La Chute de l'Empire romain (1964)

Mann est un homme malin. Une chute lyrique en beauté, en matérialité, en crédibilité. Le dilemme moral, lui, et le processus de catharsis par des personnages identificateurs, est total. Cette chute, propulsée par le pouvoir, chute géométrique, Virgilienne. Meilleur Péplum. 🏛️

jeudi 6 juillet 2023


La Colline des hommes perdus

La Colline des hommes perdus (1965)

Inutile de commenter davantage. Tout a été fait, tout a été dit, tous les mécanismes du pouvoir, de législation, de violences constantes, dans l'organe du cinéma perdu. Perdu, il est, tout a été fait, pourquoi faire d'autres films ? L'écran de fin est une épreuve. 10/10 - ☀️

mercredi 5 juillet 2023


Travail au noir

Travail au noir (1982)

Guerre dupe, guerre méfait de Dieu. Des hommes réduits aux rangs de médiocres, cachés de vérité, cachés d'informations, d'une information cruciale, survivent comme ils peuvent dans une version mouvementée des Raboteurs de parquet de Caillebotte. Art visuel, un grand film. 🧤

mercredi 5 juillet 2023


Accident

Accident (1967)

Absolument jubilatoire, de toute beauté, les sommets du cinéma de l'image, de la simple image, une image craquelée, ensanglantée de la bourgeoisie anglaise, qui se précipite vers l'accident. Deleuze avait raison. L'extraordinaire et poétique violence des liens sacrés. 🎾

mercredi 5 juillet 2023


Yoyo

Yoyo (1965)

En l'état, ce film de clown regorge, par sa force a inventer un nouveau langage visuel, a changer constamment de route, miroir comique de la tragédie, miroir tragique de la comédie. Un film a la folle allure, Un film qui respecte son spectateur. Coup de cœur. 🐘

mercredi 5 juillet 2023


Nonfilm

Nonfilm (2002)

Le concept est simple. C'est un Non-Film, avec une Non-Intrigue, de Non-Rebondissements, et un Non-Dénouement. La machine alors était lancée, la machine du purgatoire, du cauchemar sans queue ni tête, prenons du recul, et rigolons de la prochaine étape. 🎥

mercredi 5 juillet 2023


Au feu, les pompiers !

Au feu, les pompiers ! (1967)

Satire savoureuse du gouvernement communiste tchécoslovaque assez brillante, et très burlesque. V'la le pays qui brule, quand Forman a décidè de voir, avec ses yeux, voir l'impact des brulures, la panique dans un théâtre en feu, il suffit de s'emporter avec. 🚒

mercredi 5 juillet 2023


Birdy

Birdy (1984)

Passé l'idée, le concept, et les images particulièrement marquantes, de cet oiseau dans un corps de jeune homme au fin fond d'une taule, intercepté par un joli N. Cage. Le film peine vraiment à prendre son envol, et à dépasser la niaiserie de l'ensemble. 🐦

mercredi 5 juillet 2023


Du rififi chez les mômes

Du rififi chez les mômes (1976)

Je pense qu'Alan Parker est une version peut être parfois plus aboutie stylistiquement bien qu’inférieur dans l'effet de Christopher Nolan. A savoir : un réalisateur conceptuel. De son concept marrant, mignon, enfantin, en sort un plaisir enfantin, et une esthétique vaine. 🥧

mardi 4 juillet 2023


Pulsions

Pulsions (1980)

Après avoir vu ce film jetait pris d'une pulsion de passion terrible, celle de devoir adorer ce film troublant, ce film iconographe, ce film totalement fou et ambitieux, qui fait ce que Hitchcock s'interdisait de faire : le contre-champ. ⚧️

mardi 4 juillet 2023


Shampoo

Shampoo (1975)

Une homme aime trop les femmes. Les femmes se laissent aimer. Dans une base qui sentirais l'ode a la misogynie d'un héros américain minable et typique, tout est passé a savon. C'est une belle et triste histoire de l’Amérique, une histoire pas si drôle. Acteurs sublimes. 🧴

mardi 4 juillet 2023


Jeanne Dielman, 23, quai du Commerce, 1080 Bruxelles

Jeanne Dielman, 23, quai du Commerce, 1080 Bruxelles (1975)

Décontenançant au prime abord. Si l'éloge de l'ennui de cette femme au foyer est magnifiquement montré par le système tout a fait mécanique de la fixité, et des gestes de cette brillante actrice, la troisième partie, elle, et Dieu même vous rangeriez, est doucement froide. 🥔

mardi 4 juillet 2023


Carmen

Carmen (1983)

Déjà beaucoup plus convaincu que par le précédent film de la trilogie. Ce n'est pas du a la sélection de l'histoire contée ici, bien plus universelle, mais par ce lien qui ne me touche pas, mais tracé par la danse, par le regard. Intéressant disons. 💃

mardi 4 juillet 2023


Noces de sang

Noces de sang (1981)

Plutôt déçu par ce voyage de noces et ce voyage de sang. Du flamenco parait, sans bruit, et c'est tout a fait louable, l'histoire d’être femme dans la douleur et le châtiment. Mais passé l'idée, je pense avoir surtout vu une jolie petite représentation. 💃

mardi 4 juillet 2023


Les désarrois de l'élève Törless

Les désarrois de l'élève Törless (1966)

La force des faibles, dit Jankélévitch, des faibles d'esprits divisent les faibles de corps. Voila le désarrois que je partage avec Törless, de ma complicité en tant que spectateur, a entendre la soumission par les supplices. Terrible film sur le harcèlement... 👨‍🏫

mardi 4 juillet 2023


La Marquise d'O…

La Marquise d'O… (1976)

Voir avec l’âme, l’âme de reconstitutions picturales, d'un amour pour les peintures Romantiques, et de tirades Shakespearienne. Avec cette pulsion naturaliste constante, et cette amour, de l'amour en ce jardin, de prospérité, et de la parole. 🕯️

mardi 4 juillet 2023


Umberto D.

Umberto D. (1952)

Pourquoi vouloir un héros surpuissant quand un vieil homme et son petit chien me touchent à ce point ? Bouleversant. Cette scène ou Umberto combat son envie de faire la manche est déchirant. Nos gouvernements, ne comprendront-ils jamais ? 🐶

mardi 4 juillet 2023


Le songe de la lumière

Le songe de la lumière (1992)

Le peintre, peintre original, peintre effacé, peintre en vue, peintre de ce qu'il voit, ses rêves, ses arbres, il voit. Le temps, lui, il ne le verra jamais, alors il trace ses marquages, il observe les courbures du soleil. Avez vous compris ? La camera est un pinceau. 🍋

mardi 4 juillet 2023


Hair

Hair (1979)

Forman est un metteur en scène malin. Et c'est vrais que si le film ne paie pas de mine sur le papier : une comédie musicale hippie aussi subtile qu'un gros poisson dans une petite marre, le résultat est suffisamment hypnotisant pour se laisser entrainer par la fin. ☮️

mardi 4 juillet 2023


Sparta

Sparta (2022)

Le Spartiate résiste a l'envahisseur... Laissez-moi vous raconter le centre de ce triste spectacle. Un Homme, résiste a ses pulsions pédophiles, en protégeant un enfant, qui résiste aux violences de son père. Ils sont des images des troubles enfouies au plus profond de nous. 🥋

mardi 4 juillet 2023


Les Vacances de Monsieur Hulot

Les Vacances de Monsieur Hulot (1953)

Ce qui caractérise ce bon Mr. Hulot c'est sa capacité a regorger d’inventivités a chaque secondes que dieux fait. La base du comique, la base du burlesque, cette grande figure agréable, cette grande figure qui fume la pipe, accompagné par la sublime musique de Alain Romans. 🏖️

mardi 4 juillet 2023


Mouchette

Mouchette (1967)

Mouchette est une histoire terrible, une histoire poignante, une histoire du mal, et du mâle dominant. Mouchette c'est vraiment le pire que l'on puisse voir de l’être humain, de l’âme, et le meilleur que l'on puisse voir au cinéma. Seul Bresson n'a peur de rien. 👗

mardi 4 juillet 2023


The Great Society

The Great Society (1967)

Une satire sur la société consumériste : jusqu'ici tout vas mal pour vous. Mais quand vous savez que vous regardez une œuvre d'art visuelle et vidéo, vous savez que vous avez fait le bon achat.

lundi 3 juillet 2023


I Don't Think I Can See an Island

I Don't Think I Can See an Island (2016)

Dieu que c'est simple. Dieu que c'est effrayant. Dieu que c'est beau. Dieu que c'est Mathématique. 🏝️

lundi 3 juillet 2023


Le pont n'est plus là

Le pont n'est plus là (2002)

Le bouddhiste reviens sur la rivière, et constate, comme le trottoir sur la route, que le pont n'est plus ici... Et Oui, le monde évolue, les choses changent, et il faut faire avec. Un film moderne. 🚦

lundi 3 juillet 2023


Le Deuxième Souffle

Le Deuxième Souffle (1966)

Un thriller noir exceptionnel signé le grand maitre Melville. Melville et son doux attrait de violence a dessein, ou le temps est signe d’arrêt de mort, aux cadres et acteurs sublimés par un sentiment global de pourriture, et de classe. 🚨

lundi 3 juillet 2023


Après le feu

Après le feu (2010)

Un film a la proposition visuelle forte. Que je trouve personnellement magnifique. Qui fait écho aux feux de forets en Corse, avec un dispositif expérimental facile a comprendre, et une direction artistique au petit ognons. Le coté pixelisé est une image qui m'attire. 🛤️

lundi 3 juillet 2023


L'Armée des ombres

L'Armée des ombres (1969)

Exceptionnel. Sublime. Effrayant. Sans retenue mais pourtant si juste, si ambiguë, un dilemme si fort. Bravo. 🪑

lundi 3 juillet 2023


Avant j'étais triste

Avant j'étais triste (2002)

"L’hétérosexualité est l'avenir des homosexuels", C'est hilarant ! 😭

lundi 3 juillet 2023


regards et sourires

regards et sourires (1981)

En dépit de certaines scènes Loach-esque, j'ai du mal a regarder ce film et a lui sourire comme je le ferais a ses autres... Nécessite peut être un re-visionnage. 🪩

lundi 3 juillet 2023


Black Jack

Black Jack (1979)

Je suis encore marqué par cette vision de ces deux enfants dans les prés, avec la petite fille qui donne un petit bouquet de fleur. Encore une fois le cinéaste est suffisamment sobrement dans la retenu pour ne pas sortir les violons a toutes épreuves de la vie. 💐

lundi 3 juillet 2023


Kes

Kes (1969)

Kes est un film absolument mémorable, humain et magnifique, aux prémisses simples, a la base touchante, et a l'ambiance sociale absolument remarquable. Ken Loach a la force de montrer des situations dans leurs plus simples appareils, cette subtilité qu'il perdra... 🦅

lundi 3 juillet 2023


Eût-elle été criminelle...

Eût-elle été criminelle... (2006)

J'ai encore des frissons. La France a la violence dans ses racines. D'un coté ça nous excite autant que ça nous fait peur. 👩🏻‍🦲

lundi 3 juillet 2023


We Are Become Death

We Are Become Death (2014)

Sublime Split Screen, beaucoup plus intelligent que Nolan. 🌏

lundi 3 juillet 2023


Les barbares

Les barbares (2010)

A lala c'est satanés gauchistes et arabes... Que des terroristes ! ✊

lundi 3 juillet 2023


L'art délicat de la matraque

L'art délicat de la matraque (2009)

Un film d'actualité donc... 🚔

lundi 3 juillet 2023


Rain

Rain (2004)

Il pleut des penis. Une foret de penis, une montagne de Penis, PENIS, PLUIE DE SPERME. AAAAAAAAH ! 🌧️

lundi 3 juillet 2023


Sinergias – Dialogo entre Albert Serra y Lisandro Alonso

Sinergias – Dialogo entre Albert Serra y Lisandro Alonso (2009)

Une discussion passionnante ! Entre deux artistes très similaires et pourtant très différents. Un anarchiste, proche de l'anomie par moment, dans une instinctivité documentaire, amoureux de figures de destructions, et de l'autre, un penseur, un chaman, harmonieux. 🎤

lundi 3 juillet 2023


Britannia Hospital

Britannia Hospital (1982)

Britannia Hospital est un film très drôle et régressif, mais aussi assez en deçà de ce que la trilogie a pu offrir en termes d'incisivité. Après devant tout ça, je me demande encore quel était cet attrait pour la destruction, la fin en tout cas est fascinante. 🚑

lundi 3 juillet 2023


Le meilleur des mondes possibles

Le meilleur des mondes possibles (1973)

Quelle chance que j'ai pu voir ce film ! C'est un grand délire, comme le précédent particulièrement jubilatoire, qui passe du coq à l'âne, c'est simple : on ne saurait l'arrêter. Et comme le précédent, il a cette verve révolutionnaire étudiante, qui le rend touchant. 🐖

lundi 3 juillet 2023


if....

if.... (1968)

Et si... Et si on ne se laissait pas faire. Et si on sortait d'un carcan. D'une injustice. Et si... Et si la révolution ne devait pas être seulement physique, seulement psychologique, mais aussi un miroir. Et si... Quel beau titre. 🤺

lundi 3 juillet 2023


Le Salaire de la peur

Le Salaire de la peur (1953)

Le film le plus stressant au monde, toujours dans la corde raide. Clouzot sait filmer des morts sur patte, il sait rendre la mort constante, pas étonnant que ça ait inspirer un cinéaste comme Freidkin. C'est juste dommage qu'il confirme ce que dénonçait Truffaut a son égard. 🚛

lundi 3 juillet 2023


La classe ouvrière va au paradis

La classe ouvrière va au paradis (1971)

Je me souviens encore de ces deux images en parallèle. Les petits écoliers qui marchent deux par deux vers la classe avec la maitresse et leurs petits cartables. Et les ouvriers au travail, qui marchent tous ensemble vers leurs asservissement, vers le paradis. 🧑‍🏭

lundi 3 juillet 2023


Missing

Missing (1982)

L'ironie est que malgré tout l'aspect bien pensant de cette fin, avec la musique très jolie mais peut être un peu hors sujet de Vangelis, la réalité, son son très violent, elle, interviens pendant nos petites discutions. Costa-Gavras cependant nous a habitué a plus incisif. 🐎

lundi 3 juillet 2023


Viridiana

Viridiana (1961)

Bunuel est un sauvage, il saccage. Dans sa grande farce, Bunuel detruit ce que de si grands artistes avait construit : l’harmonie. Ce chaos totalement incontrôlable rend ce film palmée (et totalement mérité) absolument incroyable, et terrifiant en même temps. ⛪

lundi 3 juillet 2023


21.04.02

21.04.02 (2002)

Une terreur malheureusement en cours de reproduction. Sauf que la peur ne sera plus éliminée, l'insecticide ne sera plus fonctionnelle. Désormais, la culture de l'influence, la règle, poussera un candidat bien trop haut dans les sondages. 🎶

dimanche 2 juillet 2023


Gay ?

Gay ? (2001)

J'ai énormément ri. 🏳️‍🌈

dimanche 2 juillet 2023


La Zone d'intérêt

La Zone d'intérêt (2023)

Dans ma petite bulle, dans ma zone, ma baie vitrée, je me sent bien. Derrière mon petit miroir, mon écran en plexiglas, je me sent bien. Et si jamais, ô grand jamais, j'aperçoit le cris, la nuit, le brouillard, et la fumée, je me contenterais de l'observer. l'art. 🚂

dimanche 2 juillet 2023


Les Filles d'Olfa

Les Filles d'Olfa (2023)

Les frissons sont toujours palpables. Je suis encore aujourd'hui assez bouleversé par cette fiction qui se change peu a peu en documentaire. Qui commence comme adaptation, puis devient, par ses intervenant, une étude sur une image terrifiante, son traumatisme. Daesh. ☪️

dimanche 2 juillet 2023


Jeunesse (Le Printemps)

Jeunesse (Le Printemps) (2023)

Portrait sans paysage d'une jeunesse persistante. Imaginez que votre environnement soit si hostile, elle vous en veux d’être jeune, vous avez une chance, des coudes, et une camera témoin de votre bataille. Vous, spectateurs, pensez a l'humain derrière vos beaux vêtements. 🪡

dimanche 2 juillet 2023


Vers un avenir radieux

Vers un avenir radieux (2023)

Oh ? Nous chantions ? j'en suis fort aise - Eh bien ! Dansons maintenant ! Et espérons un avenirs aussi optimiste que celui de cet ami, touché par la maladie de l'incompréhension. Touché par un espoir, traversant des décors vides. Un grand film. Une grande personne. 🛴

dimanche 2 juillet 2023


De nos jours...

De nos jours... (2023)

PHOTO 1 : Je regarde par la fenêtre. J'ai invité des amis, je vie ma meilleure vie. J’espère être comme mon chat, avoir plusieurs vies, que je puisse en revivre d'aussi belles. PHOTO 2 : Comme moi, mon t-shirt, mon mur, je suis aussi sobre, la poésie est affaire de monde. 🐱

dimanche 2 juillet 2023


Ça tourne à Séoul ! Cobweb

Ça tourne à Séoul ! Cobweb (2023)

Un grand délire hommage assez savoureux par moment, un peu lourd dans d'autres, mais qui pour décoincer peut être pris avec amour. 🕸️

dimanche 2 juillet 2023


Le Sexe de ma mère

Le Sexe de ma mère (2023)

Règle numéro 1 de la petite branlette : ne jamais être au téléphone avec maman pendant ce temps la. Règle numéro 2 : Maman ne dois pas vous tenir le zgeg. Règle numéro 3 : ne pas penser a votre mère. Règle numéro 4 : quand vous draguez, évitez de penser a maman. 👙

dimanche 2 juillet 2023


Kubi

Kubi (2023)

Le film s'ouvre sur un impact. Une salissure sur le blanc. Puis passé le volet, la lettre d'hommage a un amis du 7e art, Kitano nous fait passer un message Welles-ien. Nous allons perdre la tête, les parasites vont rentrer. Le grand retour de Kitano frappe fort. 🏯

dimanche 2 juillet 2023


L'abbé Pierre : Une vie de combats

L'abbé Pierre : Une vie de combats (2023)

Si c'est pour faire des films comme ça... Autant lire Wikepedia vous ne pensez pas ? 🥣

dimanche 2 juillet 2023


La Chimère

La Chimère (2023)

C'est ce que j'appelle une diarrhée entérite ! Quel dommage que ce soit aussi confus ! En apparence tout sonnait si grand, mais le film sort la machine des effets, et l'effet l'a trompé. On ne sais jamais ou en venir totalement et ça rend le tout complétement a l'ouest. Déçu. 🦴

dimanche 2 juillet 2023


L’été dernier

L’été dernier (2023)

Une tigresse fait affaire a un crocodile enragé. Elle perd ses deux jambes, tourne en rond, le caïman lui, attend patiemment, comme sa féline, il bave a l'idée de bouffer ce chaton. ça aurait pu être brillant si Breillat se retenait moins pour le sauvetage... ⏺️

dimanche 2 juillet 2023


Perfect Days

Perfect Days (2023)

C'est en effet un parfait jour pour une si belle retrouvaille. Wenders nous fait une fleur avec ce film social, une charmante histoire, d'un homme qui souris a toute épreuve, de revenir en force, en beauté, et- Merde c'est quoi cette scène nulle a chier avec la sœur ? 📼

dimanche 2 juillet 2023


Azul

Azul (2013)

Dieu que c'est niais et innocent. Pas pour moi. 🌼

dimanche 2 juillet 2023


Le Livre des solutions

Le Livre des solutions (2023)

Dans ce livre quelles solutions ? Une tentative de pardon et une tentative de Recul. L'humour de petit cinéma est la bienvenue sans compter toute l’autodérision qui vas avec. Cependant Gondry nous montre la son long message de pardon a lui même. On dirait qu'il se justifie. 📘

dimanche 2 juillet 2023


Eureka

Eureka (2023)

Eureka. Oui, Jackpot. Alonso dans son plus beau jour. Dans ses plus belles nuits, et ses plus belles couleurs. En trois films en un, on a bien le temps de voir la maestria de l'intrusion naturelle, et cinématographique, du plus mainstream au plus exotique. Et cette scène... 🪶

dimanche 2 juillet 2023


La passion de Dodin Bouffant

La passion de Dodin Bouffant (2023)

Ce film est un long food-porn très académique, mais très bien filmé et cadré... Pour ce qui est du reste les acteurs sont plutôt convainquant, mais le tout donne dans la bouche un gout de gentillesse, et une pincée de racolage. 🥘

dimanche 2 juillet 2023


Omar La Fraise

Omar La Fraise (2023)

C'est absolument minable. On a un mec qui sort les petits effets comme un adolescent sortirait le caméscope pour faire un hommage a Tarantino. Oui, le duo est classe, c'est juste dommage que ce soit aussi peu drôle, a base de cri, et de joutes. Du ré-Lachaud-ffé. 🇩🇿

dimanche 2 juillet 2023


Body Double

Body Double (1984)

Body est un Double de deux éléments pourtant impossibles a marier, mais dosé a 50%. D'un coté : un Nanard Sexuel complétement débile, avec des archétypes et une hyperbole visuelle clownesque. De l'autre : Hitchcock. Comment a-t-il fait ? Il a tout simplement fait du De Palma. 🔭

dimanche 2 juillet 2023


Maso et miso vont en bateau

Maso et miso vont en bateau (1975)

Notre monde est en ébullition. ça fait maintenant 50 ans et nous y sommes toujours. Encore aujourd'hui, les femmes sont toujours au bord de la crise de nerf, et on aura beau se réconcilier avec Miso et Maso, mais au final : on tombe tous a l'eau. 📺

dimanche 2 juillet 2023


État limite

État limite (2023)

... Ah... Toi... Tu veux plaire aux gens on dirait... Je le conçoit, oui en effet c'est un monde difficile, après un film aussi jusqu’au-boutiste que Ghost Song, il fallait quelque chose de plus léger... Ce psy est un brillant personnage, et le tout baigne dans la vérité. 🏥

dimanche 2 juillet 2023


The Party

The Party (1963)

Un grand délire, avec un valeur ajoutée, un plan dans une piscine tout a fait édifiant. 🍻

dimanche 2 juillet 2023


Pot au feu

Pot au feu (1964)

Fumer c'est mal, m'voyez ! 🚬

dimanche 2 juillet 2023


Au poste !

Au poste ! (2018)

Au Poste est une immense réussite de comédie, de mise en scène, et de montage. Chez Dupieux, Bunuel a un autre gout dans la bouche, plus salé. 🦪

dimanche 2 juillet 2023


3 femmes

3 femmes (1977)

Dans 3 Femmes, Altman, avec son génie maniaque, réussi parfaitement a nous plonger dans les méandre de la bipolarité. Dans 3 Femmes, Altman, avec son génie maniaque, réussi parfaitement a nous plonger dans les méandre de la schizophrénie. Dans 3 Femmes, Altman, avec son gé-... 🦧

dimanche 2 juillet 2023


J'ai tué Jesse James

J'ai tué Jesse James (1949)

Ça c'est tout bonnement brillant. C'est génial comme idée. Et purement cinéma. Une personne aussi intelligente que Fuller a compris : en un mot ce sont les émotions, et cette émotion nous fait réagir, mais quand Jesse James est mort, quelle émotion a submergé son assassin ? 🪕

dimanche 2 juillet 2023


Le Pont de la rivière Kwaï

Le Pont de la rivière Kwaï (1957)

Un film antiguerre au parti prix intéressant, ou un soldat obsessionnel joue au jeu de l'ennemi, tandis que l'image du spectateur se lie avec le protagoniste aux explosifs, pour une immersion totale. 🧨

dimanche 2 juillet 2023


Excalibur

Excalibur (1981)

Mon dieu que ça a mal vieilli ! Et pourtant ironiquement ça doit être la meilleure adaptation du mythe Arthurien... C'est aussi un film assez oubliable qui dénote totalement de la verve habituelle de Boorman. ⚔️

dimanche 2 juillet 2023


Corps et âme

Corps et âme (2017)

VOYEZ LE ! Non sérieusement, il n'a pas l'air de payer de mine vu comme ça, c'est un film qui nous donne l'illusion d'un non-choix, mais c'est faux ! La Cinéaste est déterminée a représenter cette alchimie, cette amour, avec tout les bon choix possibles et imaginables ! 🦌

dimanche 2 juillet 2023


Qui tire le premier ?

Qui tire le premier ? (1969)

Certainement le meilleur film de Budd Boetticher, réalisateur de Western en Série B extrêmement talentueux, en veux pour preuve ce film tapis dans l'ombre des Leone, Ford, Peckinpah, ou autres Mann, ... La goute de sueur sur le front est imitée par le spectateur. 🐴

dimanche 2 juillet 2023


Le Vengeur agit au crépuscule

Le Vengeur agit au crépuscule (1957)

Une histoire de vengeance endiablée, ou la tension est mise a prix, mais on est dans un western, le danger n'est jamais vraiment porté disparu, ici, en l’occurrence, il est sous nos yeux, dans une maison, acculée par les ennemis aux six coups. Exaltant ! 👰

dimanche 2 juillet 2023


French Connection II

French Connection II (1975)

Hormis la vision d'époque de Marseille, cette suite de French Connection perd tout l'essentiel si grandiose de sa base, cette image de la poursuite infernale, ou l'arrivée est forcement décevante. A part peut être la fin, J.F. s'illustre ici comme un réal de polar scolaire. 🛥️

dimanche 2 juillet 2023


Police Fédérale - Los Angeles

Police Fédérale - Los Angeles (1985)

Friedkin, plus que Jamais, se fait le porte étendard de la violence imprévisible. La violence constante. 💵

dimanche 2 juillet 2023


Et pour quelques dollars de plus

Et pour quelques dollars de plus (1965)

Toujours Plus. Leone a toujours Plus d'un tour dans son sac. Et quand on pense, nous petit être misérable, en début de cinéphilie, que tout a déjà été fait avec les "Il était une fois" ou Le bon, La, Brute et le Truand. Leone sort la boite a musique, et fait son meilleur film. ⌚

dimanche 2 juillet 2023


Rebecca

Rebecca (1940)

Le film s'ouvre par un long travelling vers un manoir dans l'obscurité, et tout est dit alors. Le spectateur fait la machinerie dans sa tête, obscurité est donc mystère, et manoir est bourgeoisie, lié a l'imagerie fantomatique, le fantôme est la, Rebbeca. Un fantôme subtil. 👒

dimanche 2 juillet 2023


Le Paradis

Le Paradis (2014)

Un vieil homme pense a l'heure de sa mort, avec sa petite camera DV, il voit le temps passé. La nature et les hommes se figent, en petites figurines qu'il manipule, et il devient un conteur. C'est un bonheur, c'est tout simplement le paradis. 🤖

dimanche 2 juillet 2023


Tire au Flanc

Tire au Flanc (1928)

... Mhh... Que se passe t'il ? ... Je vois les balbutiement du grand timonier dans ce film, je constate déjà a quel point Renoir est, a l'instar de son père, un peintre moderne... Je constate aussi a quel point ce film disparait peu a peu dans mon esprit. Je le reverrais. 💂

dimanche 2 juillet 2023


Cadet d'eau douce

Cadet d'eau douce (1928)

De très loin mon Keaton Préféré. Tout y est. Toute l’inventivité de son metteur en scène subsiste, il a une verve poétique total, dans son sens le plus juste, une série de ressenti, avec une si belle histoire, de si belles séquences. Sublime. ⚓

dimanche 2 juillet 2023


Ma vache et moi

Ma vache et moi (1925)

Tout dans ce film est Effet Kouletchov, et c'est la bienvenue, surtout quand tu a un Casting Vache aussi sublime... Quoi ? ... J'ai l'air de déconner ? ... Non je ne blague pas, ça doit être la plus belle vache que j'ai vu au cinéma avec celle de First Cow. 🐄

dimanche 2 juillet 2023


Kapitalistis

Kapitalistis (2017)

Hilarant, et satirique, les belges ont le secret de la drôlerie réelle et politique, le film se paie en plus le luxe d’être un peu touchant, et de nous ramener a notre enfance, de penser a la situation de nos parents. On était des petits monstres quand on y pense. 🎒

dimanche 2 juillet 2023


Pas de printemps pour Marnie

Pas de printemps pour Marnie (1964)

En effet Marnie n'a pas de printemps. Si vous voulez jouir comme moi devant ce film extraordinaire, ou la manipulatrice imprévisible vous tient en bateau tout le long de ce cruel film, ne cherchez pas plus loin, le seul manipulateur ici c'est Hitchcock et personne d'autre ! 🐎

dimanche 2 juillet 2023


Détour

Détour (2017)

Gondry a le secret des petits films mignons. 🚲

dimanche 2 juillet 2023


Le dernier des hommes

Le dernier des hommes (1924)

Certainement le meilleur film de Murnau, son plus social, poétique, et qui écrit tout par le mouvement, par la vision des choses, la vision forte, l'image plus forte que tout, les déformations, le monde, et la poésie du magnifiquement froid monde d'un vieux voleur. 🏨

dimanche 2 juillet 2023


L'Étrange Créature du lac noir

L'Étrange Créature du lac noir (1954)

Je ne sais pas quoi en penser, je suis partagé entre "C'est absolument magnifique et ça créée des liens étranges par l'image !" et le "Dieu que le film s'oublie vite." Je développe moins que d'habitude car je suis toujours trop entre deux mondes, entre eaux et terres. 🛥️

dimanche 2 juillet 2023


A Serious Man

A Serious Man (2009)

Certainement pour moi le meilleur film de la fratrie Cohen. Dans tout ce que représente leurs cinéma : celui de la vision fantasmée d'un monde ordinaire, de l'absurde ordinaire social. C'est drôle, et juste en même temps. 🏠

dimanche 2 juillet 2023


Une femme sous influence

Une femme sous influence (1974)

Difficile de faire plus, juste, moderne, effrayant, glaçant. Comme la femme Mabel, le spectateur est sous l'influence d'une machine plus forte que lui, une machine puissante du cinéma. Les frissons sont toujours présents, il ne manque plus que de faire de beaux rêves. 🎈

dimanche 2 juillet 2023


On purge bébé

On purge bébé (1931)

Renoir sais adapter simplement, une simple comédie. La drôlesse et la retenue passe par peu de choses, de simples carte, il a purgé son film de tout élément rocambolesque, juste un jeu, un simple jeu, inutile de nous faire chier d'avantage ! 🍼

dimanche 2 juillet 2023


Le Barrage

Le Barrage (2022)

"La poésie dévoile, dans toute la force du terme. Elle montre nues, sous une lumière qui secoue la torpeur, les choses surprenantes qui nous environnent et que nos sens enregistraient machinalement." - Jean Cocteau. 🇸🇩

dimanche 2 juillet 2023


#67

#67 (2012)

Pamphlet politique, satirique, écologique, et particulièrement jouissif, dans le sens esthétique et pornographique du terme. 🍅

dimanche 2 juillet 2023


Fauve

Fauve (2018)

Deux enfants jouent dans une montagne, attendez pour la chute... C'est tout simplement traumatisant. 🏭

dimanche 2 juillet 2023


Casino

Casino (1995)

Dans ce Casino, les rapports sont grands. L'hypocrisie des personnages est jouissive, et la transformation en Mépris fait basculer la donne vers une sorte de film hommage a bout de souffle, un genre de film constamment similaire, une destruction contrôlé, comme une routine. 🎰

dimanche 2 juillet 2023


Les Duellistes

Les Duellistes (1977)

Une mise en scène très intéressante d'un Ridley Scott au sommet de sa forme. 🤺

dimanche 2 juillet 2023


Anatomie d'un rapport

Anatomie d'un rapport (1976)

Des Dialogues Raffinés, un Penis aux aguets... Pas de doute, c'est drôle, c'est vache, c'est aussi une histoire de femmes, de causette, et de gravité, enfin de non gravité... Dupieux aime dire que le Cinema n'est pas grave... Moullet dit que c'est mieux comme ça. 🛏

mercredi 21 juin 2023


Essai d'ouverture

Essai d'ouverture (1988)

Un homme tente d'ouvrir une bouteille de Coca : ça tourne mal ! 🍾

mercredi 21 juin 2023


Papillon

Papillon (1973)

Dans la jungle, personne ne vous entendra voler. La gâterie vous guete et la folie vous pousse à l'impossible. A la Mythomanie... A l'inconscience. Trumbo ne lâche pas son papillon, et quand il le laisse sortir enfin, il en devient une révolution. 🦋

mercredi 21 juin 2023


L'Île des adieux

L'Île des adieux (1977)

Schaffner se déchaîne. Dans son désespoir, dans sa fuite, il se déchaîne. Il se réfugie, qui sait, au moment des adieux, il aura trouvé un petit morceau de bonheur... Putains... Quels bandes de Bâtards... Ils ont tout gâchés. Par leurs guerres ils ont détruit l'art... 🦈

mercredi 21 juin 2023


24 City

24 City (2008)

Dans ce film, les femmes sont jouées par des actrices, et les hommes sont interviewer comme a la télévision, de leurs sentiments de travailleurs. Jia Zanghke fait effacer le sensible du rêve, et les femmes se jouent elle même sous la menace. Les hommes, eux sont condamnés. 🏨

mercredi 21 juin 2023


De cierta manera

De cierta manera (1975)

Une Idée par Secondes, et les minutes passent... Entre le documentaire et la fiction, donc a la frontière d'un grand cinéma de l'entre deux, et pourtant que se passe t'il ? Nouvelle révolution, nouveaux film révolutionnaire, et encore et toujours la même soupe... Qui a du gout 🐐

mercredi 21 juin 2023


Fairytale

Fairytale (2022)

Nul spectacle de Fantômes n'aura été aussi total... Avec son mélange organique historique, technique et visuel, Sokourov réanime les morts tout dans le détails pour forcer nos émotions. Encore aujourd'hui j'ai du mal a m'en remettre. Une grande prouesse a voir. 🌫

samedi 17 juin 2023


Tulpan

Tulpan (2008)

Tulpan est un grand film. Son aspect aussi proche du vrai, du tangible, et esthétique du tangible rend ce grand désert si beau a voir, si vaste a nos yeux. Non rien a dire, Tulpan est un grand film. 🚜

mardi 13 juin 2023


L'Île aux fleurs

L'Île aux fleurs (1989)

Un grand coup de maitre dans un si simple appareil. 🍅

mardi 13 juin 2023


La Petite Mort

La Petite Mort (2013)

Écoutez, le cinéma est un art visuel avant tout. 💘

mardi 13 juin 2023


Mort aux Codes

Mort aux Codes (2018)

Le synopsis tel qu'écrit ici sur CaptainWatch de ce court métrage est tout simplement extraordinaire... "Malgré leur quartier de haute sécurité, la mort venait d'entrer sans difficulté dans leur appartement." Bravo. 🚑

mardi 13 juin 2023


Une sale histoire

Une sale histoire (1977)

Pourquoi aimez-vous tant le cinéma ? Je pense surtout aimer le frisson du mystère. Je ne sais toujours pas ce qu'est le cinéma, je continue à chercher et quelque chose me dit que seul Eustache peut m'aider dans cette tâche spirituelle... Le cinéma, cette sale histoire... 🚻

mardi 13 juin 2023


Still Life

Still Life (2006)

Jia Zhangke a atteint avec Still Life un point de non-retour, comme s'il s'était réveillé avec une grande perte et un grand renouveau. J'ai tremblé du début à la fin. Le long moment où on s'en rend compte de ce qui passe, de ce long temps qui représente ma hantise à présent. 🌁

mardi 13 juin 2023


Desserts

Desserts (1999)

Simple, et... Efficace ? 🎣

mardi 13 juin 2023


Le Trou

Le Trou (1960)

Becker fait exister son trou d'une manière extraordinaire. Et fait exister son ambiguïté d'une façon si poétiquement singulière. 🥄

mardi 13 juin 2023


Colloque de chiens

Colloque de chiens (1979)

Encore sous le choc de cette scène du parc. Dans ce film seul les chiens raisonnent ou se font entendre, et qu'on a pitié d'eux... Pitié. 🐕

mardi 13 juin 2023


Goupi mains rouges

Goupi mains rouges (1943)

Oh ma belle famille, je vois, oui, l'argent n'est plus la, non, Mes Sous est a Terre, Terrible, Terrible foret, Terrible Campagne, Terrible Cadavre, Pauvre Tisane, fort heureusement Mains rouges est là. Le plus grand chef-d’œuvre de Becker, l'un des plus grand film du monde. 🦇

mardi 13 juin 2023


Boudu sauvé des eaux

Boudu sauvé des eaux (1932)

J'aurais beau sauver Boudu des eaux, mais le capital continuera à le faire tomber du haut de la Seine... 🍾

mardi 13 juin 2023


La France contre les robots

La France contre les robots (2020)

Jean-Marie Straub continue a se battre contre les robots... 🦢

mardi 13 juin 2023


Françoise

Françoise (2020)

Touchant dans la voix, bouleversant dans notre perception, banal dans la mise en scène. 🥛

mardi 13 juin 2023


La Danse Macabre

La Danse Macabre (1929)

c rigolo ☠️

mardi 13 juin 2023


Junior

Junior (2011)

Est-ce que tu peut faire encore moins subtil s'il te plait ? 👗

mardi 13 juin 2023


La Leçon de piano

La Leçon de piano (1993)

Pas assez mélodieux, mes oreilles entendaient une voix trop forte, et mes yeux voyaient un tout trop mélodramatique et niait, qui transforme ce potentiel grand film en espèce de cliché d'un cinéma pathos sur pied. 🎼

mardi 13 juin 2023


Casque d'Or

Casque d'Or (1952)

Dansez, dansez, un coup d'un seul, des feuilles mortes et le temps des cerises, et nous voila avec une petite révolution visuelle plus subtile qu'il en est, même si les petits froufrous de Signoret et la moustache de Reggiani peut en rebuter plus d'un. 🗡️

mardi 13 juin 2023


L'Année des treize lunes

L'Année des treize lunes (1978)

La thématique et cette scène avec les vaches transforment ce mélodrame et crime esthétique, en lourd poignard dans le cœur. Avec ces analogies Fassbinder, prouve qu'il est le génie qu'on a dépeint de lui, et qu'il peint de son imagerie. 🍖

mardi 13 juin 2023


La direction d'acteur par Jean Renoir

La direction d'acteur par Jean Renoir (1969)

Quand le grand timonier dit quelque chose : on l'écoute. 📄

lundi 12 juin 2023


A Touch of Sin

A Touch of Sin (2013)

Un grand verre de sang rouge avec une touche d’extrémisme. La chine repeint de sa vraie couleurs, celle du sang. Un film, un coup, une cartouche. 🍎

lundi 12 juin 2023


Falstaff

Falstaff (1965)

Entre les batailles extraordinairement Eisensteinienne, les caractères aux grandes figures et au grand charisme des acteurs, dans ce que Welles fait le mieux : le goût du style et de l'imagerie. Pas de doute, c'est son favoris, et il est très réussi. ⚔️

lundi 12 juin 2023


Dead Man

Dead Man (1995)

Messieurs... La chasse est ouverte. 🚬

lundi 12 juin 2023


Aphotic Zone

Aphotic Zone (2022)

C'est beau, c'est frais, c'est un petit bonbon. 🦀

lundi 12 juin 2023


La science des rêves

La science des rêves (2006)

Vous savez j'aime aussi les choses simples. 🐎

lundi 12 juin 2023


Japón

Japón (2002)

Si Alejandro Ferretis part au Japón, c'est pour mieux voir ce long plan séquence. C'est pour mieux goûter les larmes de la pluie mexicaine. La douce et lente violence, expérience la plus efficace que j'ai pu voir. 🛤️

lundi 12 juin 2023


Sexe, mensonges & vidéo

Sexe, mensonges & vidéo (1989)

Parlons de notre fantasme. Sûr, s'il est parti esthétiser le monde avec ça camera DV par la suite, il n'en démord pas un cinéaste de l'étrange vérité. Ce film au dirtytalk salement adolescent et bourgeois nous oppose a une Amérique obsédée par une image... Je ne sais pas mec. 📼

lundi 12 juin 2023


Model Shop

Model Shop (1969)

Le demi-vétérant, le grand Modèle, Jacques Demy en Amérique qui filme des poupées et des magasins, il tire de sa grande capacité à déchirer les cœurs une œuvre singulière, une arme pointée contre la guerre du Vietnam, comme un Rambo passionnel. Et j'aime Anouk. 📸

lundi 12 juin 2023


La Belle et la Bête

La Belle et la Bête (1946)

Comment ai-je pu, au diable, manqué durant toutes mes années de vie un tel film ? Le cinéma est là, le cinéma total est là, il est là? sous nos ombres, teintées de lumières. C'est un des plus grands films que notre planète ait pu accueillir. 🕯️

dimanche 11 juin 2023


Killer Joe

Killer Joe (2011)

Peut-être pas assez subversif et marginal. Néanmoins très jouissivement amoral. 🍗

mardi 6 juin 2023


Panneau & Adama

Panneau & Adama (2023)

Banel et Adama est un conte de fée, qui commence par une amourette imagée comme clichée, et qui finit comme un univers onirique, hypnotisant, c'est comme un mirage sous le soleil, comme la sécheresse, qui nous rend ivre d'une femme, et de ces peintures. Une réussite. 🧜‍♀️

samedi 20 mai 2023


L'innocence

L'innocence (2023)

Kore-Eda est de retour. Ce Rashomon a tout de moderne et poignant, dans la Corde sensible entre le risque du Pathos et la subtilité brutale. Il y a des séquences peut être un peu trop stéréotypées. Pour le reste : Que je l'aime. Ce film, cette romance. Que je l'aime. 🐖

vendredi 19 mai 2023


Tiger Stripes

Tiger Stripes (2023)

Imaginez. Découvrir son corps avant les autres. Imaginez. Vous sentir seule. Seule. Dans la forêt, seule, avec ses saignements et la haine des autres. Nul films d'horreur n'aura été aussi efficace. En tout cas elle a une subtilité que n'a pas tout le temps Ducournau... 🐅

vendredi 19 mai 2023


Jeanne du Barry

Jeanne du Barry (2023)

Maiwenn et Johnny sont sur un tapis, et le film tombe à l'eau. Toujours les pires décisions. Un film de Besson, ou Louis XV sert de pot de fleur, la cohérence disparaît au profit du dialectique. C'est drôle dans le moment tristes, et tristes dans les moments drôles. 🕯

vendredi 19 mai 2023


Voyage à Tokyo

Voyage à Tokyo (1953)

"Quand tu seras médecin, je me demande si je serai encore là." - Ozu a les mots, Ozu a le scalpel de l’âme : sa camera, il trouve le bon angle, le bon point de tir, et il nous capture dans son filet de constat et d'émotion, Sans filtre. J'ai pensé a ma grand mère... 🍶

dimanche 23 avril 2023


Pour une poignée de dollars

Pour une poignée de dollars (1964)

Un excellent film d'Akira Kurosawa que je vous conseille ! 💰

samedi 15 avril 2023


Rebecca

Rebecca (2020)

Qu'es-ce que c'est nul ! C'est une catastrophe ! La mise en scène aussi iconographique et maniérée de Hitchcock créant un mystère et une angoisse est remplacé ici par des poncifs, des acteurs inconvaincant et des décisions d'explicitation ! Pourquoi penser qu'on est débile ? 🇲🇨

vendredi 14 avril 2023


La Marseillaise

La Marseillaise (1938)

Un film d’actualité donc ! ✊

vendredi 14 avril 2023


Soigne ta droite

Soigne ta droite (1987)

"Y’a des gens qui disent qu’ils n’ont pas tout compris dans mon film. Mais il n’y a rien à comprendre. Y’a qu’à entendre et prendre. Quand j’entends un disque de Madonna, je ne comprends pas les paroles, mais je comprends le disque". La Filmosophie de Godard me transperce. ✈️

jeudi 13 avril 2023


As bestas

As bestas (2022)

1 - Rassurez la bête, la caresser, attiser sa confiance. Symbiose avec la nature. 2 - Commencer a l'entourer, supprimez toute tentative échappatoire. 3 - Sautez sur la bête, un se chargera de l’immobiliser, et l'autre de compresser sa respiration... 🐎

jeudi 13 avril 2023


L'Enquête corse

L'Enquête corse (2004)

Ne me demandez pas pourquoi, je ne sais pas moi même... 🚔

jeudi 13 avril 2023


Les Petites Marguerites

Les Petites Marguerites (1966)

Ainsi font, font, font, les Petites Marguerites. Ainsi font, font, font, un petit film diabolique. Ainsi font, font, font, une vague de critique symbolique. Ainsi font, font, font, p'tits diatribes et puis s'en vont. Et elles danseront, Quant les enfants dormiront. 🌼

jeudi 13 avril 2023


Junkopia

Junkopia (1981)

Même un tas d'ordure peut devenir cinéma. 🛩️

jeudi 13 avril 2023


Poetry

Poetry (2010)

Ne pas avoir les mots. Une dame. Ne pas avoir les mots. Cherche alors les mots. Ne pas avoir les mots. Et les larmes coulent à flots sur les rives. Ne pas avoir les mots. Et observer les choses. Ne pas avoir les mots tel est mon modo. Ironique. Sans voix. 🍎

jeudi 13 avril 2023


Bamako

Bamako (2006)

J'ai été déchiré par Bamako, bouleversé, décontenancé même. Autant par le dépaysement que par l’œuvre de cinéma. Mais que se passe t'il ? Qu'est-ce que ce monde ? Entre réel et fantasme, entre scandale et paix. J'ai tiré des larmes. J'ai tiré ma révérence. 👩🏿‍⚖️

jeudi 13 avril 2023


La lumière

La lumière (1987)

UN PUTAIN DE CHEF D’ŒUVRE ! 🐐

jeudi 13 avril 2023


Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre

Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre (2002)

Je cherche encore un meilleur film Asterix que celui-ci... 🇪🇬

jeudi 13 avril 2023


破碎太阳之心

破碎太阳之心 (2022)

Un très beau film, plus simple, une courte histoire, mais un court plaisir ! Bi Gan reste néanmoins pour moi un des plus grand cinéaste de notre temps. Et un sublime Cinémazographe.🐈‍⬛

jeudi 13 avril 2023


Kadosh

Kadosh (1999)

Un film magnifique qui montre a quel point le prosélytisme religieux détruit lentement nos neurones. L'amour, le vrai, multiple, absent, disparait, disparait, disparait. Enfin bon. Un film très intéressant, et un rouage d'une culture maligne. 🕍

jeudi 13 avril 2023


Entre le ciel et l'enfer

Entre le ciel et l'enfer (1963)

Kurosawa est brillant, il instaure tout en intérieur, et respire la recherche de réponse. Je suis encore bouleversé par cette scène ou Mifune confronte son ravisseur, la lueur blanche scintillant dans ses yeux sombres... Quel climax ! 🏭

jeudi 13 avril 2023


Nashville

Nashville (1975)

Nashville est un boucan aussi musical, parolier, et politique que possible. C'est un documentaire sur cet Amérique profonde, profondément réactionnaire qui danse et chante sur le sang et le bruit des sirènes. Il n'y a qu'un orchestre pour organiser une telle chorale. 🎤

jeudi 13 avril 2023


Le Faux coupable

Le Faux coupable (1956)

Certainement parmi les meilleurs films de Hitchcock. C'est un solitaire sillonnant les rues, pas totalement coupable de ce qu'on lui reproche, mais il sera responsable d'un des films les plus abouti de son époque. 👉🏻

jeudi 13 avril 2023


Identification d'une femme

Identification d'une femme (1982)

Antonioni sais identifier une femme malgré le brouillard. Il sais aussi sonder l’âme d'un artiste misogyne qui vois sa faim, qui de plus en plus perdu, de plus en plus paumé, se fait punir... C'est lui qui disparait. 🌫️

jeudi 13 avril 2023


L’homme qui en savait trop

L’homme qui en savait trop (1956)

Hitchcock en sait trop, il est omniscient, dans cet orchestre il est omniscient, il voit tout, il entend tout, et il bouche tout les trou. Ne serais-ce que pour son introduction et sa résolution, non, c'est a voir. Un apport de connaissance cinématographique. 📞

jeudi 13 avril 2023


Je vois

Je vois (2019)

Un homme sillonne, bourré, les rues de Nice en voiture. Une fois chez lui : il plonge dans un désespoir tel, un cri de rage, qui s'étire comme ses nerfs, les lumières éteintes, la merde le vomi et la pisse réunit dans une seule salle, un seul plan séquence. 🛁

jeudi 13 avril 2023


Duel

Duel (1971)

C'est une question de vision... Qu'est-ce que le cinéma ? Je ne sais pas, moi je ne suis rien pour répondre a cette question, et Spielberg se rapproche plus de la réflexion que moi... Sinon je trouve le film trop descriptif (cette voix off) et a du mal a sortir de son concept. 🚚

jeudi 13 avril 2023


Matières à Rêver

Matières à Rêver (2009)

C'est assez hypnotisant, après peut être très simplement conceptuel. 💧

jeudi 13 avril 2023


Le Privé

Le Privé (1973)

Un des plus grands films de notre basse planète Terre. Altman a un secret : du studio liberticide aboutit un film qu'on pourrait penser parfait, maniérisme musical visuel et historique, un long au revoir, quand on voit ce film, au revoir cinéma : tout a déjà été fait. 🐈

jeudi 13 avril 2023


Aftersun

Aftersun (2022)

C'est touchant de voir ce duo sur l'écran, leurs déboires, leurs amours du plus simple appareil, des plans d'une lèche extraordinaire, la solitude en dépit de leurs accompagnement, mais j'en ai marre... Ô cinéastes indépendants, arrêtez ce délire de la boite de nuit rêvée ! 🎱

mercredi 12 avril 2023


L'Éclipse

L'Éclipse (1962)

Donc... Tout est bien qui finit bien ? ... 🌇

mercredi 12 avril 2023


La Nuit

La Nuit (1961)

Un film fou sur la folie, je retourne mettre ma camisole ! Ou comment mentalement s'enfoncer dans l'obscurité de la nuit d'amour. 🌃

mercredi 12 avril 2023


L'avventura

L'avventura (1960)

Ne vous attendez pas à une si belle aventure. Au large des iles, la disparition soudaine ne fait que réveiller d'autres sordides en nous. Dans ce film muet, ou qui mue le cinéma au rang d'ultramoderne, Antonioni, au ralenti, nous rend encore plus seul, encore plus isolé-lé-lé 🌫️

mercredi 12 avril 2023


Les Blues Brothers

Les Blues Brothers (1980)

Parfois, la musique est tellement bonne qu'on se laisse entrer dans la danse. L'aspect gentillet du film m'a rebuté pendant longtemps, mais en dépit de ses défauts J. Brown, C. Calloway, A. Franklin, R. Charles et J.L. Hooker m’ont charmé, tel des saxophonistes d'Hamelin. 🕶️

mercredi 12 avril 2023


Le Retour des morts-vivants

Le Retour des morts-vivants (1985)

De la philosophie de Haut Vol ! En fait les séries B c'est un peu comme un petit chien qui a fait une bêtise. C'est drôle, parfois un peu bête, dés fois un peu chiant, mais on n'arrive jamais a lui en vouloir. 🧟

jeudi 30 mars 2023


L'Opinion publique

L'Opinion publique (1923)

"Au public - Afin d'éviter tout malentendu, j'annonce que je ne joue pas dans "L'Opinion publique". Il s'agit du premier drame sérieux écrit et réalisé par moi-même. Charles Chaplin" 👠

mardi 28 mars 2023


L'Homme de Londres

L'Homme de Londres (2007)

wow. 💼

dimanche 26 mars 2023


Le Seigneur de la Guerre

Le Seigneur de la Guerre (1965)

Une sacrée reproduction, mais a la manière d'un spectacle ou de son époque : il prend des rides, et ça dénote de la grandeur minimale et violente habituelle de Franklin J. Schaffner. 🛡️

dimanche 26 mars 2023


Shaolin Soccer

Shaolin Soccer (2001)

Je ne m'attendait pas à autant aimer... C'est drôle et bien mis en scène. Évitez le délit de faciès sur ce film à l'apparence lourde, Chow est un metteur en scène de burlesque exagéré, et ça fonctionne dans son principe même. ⚽️

dimanche 26 mars 2023


Braindead

Braindead (1992)

C'est vraiment très nul, et c'est exactement pour ça que c'est vraiment très bien ! Régressif et Hilarant, a voir en VF avec alcool ! 🧟‍♀️

mercredi 22 mars 2023


Au travers des oliviers

Au travers des oliviers (1994)

Mise en Abyme, sur Mise en Abyme, Kiarostami commence a voir avec ses oreilles, et entendre avec ses yeux. Le voila dans un superbe monde ou réel et tournage s’entremêlent pour susciter passions. A la folie. 🥔

samedi 18 mars 2023


John McCabe

John McCabe (1971)

John McCabe et Madame Miller, ou comment un tel duo aussi divisé soit il réussi a me bouleverser autant que les flocons tombent sur le McCabre destin d'un sombrement flashé village. Il sera complexe de trouver un western aussi unique. ❄️

samedi 18 mars 2023


Et la vie continue

Et la vie continue (1992)

Si la vie continue, même après un tremblement de terre, le Cinéma continuera même après "Et la vie continue"... : Un tremblement de terre. 🚗

samedi 18 mars 2023


Où est la maison de mon ami ?

Où est la maison de mon ami ? (1987)

Il trouvera les pleurs, il trouvera le voyage, il trouvera la solitude. A deux pas de la fleur, au pied de la fontaine de ses larmes, il empruntera le chemin en Z et aura la sensation d'avancer, il ne fait que répéter les mêmes lignes. Je trouve ça déchirant. 📓

samedi 18 mars 2023


Vaincre ou mourir

Vaincre ou mourir (2023)

Nulle comédie ne sera aussi drôle que Vaincre ou Mourir... En effet : j'ai été vaincu, je suis bel est bien mort. Moche, mal joué, mal réalisé et particulièrement explicatif (une voix-off au cas ou on serait débile), non, rien a dire : Le fils Prosélite douteux du Slapstick. 🔥

vendredi 17 mars 2023


10 on Ten

10 on Ten (2004)

Une leçon de cinéma. 📹

mardi 14 mars 2023


L'Homme sans passé

L'Homme sans passé (2002)

Il arrive neutre, et il repart vivant. Son avis formé, Kaurismäki rentre dans ce parti prix, lié a Loach et Farhadi, il prend le social comme centre et l'avis passe après les images, il illustre et monte la chose, la monstration de ce qui est possible, même dans la pauvreté. 🍽️

mardi 14 mars 2023


De humani corporis fabrica

De humani corporis fabrica (2022)

La petite Camera Stylo sonde a l’intérieur du corps toute la frustration, mélodramatique, provoquée par notre France, qui rend de plus en plus insalubre les plus humains des hôpitaux. Puis : on danse, on oublie, on se voile la face, voile d'un masque. J'ai mal. 🧠

mardi 14 mars 2023


Ghost Song

Ghost Song (2021)

L’Amérique... Mais comment la filmer ? Un groupe de rap, on prend sa guitare, et le Dies Irae commence. L'apocalypse du Texas élevé par le vent et l'orage, et je hurle, et je hurle, de mes chansons a mon alcool de l'autre coté de ma rue réservée au noirs : je hurle. 🌀

mardi 14 mars 2023


Gros Chagrin

Gros Chagrin (2017)

Ooh... Trop Mignon... (c'est sympa) 🫶

mardi 14 mars 2023


Down by Law

Down by Law (1986)

Dite le avec un accent italien, pensait a une cage, une famine, 3 étranges, et une nouvelle vague de cri de cœur, et pensait a cette phrase : "C'est un monde triste et beau". Vous allez réfléchir, et une fois échappé de cette prison, nul ne pourra vous faire autant émouvoir. 🍦

mardi 14 mars 2023


Manhattan

Manhattan (1979)

Manhattan... Quelle étrange ville ! Depardon aura tenté : il est difficile de la contenir en un seul boité. Si Manhattan a une grande qualités c'est bien elle : il contient en une clé, un un film, la perfection orchestrale et Gershwinienne de Manhattan. C'est une prouesse. 🌃

mardi 14 mars 2023


Images

Images (1972)

Il y a les hommes, puis il y a les images. Et la femme dans tout ça ? La maitresse de tout. La schizophrénie cinématographique comme si le monde était manipulé, contrôlé. Imagine... Image, Miso, Gine... 📞

mardi 14 mars 2023


La chambre bleue

La chambre bleue (2014)

Un film très classique mais pas trop laid... M'enfin bon quand même n’exagérons rien. Rien oui c'est le cas de le dire : il n'y a rien, ou rien de plus que ce qui est écrit... 🎄

mardi 14 mars 2023


Quintet

Quintet (1979)

Un petit jeu biens marrant, quoique très dangereux, je pense que je ne me suis pas assez amusé. Altman déçoit mais il le fait avec fierté, il sait ce qu'il fait, et il sais aussi, dans la violente et froide déception, avoir ses moments de grâce ! 🤰

mardi 14 mars 2023


Vivre sa vie: film en douze tableaux

Vivre sa vie: film en douze tableaux (1962)

Une addition, Un mélodrame, Une femme sous influence, Jean-Luc Godard, égal : un film, un grand. 🚬

dimanche 12 mars 2023


Lola, une femme allemande

Lola, une femme allemande (1981)

Étrange, Étrange... Oui c'est le cas de le dire... Étrange. Alors que j'applaudit cette image profondément communiste, le chaos total du libéralisme, d'un pays divisé mais uni, la catastrophe lumineuse et sonore... Lola a un effet sur moi... Pas Libidique ! Mais Chaotique. 🎩

dimanche 12 mars 2023


M*A*S*H

M*A*S*H (1970)

Pamphlet Antipatriotique Cacophonique et Mitrailleur. M*A*S*H est une satire brillante, qui nous perd dans une guerre sexuelle et violente contre la censure et cette sensation d'une Amérique perdue dans son envie de spectacle infini. 🏈

lundi 20 février 2023


Mister Lonely

Mister Lonely (2007)

Mister Lonely pose... Oui... C'est vrais que son aspect onirique et bullaire peut rebuter, sa tendance a assumé le coté handicapé de son cinéma peut donner une impression de film pour les critiques... Mais Mister Lonely est un portrait, un très beau, enfantin, portrait. 🛩️

lundi 20 février 2023


หนังสั้นจาก

หนังสั้นจาก (2012)

A chaque nouvelles photo un nouvel espoir que la prochaine sera meilleure. Un très beau film, un très simple film. Comment les gens immortalisent ce qui retourne a la poussière par l'image ? Le cinéma est a la portée de tout le monde ! 🐕‍🦺

lundi 20 février 2023


Cat City

Cat City (2017)

C'est mignon........ 😾

lundi 20 février 2023


Astérix & Obélix : L'Empire du Milieu

Astérix & Obélix : L'Empire du Milieu (2023)

Rien ne vas plus dans ce film censé redorer le blason du grand cinéma français... Du casting aux raccords, les décisions de mise en scène et d'humour : une suite de sketch de rentabilisation et de célébrités, je vous avise de boycotter ces choses... 🇨🇳

jeudi 9 février 2023


Babylon

Babylon (2022)

Je veux bien qu'on mette fin au cinéma si on y trouve ce genre de films, en effet... 🥂

mercredi 8 février 2023


La Rivière

La Rivière (1997)

而这又有什么关系呢?如果运动在快乐的痛苦中死去,在河的脏水中男人的拥抱的身体。这有什么关系呢,人类最简单的形式。对享受者的惩罚使人享受。这有什么关系呢 ?是的,这有什么关系。🫂

mercredi 8 février 2023


L'Inconnu du Nord-Express

L'Inconnu du Nord-Express (1951)

EX-TRA-ORDINAIRE ! 🚂

dimanche 5 février 2023


The Lift

The Lift (1972)

Moins subtil tu meurs d'une crise cardiaque. 🪒

dimanche 5 février 2023


Ismérie

Ismérie (2023)

Aah... Les copains... C'est si dommage que cette longue arnaque soit si chère a notre cœur. Mais ne vous en faites pas, la prochaine fois vos mouvements auront du sens. La cohérence sera établie. Le clair et l'obscur se marierons. Et la le cinéma commencerat. 💶

dimanche 5 février 2023


Drive My Car

Drive My Car (2021)

Il n'y a que lui. Seul Hamaguchi peut faire du drame psychologique dans son sens le plus classique un nouveau film a mystères. Seul lui a cette subtilités frappante, ces mouvements silencieux, ces disparitions et réapparitions. Seul lui, peut Bruler sous le Soleil. 🚗

dimanche 5 février 2023


Les Nouveaux Chiens de garde

Les Nouveaux Chiens de garde (2011)

Si je souscris a la ligne politique du film, j'aurais tendance a penser que son aspect propagandiste et idéologique ne joue pas a sa faveur. Néanmoins, les chiens sont toujours de garde, Hanouna remue toujours la queue, et cette vidéo est toujours regardable. 📺

dimanche 5 février 2023


La Vie criminelle d'Archibald de La Cruz

La Vie criminelle d'Archibald de La Cruz (1955)

Un film rasé au cordeau, maitrisé dans sa totalité. Il n'en a pas l'air mais il l'est, Archibald de la Cruz dans son ridicule isolé est rendu adorable. Seul le cinéma est capable de faire cela, seul le cinéma nous fait souhaiter le meilleur de son tueur. 🥛

dimanche 5 février 2023


La Cérémonie

La Cérémonie (1995)

Mais Jouissance... ça rime avec Violence ? Non ?... Quel bonheur que la révolte, quel bonheur que le chantage, quel bonheur, oui. 🕶️

dimanche 5 février 2023


Suzhou River

Suzhou River (2000)

Comme si l'homme a la camera avait un grand vertige. Comme si Hitchcock épousait l'amateurisme et le conte amoureux, la niaiserie épousant le réel, la sirène épousant le loup solitaire, notre cœur épousant l'image. 🧜‍♀️

dimanche 5 février 2023


Le Grand Sommeil

Le Grand Sommeil (1946)

Dans une grande sobriétés de coupe, Hawks and Sparrow fait chanter les oiseaux, du début a la fin il nous mène en bateau dans un monde sans queue ni tête. On peut demander des explications constamment nul ne trouvera de réponse, on est devant ce film en état de grand sommeil. 🚬

dimanche 5 février 2023


Thursday Night

Thursday Night (2017)

Pas super convaincant, mais par moments hypnotisant... Par phénomène d'identification avec l'action (qui est purement personnelle) j'ai réussi a apprécier un peu ce film qui en temps normal, m'en ferais toucher une sans bouger l'autre... 🐕

dimanche 29 janvier 2023


Aki bújt, aki nem

Aki bújt, aki nem (2018)

En route... 👰🏻

dimanche 29 janvier 2023


1:42.08

1:42.08 (1966)

Incroyable ! Lucas sait donc faire des diaporama ! Merci ô grand cinéaste ! - Effet de style : le film ! 🏎️

dimanche 29 janvier 2023


Antonio Das Mortes

Antonio Das Mortes (1969)

Extraordinaire...

samedi 21 janvier 2023


Memoria

Memoria (2021)

Memoria est... Comment mettre les mots les uns après les autres...? Memoria est, le plus grand film vivant de l'histoire du modernisme... Gigantis(si)me... 🎛️

mardi 17 janvier 2023


Honor de cavalleria

Honor de cavalleria (2006)

Il n'y a qu'Albert Serra pour aussi bien cosmologiser le monde, du voyage et du regard, prendre un temps un moment pour détruire l'univers. À chaque secondes, Honor de Cavallería cherche, ne trouve pas, une grande quette sans fin, la grande imagerie, la marque indélébile. 🐎

dimanche 8 janvier 2023


Chronique d'un été (Paris 1960)

Chronique d'un été (Paris 1960) (1961)

Film Socialisme -> Film Sociologisme 📽️

dimanche 8 janvier 2023


La Nuit du 12

La Nuit du 12 (2022)

Un crime est un souvenir, mais pas d'un meurtrier, cette fois-ci d'un agent. Après tout oui, les sorcières se font brûler seule sous les exaltations, il en va de soi que Moll tend à montrer à quel point les hommes, ce sont tous chimérisés pour brûler à nouveau des cœurs. 🔥

dimanche 8 janvier 2023


Le Livre d'image

Le Livre d'image (2018)

Terminer cette sombre année 2022, par le sombre livre d'images, a été une des meilleures expériences que j'ai vécue dans ce dur moment. 🎞️

dimanche 8 janvier 2023


Le Salon de musique

Le Salon de musique (1958)

C'est l'histoire d'un homme qui va se tuer. Il fait bâtir une grande maison, la plus belle salle, où se lie le premier art jusqu'au quatrième, l'art musical, l'harmonie visuelle. Mais plus le corps se décrépits et plus l'âme se vide. Un homme en lutte contre le moderne. 🕷️

jeudi 29 décembre 2022


L'Aventure de Mme Muir

L'Aventure de Mme Muir (1947)

Ne prenez pas simplement le cap en pensant que les mouchoirs vont tomber à flot : ils tomberont. Mais cette noble aventure n'est pas juste émotionnelle, elle est maligne, sans filature, tout bonnement magnifique. Ma(gni)l(é)(fique)in, sublime (Cinéma). 🕯️

jeudi 29 décembre 2022


Le Facteur sonne toujours deux fois

Le Facteur sonne toujours deux fois (1946)

1. Du classicisme épineux dans l'idéal de ce que le spectateur peut voir, et en tirer : le désir, et la mort qui sonne une première fois. Ding Dong. Ding Dong. 2. La mort plane, et cette fois-ci laisse place à l'amour, elle attend dans les cadres noircis du monde. 🚘

mercredi 28 décembre 2022


O'Brother

O'Brother (2000)

L'Odyssée musicale de l'idiotie a quelque chose d'enfantin tant il passe par tous les mouvements du cinéma dans ce qu'il a de total, mais de si peu images. Les bêtises des Cohen ne sont pas cinéma, elles sont humaines. 🐸

mercredi 28 décembre 2022


Les Enfants du Paradis

Les Enfants du Paradis (1945)

Un film libre, et pourtant un film cloisonné. 🎭

mercredi 28 décembre 2022


Le jour se lève

Le jour se lève (1939)

“Oui je suis un assassin, mais les assassins ça court les rues ! Y’en a partout, tout le monde tue un petit peu, seulement on tue en douceur alors ça se voit pas ! Rentrez chez vous vous lirez ça dans le journal, laissez moi. Foutez moi la paix, allez vous-en !” 🧸

mercredi 28 décembre 2022


Le Roman d'un tricheur

Le Roman d'un tricheur (1936)

L'oreille pense chez Guitry. Elle pense au malheur comique qu'engendre l'image. Comme l'anti-Tati, les chroniques d'un malheureux rigolo, car plus vous mettez un homme dans le pétrin, plus vous en tirez de l'humour, cruel, cynique, juste, au-delà de toute barrière. 🃏

mercredi 28 décembre 2022


L'Atalante

L'Atalante (1934)

L'Atalante est le film total et parfait. Je pense que Vigo est devenu un dieu une fois son corps atteint les 30 ans... 🐈‍⬛

lundi 26 décembre 2022


French Connection

French Connection (1971)

William Friedkin a les épaules embarquées d'un perfectionniste formateur, capable de créer des fantômes vivants, aux nerfs tendus comme une corde. 🚉

lundi 26 décembre 2022


Furyo

Furyo (1983)

Toutes ces nobles âmes forment corps, unions et esprits, et souhaitent alors un joyeux noël, a nous, pauvres mortels, qui ne se feront pas toucher par le papillon de l'enfantillage, de la grandeur, qui comme le film, touche à la perfection. Furyo est un objet de fascination. 🦋

lundi 26 décembre 2022


Rencontres du troisième type

Rencontres du troisième type (1977)

Chez Spielberg, tout se ramène à l'enfance, l'insouciance, du film aux caractères, de l'attachabilitée aux niaiseries que nous offrent le ciel. Et le ciel nous a offert François Truffaut. Oui Oui, Une telle qualité qui nous fait retourner au bac à sable de l'amusement. 🛸

lundi 26 décembre 2022


Conversation secrète

Conversation secrète (1974)

Cette fin... Hackman campant, oreilles baissées, extraordinairement, dans cette tourmente infinie que représente le son, son comme vecteur de tout, l'oreille pensante de l'insupportabilité des acouphènes au hertz vaniteux. Comme la vision mélancolique de Blow-Up. 🎷

samedi 24 décembre 2022


Jeux de guerre

Jeux de guerre (1983)

Ce petit jeu de la guerre n'a d'intérêt que pour ceux qu'ils l'ont engendré et ce qu'il engendrera. En d'autres termes, c'est un clone ludiquisé de Docteur Folamour, dans une sauce qui a pu former une petite entrée. ⌨️

vendredi 23 décembre 2022


Journal d'un voleur de Shinjuku

Journal d'un voleur de Shinjuku (1969)

Ali Baba et les 24 vérités volées. Difficile de faire plus grand encore, plus surréaliste et cinématographique. On dit : ce film cite Godard. Je réponds : ce film est une expérience qui devrait être récompensée par la science pour ses découvertes. Sublime. 📚

jeudi 22 décembre 2022


Fanny et Alexandre

Fanny et Alexandre (1982)

Dans la fixité du sapin, arrive sur le tapis rouge un nouveau cadeau. On l'ouvre : "Non de Dieu ! Le Désespoir ! Merci Maman... Merci Papa." Le désespoir s'invite, et draine les autres couleurs du spectre, alors, on s'illumine des Pantomimes Lumineuses. 🎻

jeudi 22 décembre 2022


L'Empire de la passion

L'Empire de la passion (1978)

J'ai regardé L'Empire de la passion après L'aurore de Murnau... Comme si les deux films dialoguaient ensemble, comme si l'espoir de l'un formait l'horreur de l'autre. L'hémoglobine s'invite à la passion charnelle. J'ai vécu celui-ci comme une claque monumentale. Chef-d'œuvre. 🥔

jeudi 22 décembre 2022


L'Aurore

L'Aurore (1927)

Et si l'envie vous prenez, vous, de vous enfoncer dans l'obscurité tenebrante des ombres formées par l'aurore qui vous éclairera bientôt, ainsi le monde paraîtra plus organisme, symphonie sans fin, harmonie. L'aurore mystifie vos âmes, il est bien plus proche de vous. 🚊

mercredi 21 décembre 2022


Avatar : La Voie de l'eau

Avatar : La Voie de l'eau (2022)

Franchement pas mal la prochaine PlayStation 6 ! En plus elle a des cinématiques qui déchirent ! 🐳

lundi 19 décembre 2022


Réveil dans la terreur

Réveil dans la terreur (1971)

Et, la ville de l'hospitalité qui envoie les gens tout droit dans les bras de l'enfer chaud de l'hôpital australien, où refuser un verre est un crime plus grand encore que le viol, la cruauté. L'animal qui regarda l'homme de ses yeux de biche épouvantée, meurt dans la terreur. 🦘

lundi 19 décembre 2022


West Side Story

West Side Story (1961)

Un sublime documentaire sur l'Amérique... Ou plus sérieusement, quand la force de la représentation soutient la puissance de la séquence, Les Petites Histoires Shakespearienne de New York marquent tel un excellent spectacle politique.💃🏽

lundi 19 décembre 2022


Days

Days (2020)

Partagé entre deux sentiments. Celui de me sentir floué par un film a l’extrémisme froid et au thématiques claire dès les deux premiers plans introductif. Me dire que je n’étais tout simplement pas préparé, et en même temps constater les qualités indiscutables de la lenteur. 💆

vendredi 2 décembre 2022


Let's Get Lost

Let's Get Lost (1988)

Un film passionnant pour un homme passionnant. 🎺

vendredi 2 décembre 2022


Le Cri

Le Cri (1957)

Peut-être moins marginal que ce dont il a l'habitude, Antonioni tente, expérimente, et la tentative n'est pas vaine, seulement multiple. Ce cri révolutionnaire, sur la condition d'un homme qui a décidé de ne plus participer a cette société, est peu scellé pour le cinéaste. ⛽

jeudi 1 décembre 2022


Le Désert rouge

Le Désert rouge (1964)

Il vas me falloir un second visionnage pour me sentir moins floué par la claque gigantesque que peut représenter ce film dans mon cœur ! 🏭

jeudi 1 décembre 2022


Nuages épars

Nuages épars (1967)

La sobriété a l'odeur du saké. À chaque champs une maîtrise d'info en contre-champ, puis l’éternel retour de ce que l'on ne veut plus voir, ni entendre. Le rappel insupportable de comment une si belle vie s'est foutue en l'air toute seule. Alors, pour se consoler, un café. ☕

mercredi 30 novembre 2022


Blow-Up

Blow-Up (1966)

Voyons les images de plus prêt, et découvrons le génie. Le génie immense d'Antonioni, de ce qui représente sous ces images qui défilent a 1/24e de secondes uns des films les plus complexes et importants de l'histoire du cinéma. Si vous voulez devenir cinéaste : voyez-le ! 📸

mardi 29 novembre 2022


The Assassin

The Assassin (2015)

... ... Je n'ai pas les mots... 🎍

mardi 29 novembre 2022


Quand passent les cigognes

Quand passent les cigognes (1957)

Le film sur la vie, visionnaire, crépitant, la fête du feu ! Mais au bout d'un moment, les flammes de l'humanisme brûlent les forêts et villages ambiants, la grande fête de la vie se met à rôtir, et elle reviendra de ces cendres, comme un phénix. Un film brillant. 🚂

lundi 28 novembre 2022


Taipei Story

Taipei Story (1985)

HHH, dans sa déstructuration du temps, a pour muse sa capitale. Or, la différence capitale entre lui et Yang est son traitement du souvenir. Chez Yang, le souvenir indélébile est regard, le regard est interaction, on interagit constamment, les atomes de Taïwan. 🕶️

lundi 28 novembre 2022


Soy Cuba

Soy Cuba (1964)

Je suis surtout dans l'émerveillement devant cette ode. La vie par le plan large, par le mouvement, car le cinéma est mouvement, le temps cosmique, et donc par le vivant est abordé la noble mort, inférieure a la vie. Qui nous a appris cette leçon ? Kalatozov en partie. 🕊️

samedi 26 novembre 2022


Ponyo sur la falaise

Ponyo sur la falaise (2008)

Aucun film pour enfant n'arrive a la cheville de Ponyo sur la falaise. 🛥️

samedi 26 novembre 2022


Le Menu

Le Menu (2022)

Donner des leçons sur l'art et aborder une morale indigne des débiles qui se pensent malin, tout en faisant un film de tâcheron interchangeable, sans répit musical et constitué dans la majorité de dialogues explicatifs : c'est possible. Je vous remercie donc pour ce mollard. 🍔

samedi 26 novembre 2022


Le Château de l'araignée

Le Château de l'araignée (1957)

“Le sang attire le sang.” ou plutôt son trône. “Pour leurrer" (par le ciné) "le monde, ressemble au monde ; ressemble à l'innocente fleur, mais sois le serpent qu'elle cache.” Mais n'en lui déplaise : Il y a bien un art pour découvrir sur le visage les dispositions de l’âme. 💘

samedi 26 novembre 2022


Vérités et Mensonges

Vérités et Mensonges (1973)

Alors. Êtes-vous partisans de la vérité ? Celle de Godard ? De Pialat ? De Rossellini ? De Cassavetes ? De Kiarostami ? D'un inexistant rêve de songerie de l’âme ? Où êtes-vous partisan du mensonge ? Kurosawa. Bergman. Terayama. Ford. Haneke. Vous avez déjà fait votre choix. 🔑

vendredi 25 novembre 2022


Le Cabinet du docteur Caligari

Le Cabinet du docteur Caligari (1920)

Vu à l'opéra de Monaco. Et tel Metropolis, d'un familier de cette thématique esthétique : en haut le film, et en bas l'orchestre qui le soutenait. C'était jouissif ! Des expériences comme celle-là sont des bijoux. Comme le film. Intemporel, visionnaire. 💤

vendredi 25 novembre 2022


Antigone

Antigone (1992)

La fidélités régnait sur le couple de Straub et Huillet. Mais décadrer, fixité, rigidité : ils peuvent le faire. Le Théâtre par la Camera, et par la Camera le Cinéma : ils y arrivaient. Il est bien des merveilles en ce monde, il n'est pas de plus grande que le Cinéma ! 🏺

vendredi 25 novembre 2022


La Prisonnière du désert

La Prisonnière du désert (1956)

Point vu à sa juste valeur : celle d'une fresque Homérique. Une épopée d'un grand voyage, les belles histoires que l'on nous raconte avant d'aller au lit, dans un soin, imagerie sobrement painturesque, une fable. Laissons le passé être le passé, voyons le comme ce qu'il est. 🏜️

dimanche 20 novembre 2022


L'Avant Dernier

L'Avant Dernier (1981)

Non, pour moi c'est le Der' des Der'. 🏹

samedi 19 novembre 2022


Partie de campagne

Partie de campagne (1946)

Les dormeurs du lac se réveillent, et comprennent la division. Entre proie et domination, la ville débarque en campagne, et la campagne trouble la ville, maintenant le désordre est total, et réciproque. Ce que Renoir exécute là, c'est la prémisse à la Loute de Dumont. 👒

samedi 19 novembre 2022


Elvira Madigan

Elvira Madigan (1967)

Youpi ! Quelle joie ! On s'amuse bien... Ombrelles sous le bras, couteau à beurre et petits pains. Et la mort intervient une fois... Mais on s'en fout, amusons nous, du Mozart derrière nous. Et la mort intervient deux fois. Elle ne s’arrête pas, en fait, ça ne s’arrête jamais. 🪡

samedi 19 novembre 2022


Dans le noir du temps

Dans le noir du temps (2002)

J'ai pleuré comme Anna Karina dans Vivre sa Vie. 💀

samedi 19 novembre 2022


Bonnie et Clyde

Bonnie et Clyde (1967)

"De toute façon, ils n'pouvaient plus s'en sortir... La seule solution, c'était mourir... Mais plus d'un les a suivis en enfer... Quand sont morts Barrow et Bonnie Parker. Bonnie and Clyde ! Bonnie and Clyde !" Que dirait Freud de cette grosse arme ? 🚘

samedi 12 novembre 2022


Le Samouraï

Le Samouraï (1967)

Le mouvement ? Oui, mais avec tenue. La tension ? Oui, mais avec tenue. Le regard ? Oui, mais avec tenue. Le double ? Oui, mais avec tenue. Le cinéma ? Oui, hors de contrôle. Tel un tigre dans la jungle, Melville, mêle ville et trépas dans une noirceur, dans la cage de verre. 🐦

samedi 12 novembre 2022


Armageddon Time

Armageddon Time (2022)

Il m'est impossible de renier l'implication émotionnelle du spectateur, les échos et fantômes du racisme résonnent encore entre les murs tagués aux échos de Kandinsky. Hopkins brille pendant un petit moment, avant la coupure, et les dialogues explicatifs, la lourdeur. 🚀

samedi 12 novembre 2022


L'inconnu de Shandigor

L'inconnu de Shandigor (1967)

Délire visuel et expressionniste, auquel n’adhérera que l'esprit sans pensée, mais suffisamment vivant et jouissif dans une sublime scéne avec le christique Serge Gainsbourg, et pour son humour mixé au burlesque absurde. Un objet, trop seulement. 🤿

samedi 12 novembre 2022


Rio Bravo

Rio Bravo (1959)

Hawks a l'art de tout dire par le silence. Et l'art de silencieusement tout dire. 🤠

samedi 12 novembre 2022


Le Miroir

Le Miroir (1975)

Nous avons décidé, décidés de montrer les choses comme un rêve, on ne perçoit que ce qu'il y a à voir, l'extase de l'image sensorielle, puis on se souvient : notre rêve, de nos souvenirs enfouis disparus, photographié, mortifère. Regarder Le Miroir, c'est se voir dedans. 🐎

mercredi 2 novembre 2022


Traité de bave et d'éternité

Traité de bave et d'éternité (1951)

Nous sommes en guerre, en guerre cinématographique certes. Nous ne luttons ni contre un organisme, ni contre un concurrent. Mais l'ennemi est là, invisible, insaisissable, qui progresse, il se nome Isou... Mais par chance, le Cinéma ne peut être le Cinéma sans la grandeur. 🎞️

mardi 1 novembre 2022


Frenzy

Frenzy (1972)

Dans ce film profondément féministe, Hitchcock nous présente là ce monde, ou meurt, de la cravate businessman et bien soigné, ou des larmes provoqués par la domestication, les femmes matriarches, dans des scènes d'une maestria extraordinaire. 👔

mardi 1 novembre 2022


Vampyr

Vampyr (1932)

Carl Theodor Faucheur emportera sous terre tous les pleutres pensant un seul instant que les émotions, ces inquiétudes d’étrangetés, ne sont que paroles et non images. 📓

lundi 31 octobre 2022


L'Invasion des profanateurs de sépultures

L'Invasion des profanateurs de sépultures (1956)

Communisme comme commune, comme mouvement. La est la critique du communisme disparu, Bernanos-ien, mais oublions le cosmique, on se contentera de la course. Ce que je vois c'est la crainte américaine, typique donc, qui dit crainte, dit croyance. 🚔

dimanche 30 octobre 2022


Simone, le voyage du siècle

Simone, le voyage du siècle (2022)

Dahan mène ici Veil aux sommités de l'académismes, de séries de pleurs, zoomés/avancées, de faussetés, qui vont de contraste à performance, puis reconstitution. Le film le dit bien, car il dira tout, ne montrera pas : le souvenir ne passe pas par l'image. Il est vrais. 🧱

dimanche 30 octobre 2022


Phantom of the Paradise

Phantom of the Paradise (1974)

Hystérie, comme le monde musical : la grande cacophonie, des cris spectateurs, qui ne sauraient voir les sonorités. Grand Sabbat vers le chaos maîtrisé, le grand cauchemar de l'ad populum. Aller Noé, remet donc les pieds dans ta tombe, et tâche de ne point chanter de nouveaux. 🦢

dimanche 30 octobre 2022


Une jeunesse allemande

Une jeunesse allemande (2015)

Le Cinéma Tue. 🔥

samedi 29 octobre 2022


Le Crime de monsieur Lange

Le Crime de monsieur Lange (1936)

Renoir dépeint ici l'anti-L'air du Soir. Comme si le fils d'auguste rejoignait Edmont-Cross dans sa quête d'anarchisme. Le christ sans dieux ni maître. Des personnages en constante contradiction, et un film traversant tout les genres. 🐶

jeudi 27 octobre 2022


Il était une fois un merle chanteur

Il était une fois un merle chanteur (1970)

Il n'est point aisé de capter toutes les subtilités de ce Merle Chanteur, de cet oiseau de passage. Ce qui est certains c'est que le film est plus malin que nous. Portrait humain du communisme, je dirais plutôt, portrait Ray-ien. 🔭

lundi 24 octobre 2022


PLAN 75

PLAN 75 (2022)

Mais passé la 75e, que reste t'il ? - La Mort. Alors, qui mettra en image cette question rhétorique ? Simplement l'âge, celle qui nous a forcé à arrêter, mais il reste l'envie... Par l'image le sentiment Aristocrate. Car la mort, on ne l'a jamais vu, mais on en a envie. 🎳

lundi 24 octobre 2022


La Grande Illusion

La Grande Illusion (1937)

L'homme goûte le vent comme un ardent, besoin, ou la rosée céleste, des nuées de pluie, de neiges, mais que l'on soit vainqueur, les hymnes, son de miel. le Destin, implacable, veille, et vient le temps, puis nous octroie l'imprévisible. J'ai senti cette larme passer. 🕊️

lundi 24 octobre 2022


La Règle du jeu

La Règle du jeu (1939)

"La règle du jeu est certainement avec Citizen Kane le film qui a suscité le plus grand nombre de vocations de metteurs en scène. On regarde ce film avec un très fort sentiment de complicité." - François Truffaut. 🛩️

samedi 22 octobre 2022


Le mur des morts

Le mur des morts (2022)

Mièvre miellerie miaulante dans les chants contre les champs mordillant cette amour que l'on ne saurait voir, mais a cela cette valeur supplémentaire du Bressonisme-Dumontien, bien que l’étrangeté, se mêle cette froideur comique, marchant comme un objet. Un objet, oui. 🍷

samedi 22 octobre 2022


La Planète des singes

La Planète des singes (1968)

L’américain retourne au singe... Ce qu'il n'aura finalement jamais cessé d’être. 🐵

vendredi 21 octobre 2022


Patton

Patton (1970)

La langue bizarre des cons qu'est l’USAin. La guerre sommeillant dans l'esprit. Entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : ce manque d'apaisement total, ou cette conscience, jamais assurée de surmonter cette ambiguïté suprême, et ce bellicisme assumé questionnable. 🦅

vendredi 21 octobre 2022


EO

EO (2022)

Mettons, au Hasard du voyage et des hommes qui se cabres, un message daltonien, a la dominance rouge, un coup de pied qu'on ne rend pas, mais qui peut être se contentera un peu trop de chercher les fautifs. Cela n'en demeure pas néanmoins une tour (de trop) de force. 🎪

vendredi 21 octobre 2022


A History of Violence

A History of Violence (2005)

La violence ? Quelle violence ? Quelle histoire ? Seulement la règle, seulement le quotidien. D.C. issu d'un mélange charnel d'un fétichisme des corps dilapidés d'une pause poétique et la Série-B accélérée semble nous susurrer ici a grand coup de cartouches : "C'est l’Amérique" ☕

vendredi 21 octobre 2022


L'Ange exterminateur

L'Ange exterminateur (1962)

Richesse, Diner, Réception, Déception, Invitation, Décision, Contradiction, Enfermement, Enfer, Bloqué, Buté, Arrêté, Décès, Sauvagerie, Purgatorio, Desilusorio, Dormitorio, Manos cortadas, Instinto animal, Condenación, Señor, Dios mío, ¿no hay ayuda para el hijo de la viuda? 🐑

dimanche 16 octobre 2022


Bande à part

Bande à part (1964)

Et si on faisait une minutes de silence pour ce film narré dans le bruit ambiant. Se faisant comme le symbole filmique ultime de la liberté qui deviendra bientôt liberté de nuire, nuire au dogmatisme, épicurisme sans fin, la magie du cinéma sans son puritanisme. 🖼️

samedi 15 octobre 2022


Moments choisis des Histoire(s) du cinéma

Moments choisis des Histoire(s) du cinéma (2001)

Big Bang, puis éléments, astre, mouvement, écriture : cinématographie. Descriptif, (h)Oh(p) : l'histoire : Gilgamesh, Max Sennett, Hitchcock, bientôt industrialisation de l'image. Arme contre (Tout), protection contre (Rien), et que fait donc le Cinéma (Quelque-chose). 🏵️

samedi 15 octobre 2022


Simon du désert

Simon du désert (1965)

Le démon Buñuel frappe ici directement ou ça fait mal : les couilles (la religion, la fois). De ce pilier, fin(s), glorifié d'une vision ascétique de l'air. Car oui, tout comme l’église, les mains servent autant a la prière qu'a la violence : une arme redoutable ! 🐐

lundi 10 octobre 2022


Z

Z (1969)

Sublime, politique, entre torture et réel. Non circulez il n'y a rien a dire, simplement a voir avec la tête, et a comprendre avec les yeux. C'est comme un oiseaux lyre(ique) moqueur qui travestit, manipule le monde et les dires. Rythmé, cadré, monté, démonté. 🚓

lundi 10 octobre 2022


La Maison

La Maison (2022)

Concevoir un film comme une grande note, qui ne joue que sur un seul solfège : le mauvais. Il n’harmonise rien, ne détruit pas tout, il se trompe(ette). Mais a quoi pensez-t'ils ? Filmer banalement l'exceptionnel pétris de faussetés un message véridique ! C'est bête... 📔

lundi 10 octobre 2022


Plus oh !

Plus oh ! (1996)

Ou comment amener le genre du clip plus haut ! 👄

lundi 10 octobre 2022


Holy Motors

Holy Motors (2012)

Cinéma Cinétique, Cinéfaction des genres, fusion, combustion, chaque nouvelles sorties de limousine est un film, un film comme le monde, car après tout avec le cinéma on parle de tout : on arrive a tout, toutes é-motions fortes, fort est ce(s) film(s), qui ne puisse se finir. 🪗

lundi 10 octobre 2022


Husbands

Husbands (1970)

Les "Husbands" de qui ? D'un défunt, et bientôt : de l'alcool. C'est vraiment jouissif en tout point, conçu comme ivre, qui commence et qui finit par un réveil difficile, un film ivre comme pour effacer mille tristesses. Défouloir, refoulé, dans la foule, brillant-issime. ⚰️

mardi 4 octobre 2022


Certains l'aiment chaud

Certains l'aiment chaud (1959)

Certaines personnes me lisant conaissent Marylin Monroe sans avoir vu un seul de ses films. "Some Like It Hot" est extrêmement a l'avance sur son temps, brillant, magnifique, drôle, noir, sur le thème des femmes, du travestissement, et de l’homosexualité. Brillant. 🎷

dimanche 2 octobre 2022


L'Homme d'Aran

L'Homme d'Aran (1934)

Quand la fiction se mêle au réel, et le réel se mêle à la fiction... Les Îles d'Aran ont quelque chose de cinéma, contrasté et constamment, film de catastrophe, de ses enfants Bergman et Dumont. Tous les futurs documentalistes se doivent de le voir... 🐋

dimanche 2 octobre 2022


Enquête sur la sexualité

Enquête sur la sexualité (1964)

Destruction de tabou, destruction de limites, Pasolini nous apprend a nous indigner un peu moins, et a réfléchir, comprendre, interpréter, sur ce monde italien du sexe, le sexe religieux, réactionnaire, le plaisir de courte durée, la position ridicule, la dépense absurde. 🇮🇹

samedi 1 octobre 2022


Ma nuit chez Maud

Ma nuit chez Maud (1969)

Ma nuit noire dans cette salle avec Maud fut aussi mouvementée, ce fut une nuit de blabla, de sous-entendus et de sondage, comme si son regard transperçait mon âme, et celle de son protagoniste, raté évangéliste, dépassé comme son spectateur, par la simplicité du fond. 🚲

samedi 1 octobre 2022


Intolérance

Intolérance (1916)

"Intolérance" comme pour contrecarrer une indiscutable et bien triste origine. Le Cinéma est bien là, il est né de l'intolérance, malgré sa tentative d'y échappé, le Cinéma est un éternel berceau a intolérances. Passage comme obligatoire, et pourtant, douloureux. 🤱

mercredi 28 septembre 2022


Freaks, la monstrueuse parade

Freaks, la monstrueuse parade (1932)

Les petits difformes au grand cœurs et les statues grecques méprisable et sans substance, voila le plus grand film des années 30, même avec le temps qui passe, même avec le poison, nulle ne tuera le Cinéma. Le Cinéma c'est l'art de ceux que l'on ne vois pas. 🎪

mardi 27 septembre 2022


Zoo

Zoo (1985)

Un délire visuel monstrueux, savoureux, ah putain quel délice ! “Comme le ver mange le vêtement, et la pourriture le bois, ainsi la tristesse de l'homme lui ronge le cœur.” 🦓

mardi 27 septembre 2022


Un Prophète

Un Prophète (2009)

Oscillant brillamment entre le surréalisme symbolique et le réalisme froid, Un Prophète est fascinant, et ne tombe pas dans l'Audiarisme des dialogues joliment tournés, comme seul constituant d'un film de cinéma. 🦌

mardi 27 septembre 2022


Le Mandat

Le Mandat (1968)

Satire a la sénégalaise absolument hypnotique et maligne, plus ambiguë qu'elle n'a l'air, sur l’Afrique qui fétichise les francs, qui fétichisent leurs rapport a la France, a qui ils ne doivent rien. 🧾

mardi 27 septembre 2022


Alexandrie pourquoi ?

Alexandrie pourquoi ? (1979)

Fascination, Fascination vidéo, Fascination spectaculaire. Pourquoi ? Pourquoi je n'avais pas vu ce chef d’œuvre avant ? Pourquoi ne pas aimer ces protagonistes, comme écartelés entre la guerre qui se présente a nos porte, et l'amour qui s'enfuie loin de nous. Pourquoi ? 🗽

mardi 27 septembre 2022


Ballet Mécanique

Ballet Mécanique (1924)

καλόςεἶδος-scope ad nauseum fascinating 1234567890abcdefghijklmnopqrstuvwxyz_^!-'":;,?.*()[]_ 💋

dimanche 25 septembre 2022


L'Évangile selon saint Matthieu

L'Évangile selon saint Matthieu (1964)

Jésus est un animal politique, un être d'éloquence, de prestation, par le peuple, pour le peuple... Dieu a bel et bien formé ses enfants, les hommes et le fils, à son image, et dieu n'était que mépris... Peut-être Pasolini est-il dieu ? 🙏

dimanche 25 septembre 2022


Fando et Lis

Fando et Lis (1968)

Récit sur les couples, l'amour de l'urbanisme au cauchemar des relations. Fête infinie, Fellini-éne, enflammée dans les décombres, sans fleurs ni arbres, seulement ce piano brulant, l’accordéon du riche qui a tout, mais à qui il manque l'âme. 🕷️

dimanche 25 septembre 2022


La Montagne sacrée

La Montagne sacrée (1973)

Encore ces saloperies de Hippies ! Et qu'est-ce qu'ils ont glissés dans mon verre cette fois-ci ? Le sang de Jésus le fils, dans un univers où l'on descend tout schuss cette grande montagne sacrée de flammes, sans fins et sans débuts, ou le cosmos fait symbole et fêtes. 🐸

dimanche 25 septembre 2022


Ne croyez surtout pas que je hurle

Ne croyez surtout pas que je hurle (2019)

C'est l'histoire d'un type comme vous et moi, qui perdu dans le monde des images, dans le monde du Cinéma, exploite sa propre tristesse, sa propre solitude, ses propres pensées. Obsession sexuelle de l'image peut être floue, déformée, décolorée, sans valeur, sans destin. 📺

mardi 20 septembre 2022


Jeux dangereux

Jeux dangereux (1942)

Vous voyez, l'homme risible et le monstre ont beaucoup en commun... Ils dansent, ils boivent, ils aiment les femmes. La métamorphose est donc simple, la question est plutôt telle : être un monstre, ou ne pas être en vie. Sombre-ment Hilarant. 🪒

mardi 20 septembre 2022


Sherlock Junior

Sherlock Junior (1924)

Dans le monde merveilleux du cinéma, tout est possible et le père-noël existe. Mais finalement la vie a peut-être plus en commun avec le divin écran qu'on ne puisse le penser... 🔎

lundi 19 septembre 2022


Les Aventures du prince Ahmed

Les Aventures du prince Ahmed (1926)

Sans même parler un mot d'allemand, Les Aventures du prince Ahmed sont du pur Cinema, dans le sens, entendez-vous là, que Lotte Reiniger écrit là avec le mouvement, une histoire suffisamment limpide pour nous faire vivre une aventure étoilée. 🦢

lundi 19 septembre 2022


Khan Khanne, sélection naturelle

Khan Khanne, sélection naturelle (2014)

Lettre posthume, a des amis anciens, a un monde révolu. Douloureux. 🚋

samedi 17 septembre 2022


Truffaut / Godard, scénario d'une rupture

Truffaut / Godard, scénario d'une rupture (2016)

6 ans sont passés depuis cette rétrospective. Truffaut meurt à 52 ans, vaincu par la tumeur, jeune, héroïque, et trace un souvenir, forme les nouvelles règles. Godard, lui, meurt vieux, seul, fatigué, méprisé. J'espère qu'il y a un dieu, qu'ils se sont retrouvés... Pardonnés. 📮

samedi 17 septembre 2022


À bout de souffle

À bout de souffle (1960)

Quel est votre plus grande ambition dans la vie ? - Mince, encore une coupe, encore un cadre, et une coupe, coupez, essoufflé, chaque seconde une idée - Dieu d'bon Dieu, les flics, vite le fric, et puis l'escalier de service. - Immortel, et puis... Mort, et puis... Amour. 📰

samedi 17 septembre 2022


Logement social

Logement social (1997)

Entre moments de bravoure et de ciment, et moments de vanité et de débat, Public Housing est un film inattaquable, et pourtant, en dépit de la maestria du témoignage, certains choix de coupe ont réussi à me faire piquer du nez... C'est extrêmement mal, je me sens coupable. 👮🏿

jeudi 15 septembre 2022


2 ou 3 choses que je sais d'elle

2 ou 3 choses que je sais d'elle (1967)

Wharol, La Prostitution, La Guerre du Viet Nam, Les Jupes de Paris, L'ibé... 2 ou 3 choses et un collage formidable. C'est en plein tintamarre qu'il faut prêter l'oreille au chuchotement de terreurs imperceptible perdu dans Elle, Elle : Paris, Elle : La France. ☕

jeudi 15 septembre 2022


Masculin féminin

Masculin féminin (1966)

Je ne sais pas si c'est l'effet que provoque la mort. Mais j'ai beaucoup ressenti de cette œuvre de cinéma, entre Pop-art et Maupassant, ce regard énigmatique du produit de la génération Pepsi, ce regard perfide, qui apparaît si vie au fond de mon œil... 🎙

mercredi 14 septembre 2022


Mother

Mother (2009)

Bong Joon-ho à la croisée des genres, n'aura jamais rien fait de meilleur que ce Mother. 🪨

mercredi 14 septembre 2022


Ma Loute

Ma Loute (2016)

TOUT est formidable dans Ma Loute... TOUT ! TOUT est magnifique. De la première seconde à la dernière. De la première image, a la dernière couleur. TOUT ! TOUT est un bonheur ! TOUT putain, TOUT ! ⛵

mercredi 14 septembre 2022


La Vie de Jésus

La Vie de Jésus (1997)

Comme l'évangile celons Bernanos. Le christ tel racaille criminelle a l'accent typique nordiste, ou le mal rode dans ce paisible village dans lequel on ressent l'humidité suivant la pluie, des pierres du trottoir ou feuilles des plaines. Puis : le malheur passe. 🏍️

mercredi 14 septembre 2022


M/Other

M/Other (1999)

Sublime. Attendrissant. La vie est belle, la vie est longue... Nobuhiro Suwa à simplement su la décrire, en longueur, en largeur, et ses travers. 📞

mardi 13 septembre 2022


Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon

Enquête sur un citoyen au-dessus de tout soupçon (1970)

Brillante satire de la police dans toute l'absurdité que provoque le pouvoir. Petri interroge son spectateur, le questionne comme un père à son fils, dis-moi, penses-tu que sous chaque criminel se cache un subversif, et que sous chaque subversif se cache un criminel ? 🤌🏼

lundi 12 septembre 2022


Voyage en Italie

Voyage en Italie (1954)

Non, ceci n'est définitivement pas une carte postale. Tantôt plutôt le Cynisme Postal, la fumée froide, un pays sale. Rosselini fait culpabiliser sa nation pour ses travers, lui montre magnifiquement à quel point il est sale, et c'est ce qui en fait sa beauté. 💨

lundi 12 septembre 2022


Mort à Venise

Mort à Venise (1971)

Il y a un fantôme dans mon écran, un fantôme androgyne, un fantôme qui possède une statue grecque... Et ce fantôme est Mort à Venise. Touché, coulé... 🧳

lundi 12 septembre 2022


Rome, ville ouverte

Rome, ville ouverte (1945)

Ancêtre du cinéma qui montre les choses : du néoréalisme italien a la nouvelle vague française. Rossellini témoigne comme dans un commissariat : il témoigne de la froideur de l'occupation, des prières inefficaces, des cris de douleurs. Ça donne à méditer. Une fin sublime. 🪖

dimanche 11 septembre 2022


Par un jour de violence ordinaire, mon ami Michel Seurat...

Par un jour de violence ordinaire, mon ami Michel Seurat... (1996)

Ni copieux, ni descriptif, ni même reportage, l'histoire de Michel Seurat, de ses émotions, son personnage, comme fait divers, traité tel enfer et acharnement. 🛏️

jeudi 8 septembre 2022


Salò ou les 120 Journées de Sodome

Salò ou les 120 Journées de Sodome (1975)

On ne peut pas gagner face à cette saloperie sadique. Salò est une épreuve, survivre face à l'explosion de la planète, le plus grand cri de guerre contre l'humanité. Non vraiment... On ne peut pas gagner contre Salò... On ne peut sortir des 4 cercles de l'enfer... 💩

jeudi 8 septembre 2022


Taipei Suicide Story

Taipei Suicide Story (2020)

Simple et efficace. 🏨

mercredi 7 septembre 2022


Obituary for a Murderer

Obituary for a Murderer (1991)

Je ne parle pas l'allemand... Mais de ce que j'ai compris en voyant cette avalanche d'images, c'est : Haneke reconstruit une sombre histoire de tuerie meurtrière en se servant d'extrait de chaines de télé. Dieu que je veux revoir ce film avec des sous-titres ! 📺

mercredi 7 septembre 2022


Seul au monde

Seul au monde (2000)

J'espère que vous avez tous retenu la leçon les enfants : FedEx va vous sauver la vie ! 🏐

mercredi 7 septembre 2022


The Boys

The Boys (2019)

The Boys aurait pu être formidable... S'il n'était pas aussi gentil ! 🦸

mardi 6 septembre 2022


Happy End

Happy End (2017)

Chez Haneke, vous ne regardez pas les images... Chez Haneke ce sont les images qui vous regardent... Une fois sondés, vous vivrez une fin heureuse. 📱

mardi 6 septembre 2022


Amour

Amour (2012)

"Où mènent-ils les chemins fleuris de l'amour ? Aux disputes, aux querelles, à l'épouvante et à l'horreur." Amour comme Horreur... Fixité comme voyeurisme... Haneke signe là son film le plus romantique. Comme si le désespoir de Courbet s'entremêlait à l'insipide de Dutac. 🐦

lundi 5 septembre 2022


Le Temps du loup

Le Temps du loup (2003)

Il est le film le plus intriguant de sa filmographie. Di-Sonnant plus comme un appel à l'aide et d'espoir qu'à sa froideur habituelle, il nous oppose à un monde ou les solitaires sont les destructeurs, comme si Mad Max s'étais retourné contre nous, pauvres malades. 🦜

lundi 5 septembre 2022


La Pianiste

La Pianiste (2001)

Imaginez voir tous vos fantasmes violemment vous violentez durant votre vie rêvée. 🎹

lundi 5 septembre 2022


Un long dimanche de fiançailles

Un long dimanche de fiançailles (2004)

Jeunet laisse sentir un avenir de cinéaste qui se laisse voir. On perd peu a peu de cet humour sombre et fou, cette malveillance bienveillante des personnages qui se fait poudrer peu à peu, à l'instar de la guerre, traité comme joli. C'est un joli film. ✉️

dimanche 4 septembre 2022


Everything Everywhere All at Once

Everything Everywhere All at Once (2022)

Extrêmement généreux et sincère, du grand Jackie Chan modernisé. EEAAO nous expose 2001 genres pour raconter une simple histoire, un grand voyage à travers le pays des films, de Matrix a Wong Kar-Wai en passant par Ratatouille, Gaspar Noé, Zhang Yimou, Jeunet, Satoshi Kon, ... 👀

samedi 3 septembre 2022


Le Ruban blanc

Le Ruban blanc (2009)

S'il est un cinéaste dit misanthrope, il prouve l'inverse : Le Ruban Blanc est sensible. Sa nouvelle proie, il l'encadre largement : la religion. Une vengeance divine, comme machine de dieux, les anges, le complot des enfants, qui souhaitent à leurs parents de joyeuses fêtes. 🐎

vendredi 2 septembre 2022


Code inconnu

Code inconnu (2000)

Silence... Moteur ! Ça tourne. Annonce : Séquence 71 prise 1. Action... Mais quelle action chez Haneke ? Où se trouve l'action ? Une agression dans le métro ? Non... Elle est dans les détails. Dans cette image que l'on ne saurait voir. Et puis, subitement, on entend... "Coupe- 📷

vendredi 2 septembre 2022


Funny Games U.S.

Funny Games U.S. (2007)

Dans sa démarche de leçon sur l'image, de critique infinie de la banalisation de la violence par les images, ce Funny Games précis a touché un plus large public. Hélas, il confirme à nouveau ce qu'il est, a plus grande échelle, un échec et mat par ses spectateurs... Hole in one ⛳

jeudi 1 septembre 2022


Funny Games

Funny Games (1997)

Un Film dont les interprétations des spectateurs et les appréciations sont d'immenses méprises. Passer un bon moment face à Funny Games relève de l'incompréhension, d'un manque total de perspicacité, d'une préférence sadomasochiste. Haneke a perdu à son propre jeu... 🥚

jeudi 1 septembre 2022


Cœurs

Cœurs (2006)

Haut les cœurs ! Haut les cœurs ! De belles histoires d'amours qui finissent en belles histoires de fumées. On reconnait bien la Resnais et sa passion de l'inexpliqué. Mêlé à ces tramédies, ou il n'est pas si drôle qu'une religieuse finisse en tenue de péripatéticienne... 📼

jeudi 1 septembre 2022


Genus Pan

Genus Pan (2020)

Il faut voir le film de Lav Diaz comme photographie. Comme l'immortalisation de la scène Dostoïevski-enne et Tolstoi-enne. L'instant de capture d'un moment à l'instar de Tarkovski. J'ose espérer que ce n'est pas son meilleur film, ni son plus accessible. 🛶

mercredi 31 août 2022


Profession : reporter

Profession : reporter (1975)

Jack Nicholson impressionnant dans cet objet atmosphérique. Un chef-d'œuvre romantique, mystique, chaque minute est un vrai cadeau fourmillant de questions et de sensations. La patience est une vertu chez Antonioni, elle est toujours récompensée. 🗞️

mercredi 31 août 2022


Kids

Kids (1995)

Kids est un des films les plus sensibles que j'ai vu dans mon existence, je suis tombé amoureux de ces groupes et de cette sensation immonde et dévorante d'être un paria. Un chef-d'œuvre douloureux. 🛹

mercredi 31 août 2022


Y tu mamá también

Y tu mamá también (2001)

Cuarón me touche pour la première fois. Ici, c'est véritablement un grand film sur le retour à l'adolescence. Il y a peut-être dans ce film les meilleures scènes de sexe du cinéma : précoce et romantique, un beau trouple dans ce pays du cinéma qu'est le Mexique. 🐖

mardi 30 août 2022


Le Plongeon

Le Plongeon (1968)

Le travail de l'esthétisme, du flou et des flares lumineux de Frank Perry est extrêmement à la pointe. Ici, il nous narre le voyage d'une statue grecque à travers les ages et les réputations. C'est profondément hypnotisant, touchant, quasiment agaçant. 🏊‍♂️

mardi 30 août 2022


Frontière(s)

Frontière(s) (2007)

Nanard spotted 🍖

mardi 30 août 2022


mother !

mother ! (2017)

Il y a un intérêt dans la mélasse, dans cette copie conforme de Satoshi Kon. Justement, si l'on voit Mother! comme un enfant handicapé de ce dernier, on peut y voir un voyage dans un monde rêvé de la bible. Ne surtout pas y penser longtemps. 🏠

mardi 30 août 2022


Unfriended

Unfriended (2014)

Proposition horrifique intéressante, gâchée par des acteurs et un réalisateur médiocre et cette histoire proche du burlesque. Il aurait pu être bien meilleur. 💻

mardi 30 août 2022


Conte d'automne

Conte d'automne (1998)

Histoire de relations en double fil, complot d'amour et de tromperies, dans lesquels on ressent le vent taper les feuilles mortes qui tombent à la pelle, dans ces campagnes qui s'industrialisé. Une bien jolie romance. Je ne me lasserai point du cinéma bavard d'Eric Rohmer. 🍷

dimanche 28 août 2022


Conte d'été

Conte d'été (1996)

Le grand chef-d'œuvre de Rohmer... 🎸

samedi 27 août 2022


Conte d'hiver

Conte d'hiver (1992)

Quand on y implique une mère et les amourettes du passé, vient l'hiver froid, inhabituel chez Rohmer, mais on retrouve la chaleur des dialogues, des relations et des personnages. C'est avec beaucoup d'empathie qu'on suit les guerres intérieures. J'ai été touché par celui-là. 🧣

samedi 27 août 2022


Conte de printemps

Conte de printemps (1990)

Rohmer aime les dialogues et les relations, et nous, tel des chippies dans le dos des illustres inconnus, on les aime aussi, on pense beaucoup de choses d'eux, de leurs dires, des objets perdus dans la maison. C'est un peintre de la vie, simple et efficace. 📿

samedi 27 août 2022


Roméo + Juliette

Roméo + Juliette (1996)

Film à concept qui a ses limites. 🕯️

samedi 27 août 2022


La Plateforme

La Plateforme (2019)

Film à concept qui a ses limites. 🎂

samedi 27 août 2022


Laura

Laura (1944)

L'amour est éternel. Il a été la plus forte motivation des actions humaines à travers l'histoire. L'amour de l'image, Laura est une image, elle est un film, un livre, un tableau… Avant même le vertige stendhalien de 58, Image, la seule, l'unique passion de Preminger. 🕰️

samedi 27 août 2022


Matrix Resurrections

Matrix Resurrections (2021)

Le génie de Wachowski est d'annoncer qu'elle va faire un film consumériste avant de le faire vraiment. Du génie. De cette manière, elle est invincible, tous les reproches seront placés sous le voile du cynisme. Ça la dénierait presque de nous avoir pris pour des abrutis. 🐈‍⬛

vendredi 26 août 2022


Level Five

Level Five (1997)

J'ai pleuré. ⌨️

vendredi 26 août 2022


Le Diable probablement

Le Diable probablement (1977)

Bresson filme l'échec. Un échec du temps et de la jeunesse des années 70. L'échec de la prise de conscience et de l'action, l'échec du monde à fonctionner sans hiérarchie, l'échec de se donner la mort face à ce constat. Mais l'échec n'entache pas la sincérité de la tentative. 🚌

jeudi 25 août 2022


Lancelot du Lac

Lancelot du Lac (1974)

Bresson le destructeur, Bresson le déshonoreur. Il s'amuse avec ces chevaliers de la table ronde. Il s'amuse à les autodétruire. Leur foi et leur manque de foi les conduit au décès. Quelle fin ! 🐴

mercredi 24 août 2022


Les Herbes folles

Les Herbes folles (2009)

Charmé par ces herbes sans sens, ces relations inexplicables, l'insensé destin et les actions du destin insensé, ont fini tondu après avoir laissé notre esprit paître ces herbes narcotiques dans les champs illimités du rêve. Merveilleux film ! 👛

mercredi 24 août 2022


Electrocuting an Elephant

Electrocuting an Elephant (1903)

Démarche d'un publicitaire détestable dans l'intention de commercialiser une méthode d'exécution. La subversion est loin, on est dans l'abject. 🐘

mercredi 24 août 2022


Stavisky

Stavisky (1974)

D'avantage un film de Semprún ou l'on verrait ressortir des moments de Resnais. Le parallèle avec Trotski, bien que plaisant, manque de clarté, le film tient surtout de sa reconstitution, de ses interprètes, et de la psychologie de cet escroc, peut-être trop seulement... 🤵

mardi 23 août 2022


Mommy

Mommy (2014)

Il y a quelque chose de très juste dans Mommy, une magie prend dans cette dispute familiale, mais gâché par la fin et les décisions de mise en scène scolaire : "Alors là, vous voyez, c'est en format carré parce qu'ils sont enfermés." C'est raffiné, merci Xavier, du grand art. 🛹

mardi 23 août 2022


Juste la fin du monde

Juste la fin du monde (2016)

Plus avancè-je à travers les ages et moins apprécié-je cette simple fin du monde, ou plutôt fin de cinéma, j'entends par là le cinéma comme le monde, exactement ce que n'est pas ce film. Dolan semble fasciné par l'acting studio et le mélo dramatisme américanisé. 👊

mardi 23 août 2022


L'Année dernière à Marienbad

L'Année dernière à Marienbad (1961)

Il y a grande méprise sur L'Année dernière à Marienbad. Dans ce théâtre de l'inquiétante étrangeté, Resnais découpe sa peur de l'incompréhensible. L'incompréhensible perfection, l'incompréhensible richesse, l'incompréhensible passé, l'incompréhensible dialogue. Coup de cœur. ⛲

mardi 23 août 2022


Gare centrale

Gare centrale (1958)

Mélangeant étrangement la folie circulaire de Fellini, et le drame teinté d'obscurité de Mabuse, on ressort malheureusement de Gare Centrale comme on en est rentrés. Court, mais peu efficace, on retiendra cela dit les 20 dernières minutes, et de riches idées de mise en scène 🐈‍⬛

mardi 23 août 2022


Sainte Jeanne

Sainte Jeanne (1957)

Cette vision américaine de la Pucelle est unique en son genre, des dialogues humoristiques et humanistes, au personnage excellemment incarné par Seberg, caractériel, fort et féministe. Preminger réalise un concours de circonstance, inspirant la nouvelle vague. ✝️

mardi 23 août 2022


Jeanne d'Arc

Jeanne d'Arc (1999)

𝕽𝖊𝖘𝖘𝖚𝖘𝖈𝖎𝖙𝖊𝖊 𝖙𝖊𝖑 𝖑𝖊 𝖈𝖍𝖗𝖎𝖘𝖙, 𝕵𝖊𝖆𝖓𝖓𝖊 𝖉'𝖆𝖗𝖈, 𝖉𝖎𝖙 𝕷𝖆 𝕻𝖚𝖈𝖊𝖑𝖑𝖊, 𝖗𝖊𝖌𝖆𝖗𝖉𝖆 𝖑𝖊 𝖋𝖎𝖑𝖒 𝖉𝖊 𝕷𝖚𝖈 𝕭𝖊𝖘𝖘𝖔𝖓, 𝖉𝖎𝖙 𝕷𝖊 𝕱𝖆𝖓𝖙𝖔𝖈𝖍𝖊, 𝖊𝖙 𝖈𝖑𝖆𝖒𝖆 : "𝖜𝖆𝖑𝖑𝖆𝖍, 𝖈'𝖊𝖘𝖙 𝖛𝖗𝖆𝖎𝖒𝖊𝖓𝖙 𝖉𝖊 𝖑𝖆 𝖒𝖊𝖗𝖉𝖊". ⚔️

lundi 22 août 2022


Jeanne la Pucelle II - Les Prisons

Jeanne la Pucelle II - Les Prisons (1994)

Une vision disséminée du temps qui tiendra ses limites, des combats, qui n'intéressent pas son cinéaste. L'intérêt se trouvera tantôt sur les séquences étirées des discutions, et de la fois de son protagoniste en conflit avec les personnages. Une belle immortalisation. 🛡️

dimanche 21 août 2022


Jeanne la Pucelle I - Les Batailles

Jeanne la Pucelle I - Les Batailles (1994)

Jacques Rivette est un cinéaste disséminé du temps. Sans abjection aucune, il aborde l'histoire de La Pucelle comme réalisme et ordinaire, comme une grande fresque au temps compté, au grand caractère, qui tire son intérêt des interprètes, en tête de proue : Sandrine Bonnaire. 🏹

dimanche 21 août 2022


Y a-t-il une vierge encore vivante ?

Y a-t-il une vierge encore vivante ? (2015)

Décidément, les expérimentations visuelles et sensuelles de Bertrand Mandico sont les plus hypnotiques et réussis qui soient. Il est le cinéaste plasticien moderne le plus poussée. Une belle réécriture de la légende de Jeanne d'Arc. 🗡

dimanche 21 août 2022


Jeanne

Jeanne (2019)

Entre les danses de Goya, et les verdures de Monet. Entre la prose de Peguy, et la métaphysique de Bernanos. Entre l'âme de Bresson, et la perfection flottante de Christophe. L'univers de Dumont est infini, subtil, émotionnel et prosaïque. Oh... Mon Dieu... ⛪️

dimanche 21 août 2022


Jeannette, l'enfance de Jeanne d'Arc

Jeannette, l'enfance de Jeanne d'Arc (2017)

Il est là ! Quel univers que celui de Dumont. Un pari risqué que celui de faire de Jeanne d'arc une comédie musicale, l'abstraction lyrique faite du texte de Peguy, et l'abstraction dramatique, entre le burlesque et l'enfantin, chaque chanson douce est jouissive ! 🐑

dimanche 21 août 2022


Procès de Jeanne d'Arc

Procès de Jeanne d'Arc (1962)

Bresson est un fantastique cinéaste de l'âme. Malgré la froideur, l'humanité ressort dans sa nature même d'un coup de chaleur inouïe sur le bûcher de la sorcière. Cette vision sans espoir, lyrique et complexe, du grand travail de l'espace et de l'humain. Un grand film. ♱

dimanche 21 août 2022


Jeanne au bûcher

Jeanne au bûcher (1954)

Il fallait une audace méticuleuse pour représenter la pucelle de la sorte. Rossellini a inévitablement suffisamment d'aplomb pour expérimenter ce film musical sur Jeanne D'arc, qui mérite le coup d'œil et d'oreille rien que pour cela, malgré son virement dans le théâtre filmé. ♠️

samedi 20 août 2022


La Passion de Jeanne d'Arc

La Passion de Jeanne d'Arc (1928)

Avant même son don de la parole, Carl Dreyer communiquait déjà lyriquement par l'image, sous le visage de Maria Falconetti habitée par la Jeanne d'Arc, dans son le combat qui oppose sa fois fétichiste aux geôliers des saintes écritures. Un des plus grands films du monde 🕊️

samedi 20 août 2022


La Soupe aux choux

La Soupe aux choux (1981)

https://youtu.be/Km9AqyORXYM 🛸

samedi 20 août 2022


Tenet

Tenet (2020)

Plus stupide et explicatif de la stupidité que ça tu meurs. 🛬

samedi 20 août 2022


120 battements par minute

120 battements par minute (2017)

120 réussites par minutes au message de militance fort. Campillo rend poignant et ambiguë ceux qui souffraient en cris et en chuchotements. Si le reproche central du misérabilisme est vite écarté par la mise en contexte, on sent chaque battement de cet éternel combat. 🏳️‍🌈

samedi 20 août 2022


Ida

Ida (2013)

Par des méthodes de photographies qu'on pourrait qualifier de conventionnelle, Pawlikowski rend plus fin le langage par l'image. Une grande poésie, pratiquement japonisant, chaque image est une mine d'actions, et de mise à l'épreuve de la fois. 💀

samedi 20 août 2022


Une séparation

Une séparation (2011)

Devant "Une Séparation", vous vivrez deux grandes heures sous assistance respiratoire... 👜

vendredi 19 août 2022


Le Château

Le Château (1997)

K. conta, avant son départ, l'industrialisation et la bureaucratie de la planète, provoquant l'aliénation à échelle mondiale, un message cynique puissant que H. diffusera sur toutes les chaines. Il s'efface derrière les textes et le récit pour offrir un film réalisé par Kafka. 📰

vendredi 19 août 2022


71 fragments d'une chronologie du hasard

71 fragments d'une chronologie du hasard (1994)

"À la télévision, ceux qui parlent, les speakers, ils ne sont jamais devant l'écran. L'image est toujours derrière eux, jamais devant. Ils ne voient rien, parce qu'ils tournent le dos aux images, ils ne peuvent pas la voir. C'est l'image qu'il les voit..." - Jean-Luc Godard. 🏦

vendredi 19 août 2022


Benny's Video

Benny's Video (1992)

Témoin de l'échec du monde à voir les images, de les comprendre, Benny est comme le vecteur des "faits divers" du monde, entre consommation et incompréhension, le pire reste à venir, le pire : on y est, l'ère des images... Un très grand film. 📹

vendredi 19 août 2022


Il buco

Il buco (2021)

Habitué au genre documentaire, et sans en être un, Frammartino a immortalisé un événement perdu dans le temps et l'espace. Il Buco est un film réalisé par la nature, par cette cave, par ce berger, par ces pèlerins, une grande œuvre sensationnelle et de reproduction. 🐑

jeudi 18 août 2022


Rien à foutre

Rien à foutre (2021)

C'est vrai, donc c'est beau. Quand on est humaniste, qu'on aime la vie, on adhère au réalisme, je suis heureux d'apprendre que je suis humaniste. ✈️

mercredi 17 août 2022


L'Empire des sens

L'Empire des sens (1976)

Ōshima, visionnaire, imagina un film pornographique qui puisse titiller nos sens. Pas simplement un film ou des bouts de viandes sautes devant la caméra, mais un film ou le vulgaire et détestable et pourtant touchant s'attachent par l'amour pur, charnel et nymphomaniaque. 🔪

mercredi 17 août 2022


Junk Head

Junk Head (2017)

Junk Head est l'œuvre d'un enfant malade. Écartelé entre la vision d'une dystopie spéciste de légende sans espoir de Bansky, l'enfantin engagé, complexe et décomplexé de Basquiat, et la délicatesse narrative d'un animé shōnen.🪱

lundi 15 août 2022


La Maison

La Maison (2022)

Aucune apparence n'aura été aussi trompeuse sur le catalogue Netflix. Derrière les laines et le cocon cotonneux familial des quatre murs qu'est la parfaite cachette de l'amour, nous fait admirer deux premières histoires de déconstruction admirable, une troisième pas au niveau. 🪳

lundi 15 août 2022


Signes

Signes (2002)

Dans sa riche idée de représenter le complotisme telle une réalité, Shyamalan réalise une métaphore de la croyance au cinéma, mais qui est rapidement entaché par des décisions de caractérisations et de trame qui rend Signes aussi excellent qu'il est mangeur de foins. 📺

dimanche 14 août 2022


À plein temps

À plein temps (2021)

Dans cet enfermement, a bout soufflé, nous remémorant les autres actions de Calamy, cette pierre précieuse non taillée qu'est la liberté, une liberté qu'on expérimentera jamais lorsque la réalisation fait tourner la clef. Jamais nul film ne vous mettra autant en colère. 🚆

dimanche 14 août 2022


Borrego

Borrego (2022)

Il n'y a que deux intérêts au visionnage de Borrego : 1. La perte de temps devant un film aussi impersonnel qu'il est indigent et sans enthousiasme, a la mise en scène extrêmement scolaire, et l'écriture profondément stupide. 2. Changer de film. 🤠

samedi 13 août 2022


Hiroshima mon amour

Hiroshima mon amour (1959)

Cet "étrange cri" de "l'apologiste sénile des infanticides ruraux" tel qu'elle était appelée, mise en scène par le plus grand orchestre de son époque. C'est pervers, c'est romantique, c'est l'apogée de l'œuvre de leurs auteurs, tueurs et bienfaiteurs. 🐈

samedi 13 août 2022


Les Quatre Cents Coups

Les Quatre Cents Coups (1959)

Sans virer dans l'Audiarisme, Truffaut sonde par la communication l'esprit anarchique d'un enfant vivant dans le despotisme de son époque. Un despotisme qui ramène la liberté. Tel Balzac : eurêka, eurêka ! J'ai trouvé ! La sensibilité d'un enfant troublé, libertin, filmifier ! 🏫

vendredi 12 août 2022


Sundown

Sundown (2021)

Du jamais vu. Sundown est comme le trip d'un suicidaire au septième continent, plus un véritable film d'horreur que le drame annoncé par la communication, Tim Roth, obstiné par l'Inconnu, nous perd dans le plus grand film de cette année 2022. 🌅

mardi 9 août 2022


Silvio et les autres

Silvio et les autres (2018)

Sorrentino se fait à nouveau le grand modéliste du Grotesque et du Sublime, il grandit le ridicule et rend le divin l'extravagance même. Toni Servillo se métamorphose en Berlusconi, dans une première partie magistrale, et une deuxième qui ne rattrapera pas le niveau. 🎠

lundi 8 août 2022


L'Année du requin

L'Année du requin (2022)

Dans cette métaphore appréciée, bien que bourrine, de la pandémie de la Covid-19, Les Boukherma n'ont pas eu de veines quant à la vente du film qui ne paye pas de mine. Il n'en reste pas moins brillant dans sa médiocrité, il sublime scolairement le grotesque et son terroir. 🦈

samedi 6 août 2022


Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l’existence

Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l’existence (2014)

Roy Anderson n'est pas un Cinématographe... Mais un Cinémazographe. Il peint avec le mouvement, il dépeint la grotesque absurdité de l'humain, de son envie avare d'accumuler les biens. Le pigeon, c'est lui, et nous sommes sur la branche. Une poilante comédie anarchique. 🐒

vendredi 5 août 2022


Family Life

Family Life (1971)

La grande signature sociale. Dans cette œuvre où on suit la destruction de la fille par des parents fous. Comme l'impression et l'espérance qu'elle soit libre dans sa cage, et que le monde entier soit une prison. Car Le schizophrène construit des châteaux dans les nuages. 💉

jeudi 4 août 2022


La Couleur de la victoire

La Couleur de la victoire (2016)

J'aurais aimé voir plus de Leni Riefenstahl. Elle était tout mon intérêt de visionnage, mais ce n'est pas aidé par cette mise en scène scolaire et sans enthousiasme. 🏃🏿‍♂️

jeudi 4 août 2022


Les Parapluies de Cherbourg

Les Parapluies de Cherbourg (1964)

Le plus beau film de tous les temps ne vole pas son titre. L'amour fait souvent grand tapage, combien de couples meurent de ne pas avoir lâche leur parapluie ? Pauvres serments ! Ce bonheur temporaire et cette gestion des tourments. Le plus grand chef-d'œuvre de tous les temps ☂️

jeudi 4 août 2022


Yellow Submarine

Yellow Submarine (1968)

La drogue de la musique commence avec "Yellow Submarine", et la redescente se fait avec "The Wall". Comme une anti-thèse des cris de Rose, Les Beatles, nous donne une petite piquouse de "OUI", nous invitent dans leur sous-marin Jaune. Saloperie de Hippies ! 🎺

mardi 2 août 2022


Les Ailes du désir

Les Ailes du désir (1987)

Derrière le mur, Berlin rêve, un rêve pensant, un rêve calculateur, on les regarde, déambulant sur les boulevards. Dans ce Berlin misérable, la population vie, la population se souvient, ne vole que ce qui le désire, ces cent millions de baisers qu'on aimerait offrir. 🎪

mardi 2 août 2022


La Cicatrice intérieure

La Cicatrice intérieure (1972)

La Cicatrice Intérieure porte bien son nom : Elle marque. 🔥

mardi 2 août 2022


Le Petit Soldat

Le Petit Soldat (1963)

La mutinerie n'aura jamais eu un gout aussi savoureux. Les sommités de la cinématographie de son réalisateur, le film catalysant la quintessence même de son amour de l'art, la jouissance et la liberté, teinté de souvenirs de guerre, ressemblent aux souvenirs de l’enfance. 📸

dimanche 31 juillet 2022


Canine

Canine (2009)

Dans Canine, les mariés vivent comme des rois et meurent comme des chiens, alors que les enfants vivent comme des chiens et meurent comme des rois. Le comique rencontre l'antipathique, et fusionnent dans un froid concupiscent, ne laissant qu'une tache rouge sur fond blanc. ✈️

samedi 30 juillet 2022


Intervention Divine

Intervention Divine (2002)

Tranches de vies absurdes et burlesques que je prends sans questionnement. Dans cette ballade au gré des religions, nous volons dans un monde fait de faux, un monde lunaire, on a plus qu'à se taire, et à voir. Je dois être fou, car je l'aime. 🎈

vendredi 29 juillet 2022


Monsieur Shome

Monsieur Shome (1969)

Un gouffre à idées de montage et de mise en scène qui ont fait les beaux jours de la Nouvelle Vague Française, et du cinéma underground indien. Ici tout est affaire de montage et d'acteurs, une vraie leçon de mise en scène, a la trame oubliable... 🦆

jeudi 28 juillet 2022


Welcome II the Terrordome

Welcome II the Terrordome (1995)

La subtilité, on l'a ou on ne l'a pas, mais qu'elle n'est pas tout le temps question de qualité ou de pertinence. Ce qui est certain, c'est que la subtilité n'est pas une affaire pour Ngozi Onwurah, et ses dialogues lourds et invraisemblables, en dépit de l'imagerie. ⛓️

jeudi 28 juillet 2022


Cube

Cube (1997)

MDR c mon pseudau laul 🔢

jeudi 28 juillet 2022


L'Ami de mon amie

L'Ami de mon amie (1987)

Le plus beau film d'Eric Rohmer, et ses plus beaux acteurs, je ne pensais pas voir des interprètes aussi bon dans leurs domaines. Coup de Cœur ! Rien n’unit aussi fort que l’amour chez le Grand Momo. 🫂

jeudi 28 juillet 2022


Les Nuits de la pleine lune

Les Nuits de la pleine lune (1984)

Les déboires d'une fille qui disait "Oui" à tout. Je dois dire qu'Eric Rohmer m'est plus rebutant quand il traite des personnages antipathiques. Mais dans cette nuit où on ne dort pas, on assiste au plus réel carré amoureux possible, pour notre satisfaction. 🌕

jeudi 28 juillet 2022


Deadpool

Deadpool (2016)

Benoît Delépine et Gustave Kervern avaient dit un jour que c'étais "Un Film D'avion", C'est-à-dire un film que l'on met pour passer le temps quand on se fait chier dans l'avion. Et quand on prend le film de cette manière, il fait plutôt bien son travail. ⌚

mercredi 27 juillet 2022


L'Armée des Morts

L'Armée des Morts (2004)

Qu'est-il arrivé à Baby Gunn ? Où est passé le cynisme et l'humour noir ? Est-il devenu un cadavre rampant dans le monde magique de l'imagerie Snyder-esque ? Il y aurait tant à dire dans ce film qui aurait pu jouer dans la cour des grands. 🧟

mercredi 27 juillet 2022


A.I. Intelligence Artificielle

A.I. Intelligence Artificielle (2001)

Le Soldat Speilberg a cet entêtement infini, d'une naïveté touchante et enfantine, de tuer le film de Kubrick qui se voulait le triste constat de l'échec du monde de l'enfance, en devient un spectacle de gentillesse, un spectacle bien vain, qui ferme ses rideaux trop tard. 🤖

mercredi 27 juillet 2022


Piranha 3D

Piranha 3D (2010)

Des films aussi stupides, j'en prendrais tous les jours ! 🐟

mercredi 27 juillet 2022


La maison de cire

La maison de cire (2005)

Je n'avais jamais vu un film aussi mauvais de ma vie ! Magistral ! C'est plus que de la merde, on a atteint le point de non-retour ! Bravo ! ⛪

mercredi 27 juillet 2022


La Liste de Schindler

La Liste de Schindler (1993)

Mais cette liste est bien illisible. Est-ce une preuve de succès ? C'est surtout peu précautionneux de présenter ce protagoniste et cette facette de l'exécution de masse, ou la victoire prime, le mirobolant spectacle de la mort. Ambiguë, certes, mais pas dénoué d'intérêt. 🏭

mercredi 27 juillet 2022


Le Navire Night

Le Navire Night (1979)

Le Navire Night est un moment de cinéma étonnant. C'est un film conceptuel. Entendez par la Le concept unique du film : imaginez un cinéma littéraire, un cinéma tel un roman. Une thématique qui aurait mérité une plus dense expérimentation. Beau moment, bien étrange. 📞

mardi 26 juillet 2022


Juliette des esprits

Juliette des esprits (1965)

Bienvenue mesdames et messieurs dans le monde de Juliette, mettez-vous à l'aise et profitez du spectacle, le spectacle morbide d'une bourgeoise malheureuse qui flanche dans les méandres de la Fellin-erie, de la course contre la réalité. Coup de cœur ! 🌹

lundi 25 juillet 2022


Le Rayon vert

Le Rayon vert (1986)

C'est l'histoire d'une petite secrétaire capricieuse qui disait non à tout. Cette jeune fille a la poursuite du Rayon Vert, qui représente un bonheur amoureux et d'ouverture, elle n'y accède que par cette étape difficile : la prise de conscience. Un film ouvert. 🃏

lundi 25 juillet 2022


San Clemente

San Clemente (1982)

San Clemente n'est pas simplement un film d'horreur, c'est un long voyage au purgatoire, un anti-spectacle ou les morts marchent sans but. Les réactions sont diverses : Répugnance, Peine, Pleurs, Dégouts, Effrois, Tristesse, Applaudissements. 📷

lundi 25 juillet 2022


Une femme en Afrique

Une femme en Afrique (1985)

C'est comme un lointain fantasme inatteignable. C'est comme la représentation parfaite de cette sensation forte, d'être attiré par un repoussoir, de ce qu'on voit, a ce qu'on pense. Il donne au corps les prestiges de l’esprit, l'esprit du photographe. 🌍

vendredi 22 juillet 2022


Les Indestructibles 2

Les Indestructibles 2 (2018)

Pixar a amélioré la qualité de son animation pour un rendu plus sophistiqué. Des idées de caractérisations et de grand spectacle qui fonctionnent bien mieux que son homologue aux grandes oreilles, mais un certain manque d'exigence qui retire toutes substances... 🦝

vendredi 22 juillet 2022


De l'origine du XXIe siècle

De l'origine du XXIe siècle (2000)

Début 21e, JLG récapitule le monde dans lequel il a vécu, monde que n'ait pas connu. J'ai ressenti ce qu'étais ces années qui germent en moi à travers les représentations. J'ai l'air d'un crétin quand je suis émotif, mais je vous souhaite de vivre ce que j’ai vécu en le voyant 🪖

jeudi 21 juillet 2022


Made in U.S.A

Made in U.S.A (1966)

Une séparation difficile... Dans la dernière vision de Godard envers sa muse Anna Karina, il en fait l'expression de son changement drastique de mouvement artistique, et son entrée dans la politique. Un film divisé si lucide : "Un Disney avec du sang, un film politique". ☎️

jeudi 21 juillet 2022


Une femme est une femme

Une femme est une femme (1961)

Godard rend musical cette femme féminine moyenne avec intensité, ce couple plus commune qu'une fosse, et d'une banalité de nougat en plein Paris. Cette comédie, ou dramédie, on ne sait plus, est une fosse à idées, un cirque de bon gout, l'art de rendre la vie mélo-odieuse. 🛏️

mercredi 20 juillet 2022


Le Mépris

Le Mépris (1963)

Mon film ? Est-ce que tu l'aimes mon film ? - Oui, oui, car douce est la mer quand elle paraît aux yeux des naufragés, douce oui, paraît-elle. Si l'amour est poésie, Godard le rend allégorique. La somme des 7 arts. Comment mépriser ? 🎬

mercredi 20 juillet 2022


Pierrot le fou

Pierrot le fou (1965)

Nous sommes, faits, de rêves, et, le rêve, s'étend à nous, ici, dans ce brutal voyage au bout de la nuit, ou l'amour est réinventé, ou il possède son alphabet, un écrivain qu'il ne faut pas méconnaître, qui transperce le champ des possibles, c'est d'une douceur sans pareille. 🦜

mercredi 20 juillet 2022


In the Mood for Love

In the Mood for Love (2000)

Mais cet amour platonique n'est que fantasme. Un fantasme inactif et subtil, produit par un nouveau nœud dans la lanière du maître, le maître des ombres collantes aux verts de la pisse des rues Hong-Kongaises, où la vérité fait 24 images secondes, et les rêves seulement 16. 🏮

mercredi 20 juillet 2022


El Topo

El Topo (1970)

Dans cette allégorie du cinéaste, Jodo creuse sa propre voie. Il nous tire là l'œuvre la plus jusqu'au-boutiste et sensorielle du siècle, qui charme tant par son aspect photogénique que par son message providentiel. Un sacré terrier de lapin dans lequel je vous invite à tomber 🐇

mardi 19 juillet 2022


Brigadoon

Brigadoon (1954)

Emporté par la beauté plastique du film et les pas de danses de Gene Kelly et sa troupe, je me posais une question : "Est-ce qu'ils dansent vraiment ? Ou est-ce qu'ils sont tous complétement tarés ?"... Je préférerais ne jamais avoir de réponses. 🐑

dimanche 17 juillet 2022


Mon oncle

Mon oncle (1958)

Hulot nous embarquent dans un monde de classes, ou les enfants ne cherchent qu'une chose : fuir avec lui. Et je fuis avec ce charmant Hulot dans cet univers qui a tellement de charmes. Oui voilà, c'est ça "Mon Oncle", c'est charmant. 🌂

dimanche 17 juillet 2022


Les Rapaces

Les Rapaces (1924)

Mon avis ne reflète en rien ce que représente le film, car je l'ai vu en version longue, une sorte de director's cut mal fichue de 4h avec des images qui zomment et dézooment. Sinon : "Les Rapaces" est un chef-d'œuvre de subversion, à qui le cinéma d'auteur doit tout. 🦷

samedi 16 juillet 2022


Burning

Burning (2018)

Plus qu'incompris, Burning est sacrifié. Il dérange et questionne. Vous avez aimé ce feu dichotome, paranormal, naturaliste, crépitant dans les campagnes. Quand on cherche désespérément quelque chose, on ne le trouve pas. Le monde est une vaste énigme, politique et sensuel... 🐈

samedi 16 juillet 2022


Ghost in the Shell

Ghost in the Shell (2017)

Je pardonne à ce film d'être mauvais (Rythme fatiguant, Belle esthétique pour une bêtise de seconde lecture et scénaristique) car il y a Kitano dedans, et c'est écrit dans le nouveau testament que "Tous films figurant Takeshi Kitano, même mauvais, sont des bons films". 🏬

vendredi 15 juillet 2022


Sérénade à trois

Sérénade à trois (1933)

Animal ! Cette comédie au rythme affolant fait végéter nos rires, en plus d'être un minerai a pensé. Lubitsch rend la pièce cinéma, et nous rappelle que l'immoralité est tellement amusante, qu'elle prend la place de la vertu à cent pour cent et de trois repas carrés par jour.🎩

vendredi 15 juillet 2022


Le Mécano de la Générale

Le Mécano de la Générale (1926)

Mad Max n'a qu'à bien se tenir ! Voilà l'homme qui ne sourit jamais, ce grand malabar au chapeau plat, aussi attachant qu'il est drôle, au cinéma qui pose les bases de l'action et de la comédie, il est irréfutable que le 7e art doit beaucoup à Keaton, et donc : vous aussi ! 🚂

vendredi 15 juillet 2022


Le Fanfaron

Le Fanfaron (1962)

Le Klaxon sonne ! C'est la fin de la messe ! Risi nous embarquent cet été pour une virée en voiture déjantée et regorgeant de sentiments cachés, de regrets corrigés et d'une folie interminable, qui finit d'un instant à l'autre, sans crier gare. Jamais vu une fin aussi brutale 🚗

vendredi 15 juillet 2022


Le Roi et l'Oiseau

Le Roi et l'Oiseau (1980)

L’oiseau tendre, l’oiseau moqueur. L’oiseau voleur, la vedette à la souris noire. L’oiseau sans peur, qui en vers, peut nous émouvoir. L’oiseau rouge et tiède comme le sang. Mon cœur qui bat de l’aile si tristement. Envers et contre tout, si bon, si tendre. 🦁

jeudi 14 juillet 2022


La Messe est finie

La Messe est finie (1985)

Il en faut si peu pour faire craquer un curé... ⛪

jeudi 14 juillet 2022


Bagdad Café

Bagdad Café (1987)

Perdu au milieu de nulle part, dans un désert en nuances de couleurs primaires et secondaires, Bagdad Café est une leçon de caractérisation, et de composition en plan large, car c'est la meilleure façon de filmer la vie, la vie harmonieuse, dans son simple et unique appareil. 🌹

mercredi 13 juillet 2022


The Sadness

The Sadness (2021)

The Sadness est un film Freudien qui nous propose la vision d'un monde ou le "surmoi" disparait et laisse-le "ça" prendre le contrôle du "moi". Comme le décrivent si bien les critiques, c'est très immoral, mais pourtant sans tangibilité aucune, ce qui rend le spectacle risible 🪓

samedi 9 juillet 2022


Spider-Man : New Generation

Spider-Man : New Generation (2018)

Si le film souffre de son développement de personnage, il brille par son ambiance POP art, de sa dérision, et de sa trame, qui contient bien plus d'amour envers les comics, et bien plus d'envie de grand spectacle, que n'importe quelle superproduction de Marvel. 🕷

vendredi 8 juillet 2022


À nos amours

À nos amours (1983)

Il aura suffi d'un regard, d'un sourire, d'un milieu, pour qu'en une heure et trente minutes, nous devenons une jeune adolescente malheureuse et en chaleur. Avant l'arrivée finale, le jugement dernier, quand l'œil du cinéaste mêle sa parole, c'est divin. Un film divin. 🌺

mercredi 6 juillet 2022


Alice

Alice (1988)

En adaptant Alice au Pays des Merveilles de la sorte, Jan Svankmajer se rapproche au plus près du cinéma de Georges Méliès, un cinéma de rêve. Retirez-en cette assourdissante musique et laisser les affres de la réalité se mélanger dans un saladier d'absurde. 🐰

mardi 5 juillet 2022


Pickpocket

Pickpocket (1959)

En un film, Bresson à traverser les esprits et la loi. Enfermé dans ce caisson, il nous offre une piste de réflection, qui donne matière à pensée, sur la transgression des droits dans une société, accompagné de ce personnage, impossible a cerner. C'est presque Paranormal 💼

lundi 4 juillet 2022


Le Cuirassé Potemkine

Le Cuirassé Potemkine (1925)

Le grand maître des fondamentalistes, nous rapelle à tous, nous visiteurs du passé, à quel point le cinéma est un art forain, politique et révolutionnaire, mais aussi paradoxal, car similairement misanthrope et humaniste. 🚢

lundi 4 juillet 2022


The Servant

The Servant (1963)

Je suis marqué au fer rouge, c'étais jubilatoire, cette exploration de l'inversion de toutes les valeurs, de l'amour destructeur, cette analogie de l'homosexualité et de la manipulation, réalisation séquencée, des acteurs formidable. Bordel, Bravo, un Chef-d'œuvre ! 🍷

dimanche 3 juillet 2022


La Chevauchée fantastique

La Chevauchée fantastique (1939)

On ne se rend pas compte de l'impact titanesque qu'a eu cette Chevauchée Fantastique dans notre beau monde de cinéma. Cet équilibre parfait que décrivait Bazin a permis à John Ford de faire apprendre à écrire avec le mouvement et les personnages a nos ancêtres cinéastes 🏜️

dimanche 3 juillet 2022


La Planète sauvage

La Planète sauvage (1973)

Sommité du film d'animation étrange, du cut-out, du psychédélisme et de la science-fiction, française et mondiale, "La Planète Sauvage" charme immédiatement par son esthétisme, et nous propose un monde ou nous sommes les rats de géants, des fourmis dangereuses, animales. 🌍

vendredi 1 juillet 2022


Perceval le Gallois

Perceval le Gallois (1978)

Cette adaptation du jeune écuyer est de très loin la plus aboutie graphiquement. Mais y voir le nom de Eric Rohmer attaché a un tel projet peut surprendre, et pourtant derrière ces chants, décors primitifs flamands, j'y retrouve son romantisme presque documentaire. Son OVNI. ⚔️

vendredi 1 juillet 2022


La Femme de l'aviateur

La Femme de l'aviateur (1981)

Rohmer se la joue Hitchcock ! Et c'est romantique au possible. Dans ce film nous suivrons un jeune homme qui se fait des films, a force de penser, il finit par devenir, sans s'en rendre compte, un suiveur. Réaliste et vivant, des dialogues magnifiques et touchant. ☕

vendredi 1 juillet 2022


24 Frames

24 Frames (2017)

Dans son film posthume, Kiarostami nous quitte en peintre. Il détruit le cinéma, il remplace les 24 images par secondes en 24 esquisses par 5 minutes. Il additionne, détruit et transforme. De gestes inaboutis et d’issues aléatoires, dans un art ou l’optimisme est bridé. 🐎

vendredi 1 juillet 2022


La Mort de Louis XIV

La Mort de Louis XIV (2016)

Vous allez mourir seul, qu'importe votre statut. Dans ce brillant hommage a son acteur, Albert Serra tue son interprète et ses spectateurs, faisant passer les Soleils pour des Lanternes, vous rappelant ainsi que vous mourrais, vous mourrais d'agonie, seul, et faible... (10/10) 🍇

jeudi 30 juin 2022


Deux hommes dans Manhattan

Deux hommes dans Manhattan (1959)

La bande son glaçante de Martial Solal et le cinéaste Jean-Pierre Melville se placent en témoins et adorateurs de ces States noires, dans lequel il profite pour blâmer, avec classe, les médias qui enviassent les rues Blues de New York. A Bout de Souffle doit tout a ce film. 📸

mardi 28 juin 2022


Quand tu liras cette lettre

Quand tu liras cette lettre (1953)

Etrange film... Je n'ai pas encore tranché ma décision sur mon appréciation dessus. C'est étonnant de voir Melville attaché a un tel projet. Mais d'une commande a un mauvais destinataire est devenu un film prédisant le noir de ses pellicules. ✉️

mardi 28 juin 2022


Ghost in the Shell 2.0

Ghost in the Shell 2.0 (2008)

C'est le même film que le premier, mais avec beaucoup plus d'effets 3D numérique. Evidemment on y retrouve le film original qui est très bien, mais je ne vois pas pourquoi on regarderais celui-ci... Aucun intérêt 👁⃤

mardi 28 juin 2022


Le Silence de la mer

Le Silence de la mer (1949)

Melville tient a être nette, il joue alors de sa profondeur de champs pour nous narrer cette révolution silencieuse et héroïque, qu'il a transformé en une histoire d'amour détruite par deux imbéciles, et l'éloignement rapproche les amants dont le silence se fait vite paisible 🔥

mardi 28 juin 2022


Monika

Monika (1953)

Un film sur deux rebelles qui finissent engloutit par la vie conjugale. En 1h36, j'ai eu l'impression de connaitre un petit bout de Monika, et de la voir partir, d'un regard camera. J'ai pris le temps de comprendre mon tors, j'ai fait fuir une enfant précaire et précoce. 🚤

mardi 28 juin 2022


Jean-Luc selon Luc

Jean-Luc selon Luc (2006)

Luc Moullet parle de Jean-Luc Godard, son ami invraisemblable. On y sent de l'amour, autant que de moqueries, mais ce qui est certains, c'est qu'il nous partage dans des courtes pastille, l'art de son menthor et père, le dieu de l'ar(d). 📚

lundi 27 juin 2022


Cris et Chuchotements

Cris et Chuchotements (1972)

Maniériste et Sanglant. C'est entouré de ces femmes qu'on savoure ses moments, ces courts et derniers instants, qui dérapent au Rouge, au Noir et au Blanc. Reviens la douleur, et les cris, les cris, puis les hurlements, on susurre enfin a son oreille, les doux chuchotements. 🕰️

lundi 27 juin 2022


La Source

La Source (1960)

Et si l'envie vous prend de prier dieu, pensant aider les nécessiteux. N'oubliez pas que l'homme n'est qu'un fléau, pillage, viol, agression, portant un fardeau. Dans votre dernier souffle, vous projetez votre dernières prière... Mais rien ne vous délivrera du mâle. 🐸

dimanche 26 juin 2022


Tatarak

Tatarak (2009)

Et si tout n'étais que cadre ? Que tout n'étais que limites. Que tout n'etais que décors, et solitude. Alors, on déambulerais, de nostalgie, d'amour, et de regrets, dans la fenêtres des fantômes de Hopper, quand soudainement, on termine sa ligne, et- Coupez ! Elle étais bonne. 🌿

vendredi 24 juin 2022


Incident bancaire

Incident bancaire (2010)

Östlund est un testeur. Il teste une population. Des stéréotypes. Comme un enfant qui s'amuserais à détruire sa ville dans un jeu de gestion, il pose son champ, zoome sur les visages, aperçoit l'humain dans tout ce qu'il a d'instinctif. C'est aussi alarmant que c'est comique 🏍

mercredi 22 juin 2022


Река

Река (2002)

"La Rivière" est un bien étrange film à voir, et fut un bien étrange film à faire. Il se vante d'être étrange et pourtant atypique. Cette tribue si humaine dans leurs monstruosité touche. Mais pourtant le film a un goût d'inachevé. Du à décès de l'acteur principal. Étrange 🐄

mercredi 22 juin 2022


L'Impératrice Yang Kwei-Fei

L'Impératrice Yang Kwei-Fei (1955)

Moins subtil qu'a son accoutumance, il est au petit soin de sa composition. L'équilibre du TAO que représente cette œuvre est inspirante, et pourtant, c'est dans la sobriété, que s'opère cette magique transformation. C'est ainsi, que la Chine flamboyante, devient son Japon. 🧧

mardi 21 juin 2022


Miss Oyu

Miss Oyu (1951)

Moins facile a appréhender, le maitre nous prive de cette beauté poétique jusqu'au dernières minutes du film... Assez frustré, j'admet qu'il m'aura bien eu. En dépeignant ce triangle amoureux destructeur, Mizoguchi m'a pris, dans cette dernière scène, blanche et subtile. 🌕

mardi 21 juin 2022


Visual Mafia

Visual Mafia (1995)

Quand la Pub deviens cinéma. Il est si fort. 🪕

lundi 20 juin 2022


Une femme dont on parle

Une femme dont on parle (1954)

On sent une constante chez Mizoguchi, il est difficile de ne point montrer ce qui doit être vu. Ici, il nous offre une histoire de rivalité mère fille, sous le même fond de denonciation de la lucrativité des maisons geisha, et cette étrange pièce... Une Tanaka resplendissante🎍

lundi 20 juin 2022


Les Musiciens de Gion

Les Musiciens de Gion (1953)

Nous sommes témoins. De ce qu'il se cache dans l'obscurité des okiya, puis assez vite, de ce qu'il se cache dans l'obscurité des geishas. Troublant chant de ces femmes de compagnies, maltraité, démunis. Mizoguchi nous laisse témoin, de ces artistes, devenues tapin. 🪕

lundi 20 juin 2022


La Rue de la honte

La Rue de la honte (1956)

Jubilatoire ! Mizoguchi sort de son Japon médiéval ou la nature domine le malheur des hommes et nous esquisse ici une histoire de prostitution, de scènes de vie dans un étang de force féminine, face à l'état, aux dettes, à la famille. Le bonheur n'existe pas... 💴

lundi 20 juin 2022


Les Amants crucifiés

Les Amants crucifiés (1954)

Conte de passion japonaise qui a ses moments jubilatoires autant que de mollesse. La première partie nous baigne dans un film politique et dénonciateur, que la deuxième partie sublime. Il n'y a pas à dire, il est le conteur de l'amour, plus que jamais. ✝️

dimanche 19 juin 2022


Les Contes de la lune vague après la pluie

Les Contes de la lune vague après la pluie (1953)

Le rappel ultime du grand cinéma poétique : c'est une sainte trinité dont Mizoguchi est le chirurgien. Le son, l'image et les mots. Le grand poète ne privilégie rien, de musique et sonorités, Ombre et lumière, visible et invisible, la plus belle poésie paranormale ! 🛶

samedi 18 juin 2022


Meat Love

Meat Love (1989)

"Nous nous aimions Le temps d'une Chanson". 🥩

vendredi 17 juin 2022


Jídlo

Jídlo (1992)

Nul surréaliste ne pourra égaler la puissance morphale de Jan Švankmajer. Pratiquement satanique, il pose ici tout ce qu'il y avais a dire, mais en assez de temps pour que vous dégustiez sa critique froide des diner mondains et du mépris de classe, avec une large frite. 🍽️

vendredi 17 juin 2022


Submarine Sandwich

Submarine Sandwich (2014)

Auriez vous le courage de le déguster ? 🥊

vendredi 17 juin 2022


Fresh Guacamole

Fresh Guacamole (2012)

Un film bien marrant sur la surconsommation. 🥑

vendredi 17 juin 2022


By The Time It Gets Dark

By The Time It Gets Dark (2016)

Difficile de faire meilleure lettre d'amour au cinéma. Car pendant que les lumières de la salle s'éteignent, nous sommes, au moment où ça devient sombre, uni par les liens sacrés du montage. Une fin sublime, un film sublime. 🎥

vendredi 17 juin 2022


Incroyable mais vrai

Incroyable mais vrai (2022)

Quand on pense que Dupieux en a fini, il charge encore. À chaque seconde, "Incroyable Mais Vrai" est comme un miroir moderne de son premier long métrage, et nous révèle l'étendu de la folie critique de son auteur, qui ici comme à ses débuts, cite, voir vole Buñuel 🐜

mardi 14 juin 2022


The Big Shave

The Big Shave (1967)

C'est rassurant de se dire que le plus grand réalisateur américain avais simplement besoin de filmer un ami dans une salle de bain, avec une camera médiocre. Cela rappelle que le cinéma est avant tout un art. 🪒

lundi 13 juin 2022


Vikram

Vikram (2022)

Difficile d'oublier la séance. Les superproductions indiennes ne sont que forain aucune place a l'art, c'est d'une stupidité dans le message, la mise en scène et les effets, c'est le symptôme du cinéma comme colonie de vacances, ou ça crie dans la salle. Débile et prévisible. 🍼

lundi 13 juin 2022


Burn After Reading

Burn After Reading (2008)

On met en place les engrenages, avant de faire tourner la machine. C'est hilarant, c'est sobre, et son traitement de la paranoïa fait vraiment penser au travail d'Eugène Ionesco, à la sauce Cohen. La meilleure comédie américaine ! 🏃‍♂️

lundi 13 juin 2022


Grandeur et décadence d'un petit commerce de cinéma

Grandeur et décadence d'un petit commerce de cinéma (1986)

GRANDEUR, du premier art, du deuxième, du troisième, du quatrième, du cinquième, du sixième, et du grand cinéma. DECADANCE, de la télévision. Le film nous propose des passages d'une beauté incroyable, entre l'apparition de JLG lui même, et le duo d'acteurs, c'est hallucinant ! 📺

lundi 13 juin 2022


La Femme de Tchaïkovski

La Femme de Tchaïkovski (2022)

Chaque recoin de ce couloir infini dans lequel raisonne les valse du grand Cygne, qui n'intéresse pas de son humanité, ni de son talent... En fait, nous voila en face de ce ballet, un ballet mesuré et ambiguë, le plus dur ballet de la folie furieuse. 💍

lundi 13 juin 2022


Les Huit Montagnes

Les Huit Montagnes (2022)

Des corps transpirants de l'été a la neige enivrante de l'hiver, les 4 saisons des 8 montagnes impressionne par ses choix subtil et humain. La monstration de la chair travailleuse, de la condition paysanne... C'est bien touchant, et non habituel pour son couple, sage. 🏚️

lundi 13 juin 2022


Mascarade

Mascarade (2022)

Suivant les pas de son père avant lui, mais aussi des conspirations de Christie, des caractères de Nabokov, et des pensées humoristiques de Gary, Nicolas Bedos est un cinéaste véritablement simplet, sur la passion, la gente féminine et la nostalgie... 🍷

samedi 11 juin 2022


Un petit frère

Un petit frère (2022)

Serraille nous conte la débâcle familiale de trois éternels enfants bloqué dans un lieu auquel ils ont mit du temps a s'effacer. Ce qui est certains, c'est que son acting est très convaincant a plusieurs niveau, bien que simplement efficace, mais trop sobrement balourd 👩🏿

vendredi 10 juin 2022


Rebel

Rebel (2022)

Je sors d'un film... C'est une comédie musicale d'action, dramatique, franco-belge... Sur Daesh... Au Festival de Cannes. 🇸🇾

jeudi 9 juin 2022


Close

Close (2022)

Est-ce que tu peux faire plus misérabiliste et tire-larme s'il te plait ? Non parce que sinon tu n'auras pas tes petites statuettes de césars, ça serait dommage... 🌷

jeudi 9 juin 2022


Les Bonnes étoiles

Les Bonnes étoiles (2022)

Un film de troupe, comme on part en vacances. C'est beau, c'est simple, c'est limpide. Il en faut peu à Kore-Eda pour nous faire voyager. 👶

jeudi 9 juin 2022


Pacifiction : Tourment sur les îles

Pacifiction : Tourment sur les îles (2022)

En créant ce film de tension, ou la tension n'arrive jamais, Serra fruste, vous voilà pris au piège, la peur d'être assassiné par une quelconque force inconnue, au millieu du Désert des Tartares, mais avant : mener la lumière des stades. Rien n'est aléatoire, mais cosmique. 🏝

jeudi 9 juin 2022


Godland

Godland (2022)

- Mon père, j'ai péché... - Je vous écoute mon enfant. - Lorsque j'ai entrepris mon voyage, j'ai perdu le sens de ma raison. Pour honorer la mission sacrée de mon doux dieu, j'ai tuer, j'ai haï, j'ai couché, sans pardon. - Par faiblesse et infériorité, vous voilà humain. ⛪️

jeudi 2 juin 2022


Les Jumelles Silencieuses

Les Jumelles Silencieuses (2022)

Un film sur les deux sœurs du Yin, symbole Noir, du féminin, du rêve et de l'idéal, sauf que l'idéal, et les rêves ne peuvent trouver l'équilibre sans la réalité, le Yang, cruelle réalité. Un film passionnant, touchant, fantasmé 🦜

mardi 31 mai 2022


Stars at Noon

Stars at Noon (2022)

C. Denis se fait à nouveau dieux des hommes et des Hommes. La tendre chair au centre d'un monde en déclin, mais quel importance ? Ce malheur nous ne pouvons point le régler. Concentrons nous plutôt sur notre peau, devenons une nouvelle sorte de Bonnie et Clyde contemplatif 🇨🇷

jeudi 26 mai 2022


Les Amandiers

Les Amandiers (2022)

Il aurait gagner à être plus sobre. C'est Simple, en détruisant la vie de la totalité de ses protagonistes Bruni-Tedeschi monte une pièce de théâtre filmé misérabiliste et artificiel, verni par du grain et de bon acteurs. Je craint une uniformisation des films de palme d'or... 🎭

jeudi 26 mai 2022


Tori et Lokita

Tori et Lokita (2022)

Pourquoi la vérité vous fait fuir à ce point ? Les Dardennes se placent et nous transforment en témoin direct, nous sommes les yeux, nous sommes les oreilles, nous voyons : Tori confronté a la triste réalité, que Lokita aura tout fait. Poignant. 🍕

mercredi 25 mai 2022


Nostalgia

Nostalgia (2022)

Martone sort de nulle part pour nous raconter sons périlleux retour aux sources. L'oublie du temps et revivre dans l'espace, dans la crainte que nos fantômes nous fasse disparaître, "Quand le péché étais innocence et que l'innocence étais un péché". 🏍

mercredi 25 mai 2022


Fumer fait tousser

Fumer fait tousser (2022)

Un changement d'époque extrêmement jouissif. Chaque minute est une surprise, de biens belles histoires autour du feu et un retour nostalgique dans les tréfonds du non-sens anachronique. Certainement son meilleur film ! 🚭

mercredi 25 mai 2022


Les Crimes du futur

Les Crimes du futur (2022)

Quel Crime ? Celui de l'art ? Du Sexe ? Non. Les vrais crimes que l'on s'inflige sont ceux du plaisir sensuel de nos tripes, la destruction de notre beauté intérieure. L'évolution ? Voilà où l'on fonce : nous deviendrons tous des tortues, ingurgitant nos déjection. 🫀

mardi 24 mai 2022


Decision to Leave

Decision to Leave (2022)

Si il est indéniable que ces petites et propres idées impressionnent, un tableau par secondes, des poses et des paroles, c'est une bien belle histoire d'amour qui se finit encore mal, mal de sortir me disant, moi, habitué : "Tiens... J'ai une impression de Déjà Vu." 🍣

mardi 24 mai 2022


Moonage Daydream

Moonage Daydream (2022)

Bowie éclate sur nos écran dans un plaisir psychédélique que n'envierrai pas les bons amis de l'homme de l'étoile, comme Lynch, Oshima, Russell et Warhol... Mais une sucrerie doit se savourer sommairement. Un trip de l'espace, qui peut se montrer lassant. 👨‍🎤

mardi 24 mai 2022


Sans filtre

Sans filtre (2022)

Véritable Ulysse Satyrique, comme si Buñuel et Ferreri avaient porté l'épopée de ce charme ostensible de la bourgeoisie moderne, mettez y un soupçon de Sociologie dans son plus simple appareil, vous voilà en face du bal de cynisme le plus hilarant que j'ai vu depuis longtemps. 🛥

lundi 23 mai 2022


R.M.N.

R.M.N. (2022)

Le plus grand film de la semaine. Du mois. De l'année. De la décennie. De mon monde. Je tire ma révérence au père, grand, grand, très très grand film sur notre bien petit monde. 🐻

lundi 23 mai 2022


Les Nuits de Mashhad

Les Nuits de Mashhad (2022)

Un polar prenant divisé en deux protagonistes : L'araignée Gipsy et La Gouttière. et en deux parties : le scand-houleux procès de l'araignée. Un film sobrement angoissant, profondément antipatriarcal, dénonçant les péchés de la sainte mission du père. De la radicalisation. 🍏

lundi 23 mai 2022


Huit et demi

Huit et demi (1963)

L'incroyable vertu du désespoir. Le huitième film et demi de Fellini n'est pas du cinéma, il en est sa quintessence. Baladant ses remords et ses craintes, il révèle le contrechamps d'un calvaire émotionnel, et qui sombre, ne laissant passer qu'un faible rayon de lumière. 🕶️

mardi 17 mai 2022


La merditude des choses

La merditude des choses (2009)

Pour supporter la réalité, on cultive les petites folies. En voila une, tiens, une petite folie, La joie suprême d'oublier un instant qu'on patauge dans la misère et la violence. Des gitans de Kusturica. Et vomir les mots comme Proust : des tripes. Seul hic : le Rythme. 🍻

mardi 17 mai 2022


Faux-semblants

Faux-semblants (1988)

Dans le jeu des détraqués, Cronenberg joue fort. Il suppose ainsi que la mémoire a au moins deux visages, des visages capricieux. La détresse et la débauche est doublée d'un culte du médecin en croix, on en ressort avec une bien lourde envie de prendre des hypnotiques. 💉

lundi 16 mai 2022


Ne coupez pas !

Ne coupez pas ! (2017)

Pourquoi aimez vous tant le cinéma ? Car c'est charmant, ça a son charme cette débrouille. Fauché comme le blé on trouve le moyen de rajouter son grain. Bon ou mauvais, une fois sur le plateau ce n'est pas important, ce "Why don't you play in hell" a la sauce Z charme. 📹

dimanche 15 mai 2022


Le Redoutable

Le Redoutable (2017)

Douteux... Si il est indéniable que l'image, l'imitation, et l'imagination sont au rendez-vous le film en est douteux sur le fond. Peut être maladroit, Hazanavicius semble nous dire que Godard a arrêter le cinéma après La Chinoise... Bien maquillé mais un peu con. 👓

dimanche 15 mai 2022


After Life

After Life (1998)

Ému, je n'ai rien a dire. Voyez le simplement avant de faire votre dernier voyage... ☁️

samedi 14 mai 2022


La Boulangère de Monceau

La Boulangère de Monceau (1962)

Il n'y a rien de plus simple que la simplicité ! Barbet Schroeder et Bertrand Tavernier fusionnent pour jouer un amoureux ingrat, filmé par Romher et son sens du miracle, à eux trois, en 20 minutes, ils créent une histoire d'amour joyeusement vilaine ! 🍰

mercredi 11 mai 2022


Le parapluie de Cherbourg

Le parapluie de Cherbourg (2000)

MOTEUR ! MOTEUR ! MAIS PUTAIN OU EST-CE QU'IL EST ? MAIS OU EST-CE QU'IL EST CE CON DE PERCHMAN ! QU'EST-CE QU'IL FOUT ! MAIS PUTAIN IL PLEUT AH MERDE ! MOTEUR ! MAIS VOUS ETES COMPLETEMENT TAPER OU QUOI !? MOTEUR ! MOTEUR ! MOOOOTEUUUR ! OH PUTAIN MOTEUR ! ☂️

mardi 10 mai 2022


Loin du périph

Loin du périph (2022)

"woOOoO rEGaRDEz ÇA boUGE PaRTOoOUT Il y A dE lA 3D OMG WAAaaAH deS BAgNoLES en 3D ET DeS MEcHanT VIlAIn WooOO RegARdE MOn EffeT 3D DE maLADE ET MES RETourNEMeNT DE SItUaTIonS DE DINGUE WooOA UN BUDDY MOvIE cHui UN OOOOF t'aS VU ON esT BON CHEZ NETFISC ÇA BOUgE PARTout AaAH !" 🚔

dimanche 8 mai 2022


L’Interview qui tue !

L’Interview qui tue ! (2014)

Un niveau de subversion intense : "Kim Jong-un à fait caca dans sa culotte"... Si on ne mate pas ce truc dans un état second, il devient très previsible. Mais je reconnais avoir un peu ris à certaines blagues. M'enfin... Les films de McKay son plus intéressant. Trop gentil ! ⭐️

jeudi 5 mai 2022


Eiffel

Eiffel (2021)

C'est trés convenu et mal écrit. Tout sent le piège à césars... En soit c'est regardable, mais ne vous attendez pas a le garder en tête, c'est un film qu'on passe pour se donner une présence... C'est bête, douteux, mielleux, enfin franchement on en a pas besoin... 🎩

jeudi 5 mai 2022


Le chant des oiseaux

Le chant des oiseaux (2008)

Chaque minutes de ce film est un tableau, chaque instants de contemplation, mêlé a d'étranges scènes de moquerie méta, fait de ce film un objet unique en son genre. Magnifique, mais, ces moments de méditations me font difficilement appréhender l'humour cynique de Serra 🐑

dimanche 1 mai 2022


Le Signe du Lion

Le Signe du Lion (1962)

Le premier film de Éric Rohmer est une réussite. Social : le film narre la chute d'un étranger dans les limbes de la pauvreté parisienne, sur fond de fausses notes. Rohmer filme comme un roman et monte comme de la musique, en donne ce premier film impactant ! 🎻

vendredi 29 avril 2022


Les Guignols de l'info

Les Guignols de l'info (1988)

Les meilleures caricatures qui ont jamais exister, assassiné par un Milliardaire Reac. Dommage, on se contentera des replays... 🍎

vendredi 29 avril 2022


Le Goût du saké

Le Goût du saké (1962)

En paix avec lui-même et conscient de son destin, Ozu signe la une vraie mise en abyme de lui-même et en profite pour montrer une société Japonaise qui a peur de vieillir et d'évoluer. Un beau point final. 🍶

vendredi 29 avril 2022


Stalker

Stalker (1979)

Chez Tarkovsky, le contemplatif, l'humanisme existentiel se fait par une métaphore grandiosement minimaliste. La direction artistique, photographique, et décoratrice est très évocatrice, l'un des plus beau monument du cinéma. 🐕

lundi 18 avril 2022


Triangle

Triangle (2009)

Le problème n'est pas tant le concept que la manière de le brandir... En faisant mine d'etre plus malin que son spectateur, Triangle joue avec le feu, et propose un film a retournement de situations, qui, pour les habitués du genre : est vraiment redondant. Pas convaincu. ⛵

samedi 16 avril 2022


Vrai faux passeport

Vrai faux passeport (2006)

Tarantino, Gallo, Fellini, Scorcèse, Pasolini, DeMille, Verhoeven, Riefenstahl, Bresson, Dreyer, Cocteau, Gance, Watkins, Chaplin, Rossellini, Suleiman, Gitai , Malraux, Makhmalbaf, Hitchcock, Akerman, Melville, Lanzmann, Mankiewicz, Médias, tous jugés par le dieu de l'art 🎞️

vendredi 15 avril 2022


Ten

Ten (2002)

"Taxi Téhéran" se démarquait pour deux caractéristiques : Tout le film se déroule en voiture, et pour une séquence ou une femme enlève son voile. "Ten" le faisais avant, mais explorais l'aliénation du patriarche Iranien, et la lutte silencieuse contre l'amour. 🚗

jeudi 14 avril 2022


L'Assassinat du Père Noël

L'Assassinat du Père Noël (1941)

Très simple, très doux, durant une période froide "L'assassinat du père Noël" est un bijoux de poésie subtile qui demande qu'à être un petit sucre d'orge. Vraiment beau et mignon.

mardi 12 avril 2022


Le Septième Sceau

Le Septième Sceau (1957)

- Mon père, j'ai péché... - Je vous écoute mon enfant. - J'ai vu danser la mort, elle m'attendait, me menaçait, la pestilance me guette... - Le Démon tente de vous emporter, soyez fort mon enfant. - Vous ne comprenez pas, c'est dieu qui me fait peur. - Blasphématoire... - Amen♟️

jeudi 7 avril 2022


Jeux d'influence

Jeux d'influence (2019)

Je laisse découvrir cette série aux amateurs de fictions de lutte politique et écologique, de Thriller réaliste et journalistique dans son soupçon de frère Dardenne... Moi : j'ai passé mon chemin. 🚜

mardi 5 avril 2022


Guilty of Romance

Guilty of Romance (2011)

La plus belle poésie d'un dépravé qui nous ai jamais été contée... 🎨

mardi 5 avril 2022


Love Exposure

Love Exposure (2008)

- Mon père, j'ai péché... - Je vous écoute mon enfant. - Je viens de vivre 4h de bonheur intense... - Continuez mon enfant. - 4h de perversion, 4h d'amour, 4h de blasphème. - Seigneur... - Et pendant ces 4h : j'ai bandé... Fort... - Tout vos péché sont pardonnés... - Amen 🦜

mardi 5 avril 2022


Antiporno

Antiporno (2016)

Je suis bouche bée... Vraiment bouche bée... Je ne sais pas quoi dire. C'est un très grand film, un chef d'œuvre antipatriarcal. Plus jamais je ne verrais le cinéma pareil. Expérimen-brutal , après Kaili Blues, je ne pensais pas être touché aussi vite... C'est un chef d'œuvre 🦎

lundi 4 avril 2022


Why don't you play in hell

Why don't you play in hell (2013)

Pourquoi aimez-vous tant le cinéma ? Pour la jouissance de faire un film, pour tout ce que ça a d'excentrique, de grotesque ou de métaphorique, c'est l'ultime jeu en enfer avec les fous, ou tout est fait pour le style. Tarantinesque : Sion nous propose la jouissance du film. 🎥

lundi 4 avril 2022


TAG

TAG (2015)

Sono Sion jouit d'un constat similaire a Lynch : pourquoi se plaindre de l'absurdité d'un film si la vie elle même est absurde ? Il nous plonge alors dans un purgatoire remettant en question le lien entre le signifiant et le signifié, comme si Pasolini avait rencontré Fukasaku 🪶

lundi 4 avril 2022


Rashômon

Rashômon (1950)

"On dit que l'infamie des hommes a fait fuir des démons de Rashômon !". Un lieu, une situation, des biens et un cadavres, ainsi se lance le Cluedo divin. Pas le temps de s'ennuyer, place au cinéma dans sa quintuple états pur... Mais vous ? Vous croyez toujours en l'humanité ? 🪢

dimanche 3 avril 2022


Buffet froid

Buffet froid (1979)

L'ultime déconstruction d'un genre obscur... Ce buffet froid offert sur un plateau d'argent sans queue ni tête s'en révèle bien plus sensée qu'il en a l'air. Un véritable pastiche mêlant Buñuel a Audiard, le théâtre de Ionesco : goûtez-y, immense chef d'œuvre surréaliste. 🗡️

samedi 2 avril 2022


25 façons d'arrêter de fumer

25 façons d'arrêter de fumer (1989)

100% Véridique, un film a montrer a tout les pompiers ! 🚬

mercredi 30 mars 2022


Dodes'kaden

Dodes'kaden (1970)

Tchou Tchou ! A chaques wagons son cinéma, des rapports. Si Kurosawa laisse l'image de côté pour se concentrer sur des situations et des dires, il le fait avec panache, qui sucite son lot d'émotion, de rire, et de souvenirs. Un film sur le père, sur l'enfant, sur le Japon. 🚂

mardi 29 mars 2022


Rage

Rage (1977)

Je me suis surpris assez étonnamment et honteusement entrain de déprécier un film de Cronenberg. J'ignore ce qu'il cloche avec celui-ci, je devrait le revoir dans de meilleures conditions, mais de loin : c'est vraiment son moins exigeant, et pourtant j'aime les zombies... 🧟

mardi 29 mars 2022


Kaili Blues

Kaili Blues (2015)

Quel Chef-d'œuvre ! Mais putain, mais Quel Chef-d'œuvre ! Tarkovsky à un enfant, et il s'appelle Bi Gan ! 🏍

lundi 28 mars 2022


Une longue journée qui s'achève

Une longue journée qui s'achève (1992)

Expérience Cinématographique de 80 minutes, "The Long Day Closes" est un bijoux de rêverie et de souvenir, non sans rappeler les troubles de Pink entre les murs de Floyd, une peur d'en enfant anglais devenu adulte, une bande son et visuelle passionnante : un film passionné. 🙏

dimanche 27 mars 2022


Charulata

Charulata (1964)

Indiscutablement un Immense chef d'œuvre, influencé et influençable, Satyajit Ray nous montre la une fresque sociale et féministe, révolutionnant son pays et le langage cinématographique, dogmatisant et poétique, proche de la plume de Minnelli. Irréfutable et Folklorique. 🗞️

dimanche 27 mars 2022


We Need to Talk About Kevin

We Need to Talk About Kevin (2011)

J'ai besoin de vous parler de Kévin... Kévin c'est un film extraordinaire, je n'ai jamais autant détesté un enfant de ma vie, et c'est pour ça que je l'aime. Un calvaire orchestré par une mise en scène Hanek-esque. Et des acteurs formidables. Je ne veux pas d'enfant... 🏹

samedi 26 mars 2022


Naked

Naked (1993)

Symbolique et Philosophique : Bienvenue dans les bas fond de Londres, ou on se demande a chaque minutes ce que dieu a fait de nous, pauvres carcasses. Un film bavard, décadent, malicieux. Brillante interprétation de David Thewlis dans son meilleur rôle.🤵🏻

samedi 26 mars 2022


Le Septième Continent

Le Septième Continent (1989)

Haneke trouve la solution. Résoudre l'aliénation et nos problèmes de vie et de bourgeoisie. Si ce n'est pas le suicide, alors c'est la lutte : contre les codes. Subversion de chaque instant, des personnages aux dogmes, tout, passe au crible de la fin heureuse. 📺

mardi 22 mars 2022


Achille et la tortue

Achille et la tortue (2008)

À chaque coup de pinceau donnée une émotion, un romantisme, caressant notre part sensible : Une peinture s'approchant de la révolution d'Ionesco, oui, révolution, ironique et mortifère, paradoxalement les sommités de l'art : l'art avec un grand K. Chef-d'œuvre suicidaire. 🌻

lundi 21 mars 2022


Glory to the filmmaker !

Glory to the filmmaker ! (2007)

Pourquoi aimez-vous tant le cinéma ? Car le monde des films, merveilleux, provient de l'esprit savant d'une seule personne, d'un seul enfant, avec qui on s'amuse. Cet enfant triste, en recherche, explosant de joie : notre meilleur ami pour la vie. Gloire aux Cinéastes ! 🚀

lundi 21 mars 2022


Antoine et Colette

Antoine et Colette (1962)

Touchant enfantillage. Truffaut brille par la simplicité de son langage, profondément synthétique et frénétique, un film d'auteur dans tout les sens du therme. 💿

lundi 21 mars 2022


Takeshis'

Takeshis' (2005)

C'est dans un esprit destructeur et sans remords que Kitano lance sa trilogie du cinéaste. Takeshis' est une œuvre profondément jusqu'au boutiste et subtile, ou le fantasme se mêle à une triste réalité, complexe et subversif : une magnifique bataille interne, cinéphilique. 🤡

dimanche 20 mars 2022


Labyrinth of Cinema

Labyrinth of Cinema (2019)

Pourquoi aimez-vous tant le cinéma ? Car c'est l'art de l'immortalité, qui additionne toute la créativité, toutes les cicatrices. Une œuvre enthousiaste, Gilgameshienne, passant par tous les artistes, Ford, Capra, Ozu, Yamanaka... Et poètes. Chef-d'œuvre antiguerre, dingue ! 🐟

samedi 19 mars 2022


Boîte noire

Boîte noire (2021)

Si "Boite Noire" est abouti techniquement sur tous les points audiovisuels, et que le film réussi à instaurer une ambiance paranoïaque, il pêche cependant sur ses dialogues emplis de jargon, et ses facilités scénaristiques. 🛩

samedi 19 mars 2022


Outrage Coda

Outrage Coda (2017)

Vengeance ? Règlement de Compte ? Lassitude ? Simple décomplexe ?... Malgré une introduction et une résolution éloquente, et une certaine cruauté, Outrage 3 est décousu, bavard... Mais je ne peux m'empêcher d'y voir un éternel au revoir. L'assassinat d'une pale figure.🚗

vendredi 18 mars 2022


Outrage 2

Outrage 2 (2012)

Un spectacle de fantôme. Nous voilà en face d'une carcasse repêchée, perdu de toutes saveurs. Bavard et Longuet, dans un monde vidé de substances, seul le fantôme se remémorant de son temps en vivant suscite un peu d'intérêt. Mais désuet... Kitano est déçu, et il le sait. 🚔

vendredi 18 mars 2022


Outrage

Outrage (2010)

Enchaînant les exécutions plus froides que jamais, Kitano s'oppose à un cinéma qui se modernise. La froideur et l'inconfort procuré par ces scènes vient nous lacérer et c'est tel 3 coups de feux dans le ventre que K. nous annonce sa résistance, la plus mélancolique qui soit 🚘

jeudi 17 mars 2022


Le Bal de L'horreur

Le Bal de L'horreur (1980)

Prom Night c'est vraiment eprouvant a voir, la présence de "Lynch" au generique ne sucite pas l'horreur, l'inconfort et le degout, mais simplement le degout, le degout du cinema slasher debile americain... Normal, c'etais Paul Lynch en fait... 🧹

jeudi 17 mars 2022


Le Fantôme de la liberté

Le Fantôme de la liberté (1974)

« Un spectre hante l'Europe : le spectre du communisme. » Vous préférez l'autruche ? Pourquoi ? Eh bien... Attendez... Sí... no tiene que tener sentido, el arte es la magia del sueño sensato y no sentimental, vivant, l'art dans son sens le plus profond, le plus blasphématoire 🦊

mardi 15 mars 2022


L'Âge d'or

L'Âge d'or (1930)

Buñuel est un démon, et j'aimerais être une sorcière ! 🦂

lundi 14 mars 2022


Los olvidados : pitié pour eux

Los olvidados : pitié pour eux (1950)

Constat frappant des symptômes de la misère : les oubliés. Mais ne les jugez pas trop vites ! Derrière ce pessimisme de chaque instants, derrière la misère mis en exergue par des emboitements de plans malins, se cache une profonde tristesse, un cris du cœur inoubliable. 🔪

dimanche 13 mars 2022


Belle de jour

Belle de jour (1967)

Les pratique sexuelles perverses de la bourgeoisie sont sujet de fascination pour le maître surréaliste du cinéma. En sort un film aussi bipolaire que notre protagoniste pour notre plus grande délectation. Belle de Jour, Mordante la nuit. 🍸

samedi 12 mars 2022


Un condamné à mort s'est échappé

Un condamné à mort s'est échappé (1956)

"Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d'où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'Esprit." - Jean 3:8. Un cinéma litteraire, le grand art, l'échappée belle.🥄

vendredi 11 mars 2022


Ryuzo and the seven Henchmen

Ryuzo and the seven Henchmen (2015)

Chez Kitano, la vieillesse a une saveur de moquerie. Plus proche de son film de dragueur, et son film de samouraïs rêvé, on vit avec ces étranges papis la fin d'un sketch, la fin d'un temps, la fin... On aurait aimé un final plus grandiose encore : Kitano part avec un pet. 🚍

jeudi 10 mars 2022


Johnny 316

Johnny 316 (1998)

Folie sur les etoiles, parlant du lien que les hommes entreprennent entre les rempart des rues sales et les cieux inconnus et imprévisibles, le premier long métrage d'Ifergan respire l'enfer a l'italienne, dans une ambiance unique, bien qu'un peu répétitive. ✝️

mardi 8 mars 2022


Night Fishing

Night Fishing (2011)

Très folklorique... relevant plus de la folle et etrange démonstration technique. Park Chan-Wook et Park Chan-kyong nous prouvent qu'il est possible de faire tout et n'importe quoi (mais surtout tout) avec un téléphone... 🎣

dimanche 6 mars 2022


Théorème

Théorème (1968)

Cauchemard divin ! Dieu nous enlise, nous baise complètement, dans cette satire de la bourgeoisie, sombrent dans une folie vaine et furieuse. Cette ambiance si Mystique et Angoissante, rend ce Theoreme agréable à résoudre. Un traumatisme ! ⛪️

dimanche 6 mars 2022


La Ruée vers l'or

La Ruée vers l'or (1925)

Je n'ai peu de choses à dire. Même si il peine à autant me faire rire que dans certains de ses autres films, Le clown s'en vas vers les montagnes, des rencontres et du romantisme, Le Vagabon ne cessera donc jamais de nous toucher ? 🐻

samedi 5 mars 2022


Life is But a Dream

Life is But a Dream (2022)

Très expressif... relevant plus de la folle démonstration technique et de la publicité. Park Chan-Wook nous prouve qu'il est possible de faire tout et n'importe quoi (mais surtout n'importe quoi) avec un téléphone... 🌂

samedi 5 mars 2022


Nimic

Nimic (2019)

Âme vidée de substance dans un film ou l'angoisse nous gaite dans les transports. Lanthimos continue sa lignée de films fantômes. 🎻

samedi 5 mars 2022


ตะวันดับ

ตะวันดับ (2018)

Radical. Une belle porte que je viens de prendre vers ce cinéma contemplatif mystique, crépitent de rêve et de transparence. Weerasethakul n'est définitivement pas un simple fonctionnaire de la caméra 🛌

samedi 5 mars 2022


La Vague

La Vague (2008)

Caricatural au possible, le film perd de toute sa suspension de l'incrédulité, et son analyse sociologique s'en voit entaché, les personnages sont des clichés et la tendance au modernisme rend le film un peu risible, malgré tout il en ressort ses moments de fulgurances. 🌊

vendredi 4 mars 2022


Zatoichi

Zatoichi (2003)

Revenant à ses fondamentaux, il s'amuse et nous offre son œuvre la plus... Exotique... Si la jouissance des regards et l'hommage à Kurosawa est jouissive, K. s'adonne à un conte plus tape l'œil, à vouloir plaire, peut être moins sincère, mais ne cachons pas dans le saké. 🍶

vendredi 4 mars 2022


Mise à mort du cerf sacré

Mise à mort du cerf sacré (2017)

La chanson du feu chantée sous l'arbre, déambulant dans les couloirs : nous voila face au film sans âme, sans vie, comme si on regardais un cadavre avec un sursaut d'émotion, c'est dérangeant, traumatisant, fascinant, l'ultime damnation, la mise a mort du spectateur. 🍝

vendredi 4 mars 2022


Dolls

Dolls (2002)

文楽 Renouant avec culpabilité, son passé et sa culture d'une cruauté mordante, ou la rédemption est définitivement absente, seulement la réunion improbable des 傀儡 êtres sensibles : le plus beau film sur l'amour et le folklore que vous verrez de votre vie... 🍂

vendredi 4 mars 2022


Aniki, mon frère

Aniki, mon frère (2000)

Cherchant encore indéfiniment ce qui anime son existence, rejeté des siens, débarque en occident pour nous offrir la plus sombre, et pourtant infantile, joyeuse, ballade, avec une forme cyniquement composée, un jeu penché : le plus spectaculaire des suicides. 🏀

mercredi 2 mars 2022


In girum imus nocte et consumimur igni

In girum imus nocte et consumimur igni (1978)

Debord signe son testament... Cette fois-ci, il est bien plus romantique, il représente l'électron libre au centre d'un triste monde, et nous invite dans sa conception : ou nous tournons en rond dans la nuit et nous sommes dévorés par le feu... 🌆

mardi 1 mars 2022


Réfutation de tous les jugements, tant élogieux qu'hostiles, qui ont été jusqu'ici portés sur le film « La Société du spectacle »

Réfutation de tous les jugements, tant élogieux qu'hostiles, qui ont été jusqu'ici portés sur le film « La Société du spectacle » (1975)

Bon dieu ! Je n'avais jamais vu un film aussi Radical ! D'une agressivité et en même temps il fallait vraiment oser. C'est vraiment la porte de toute sa philosophie, on ne pouvais dire/faire mieux. Je suis bouche bée. Tout à été dit. Malgré nos conflit, debord nous a assassiné 🎙

mardi 1 mars 2022


La Société du spectacle

La Société du spectacle (1974)

Paradoxalement... je pense que cet ennuie que j'ai ressenti étais volontaire. Debord nous fait fuir de cette société du spectacle de l'intérieur, il détourne et parle, une fois l'information en tête : on voit le ciel différemment. Il faut être courageux. 🎫

mardi 1 mars 2022


Demon Slayer : Kimetsu no Yaiba

Demon Slayer : Kimetsu no Yaiba (2019)

C'est pas moche, mais c'est assez mal écrit... Assez dommage que cet aspect Shonen Gâche tout, "Les Rodeurs de la Nuit" aurait pu etre une bien meilleure épopée. Mais ça ce suit vraiment pas trop mal, et encore une fois ; graphiquement aboutit. 👺

mardi 1 mars 2022


Avengers : Endgame

Avengers : Endgame (2019)

Quand on entend enfin les personnages communiquer, c'est avec les mêmes problèmes de mise en scène que dénoncé dans la totalité du MCU, malgré une autre approche, il multiplie les défauts et les poncifs, vraiment, je ne peut pas... Debord en est navré.⭐

mardi 1 mars 2022


Breaking Bad

Breaking Bad (2008)

Le protagoniste sombre avec le spectateur dans le crime des plus total, jusqu'à la rédemption. Subtilement bien écrit, incroyable prestation, a vous casser salement. ⚗️

mardi 1 mars 2022


Rick et Morty

Rick et Morty (2013)

Hilarant 🧬

mardi 1 mars 2022


Free Guy

Free Guy (2021)

Vu et Revu 🎮

mardi 1 mars 2022


Les Simpson

Les Simpson (1989)

Les Simpson ont perdu beaucoup de leurs sens au fil des saison... 🍩

mardi 1 mars 2022


Lucifer

Lucifer (2016)

La série semble vouloir faire de la subversion un film porno : moche et pas si vile. 😈

mardi 1 mars 2022


Good Doctor

Good Doctor (2017)

Oubliable, la série secoue son protagoniste pour le rendre touchant a tout prix, personnellement son intelligence supérieure me fait rendre le déroulement des épisodes plutôt pénible., Lambda. 👨‍⚕️

mardi 1 mars 2022


Critique de la Séparation

Critique de la Séparation (1961)

Debord en remet une couche ! Redondant mais toujours pertinent, il s'attaque cette fois ci à votre conception du cinéma, entre le signifiant et le signifié, et continue à vous marteler un message d'utilité. 📖

mardi 1 mars 2022


Agatha Christie - Dix petits nègres

Agatha Christie - Dix petits nègres (2015)

Imaginez un excellent livre, mis en scène scolairement 👨‍⚖️

mardi 1 mars 2022


Sur le passage de quelques personnes à travers une assez courte unité de temps

Sur le passage de quelques personnes à travers une assez courte unité de temps (1959)

L'anti-Homme à la caméra. Si les images sont d'actualité, et que le film est une capsule temporelle, ses dires, eux, sont bien modernes. Cette rue n'a point changé, tout comme les macaques que l'on est, et nos films, eux, pervetissent notre condition d'esclave. 🥃

mardi 1 mars 2022


Hurlements en faveur de Sade

Hurlements en faveur de Sade (1952)

« Ici, les spectateurs, privés de tout, seront en outre privés d’images. » 🎞

mardi 1 mars 2022


Persona

Persona (1966)

Persona ne se critique pas, il est bien trop vaste. Il vient titiller le spectateur et son rapport au corps et surtout à l'art. Il le trouble, vient le prendre sur ses pensées, sur sa persone, son image. Magnifique, touchant : peut être le meilleur de son realisateur. 🎞

lundi 28 février 2022


Caché

Caché (2005)

Un jeu de cache-cache comme revisite de l'autoroute perdue de David Lynch... Conflit de salle de classe. Carnet d'angoisse. Fixité glaçante, comme le sang projeté sur la bibliothèque de livres qu'on n'a pas lu. Alors... On rebobine la cassette, on fuit comme l'enfant. 📼

lundi 28 février 2022


Eyes Wide Shut

Eyes Wide Shut (1999)

Mettez votre plus beau masque, et allez assouvir vos meilleurs fantasmes, loin de votre couple, vous vous retrouvez dans une histoire de faux semblant, ou le monde n'est que séduction, une seule solution à ce problème : "Baiser". Magnifique réflexion sur l'amour, la luxure... 🎭

dimanche 27 février 2022


Fleuve noir

Fleuve noir (2018)

Je n'ai jamais vu un truc aussi mal joué de ma vie ! Nanard Formidable ! 👮‍♂️

dimanche 27 février 2022


A Scene at the Sea

A Scene at the Sea (1991)

La Valse silencieuse démarre en bord de mer, alors que commence le jeu de regard. Si l'œuvre est d'une simplicité sans nom, elle gagne en subtilité. On y ressent un comique en perte, cherchant radicalement les réponses au sens de sa vie. 🏄‍♂️

samedi 26 février 2022


Alphaville, une étrange aventure de Lemmy Caution

Alphaville, une étrange aventure de Lemmy Caution (1965)

Série de chiffres formant des mots, en soit, image parfaite du long métrage. Ou chaque lettres est un code, binaire, certes, mais aussi poétique, passé le stade de l'œil, ils arrivent jusqu'au crane, une fois compris, sort naturellement, doucement, un "Je vous aime". 🎙️

samedi 26 février 2022


Les Frissons de l'angoisse

Les Frissons de l'angoisse (1975)

Réflection sur la vacuité de la vie et de la réalité. Une prise de conscience représenté par la perversion de l'âme et de l'esprit. Oui. Amusez-vous, Buvez, Jouez, Chantez. Mais ne cherchez pas ce qui est caché dans cette scène de crime. Dommage qu'il y ait cette romance... 🎄

mercredi 23 février 2022


Getting Any ?

Getting Any ? (1994)

Mesdames et Messieurs, bienvenue à Instant Hell Airline, veuillez attacher votre ceinture et souscrire à la meilleure assurance vie possible, vous allez traverser une avalanche de blagues de clowns triste, Ionesc-esque, Jodoros-quesque. Le plus beat de tous les beat Kitanesque 🚘

samedi 19 février 2022


L'Été de Kikujiro

L'Été de Kikujiro (1999)

Réponse directe aux feux d'artifices brillants dans la nuit obscure, un passage au flambeau d'une innocence hors norme, ou l'on ressent toute la jouissance de la jeunesse. Des vacances sans fin, une longue route, pour un éclat de soleil. Synthèse de son cinéaste, angélique... 🐙

vendredi 18 février 2022


Hana-bi - Feux d'artifice

Hana-bi - Feux d'artifice (1997)

花 - L'homme balafré cachant son regard contemple la mer 火 - Pensant a son passé, au futur et a l'actuel 雪 - L'ange s'étend à son bras 海 - Rigolant pour la dernière fois 光 - La musique se met à jouer 自殺 - Le peintre met un dernier coup de pinceau 花火 - Rien ne sera oublié. 🪁

lundi 14 février 2022


Kids Return

Kids Return (1996)

Autobiographie, d'une subtilité sans fond, lançant sa période phare, ou il revisite son passé avec beaucoup d'amour, mais aussi de dérision. Un film d'une saveur exceptionnelle, touchant, ou l'on sait ce qu'est de vivre tel Kitano, avec Kitano, dans son retour en enfance. 🥊

dimanche 13 février 2022


Jugatsu

Jugatsu (1990)

Comme image de vie : une série de péripéties et de conséquences à répétition. La débilité constante mélangée aux émotions profondes. La nullité, le dépassement, la vengeance, l'accident, la folie, la haine, la violence, un Karaoké... Sans musiques. ⚾️

samedi 12 février 2022


Violent cop

Violent cop (1989)

"Ce monde est fou"... Il commence par avoir l'habitude, à force de voir les cadavres tomber comme la pluie, Azuma à perdu toute la force d'exprimer sa pensée. Cette violence d'une savoureuse froideur, dans l'arme toute fraîche d'un jeune Kitano. Le plus grand silence. 🚓

samedi 12 février 2022


Voyage au bout de l’enfer

Voyage au bout de l’enfer (1978)

Une explosion... L'arme en joue se pointe sur notre front... Sorti du mariage, regardant le cerf, il constate, la froideur du monde... La chaleur du lance flamme, la misère sociale, le traumatisme ultime. Il tire... La délivrance.🦌

vendredi 11 février 2022


L'Année du dragon

L'Année du dragon (1985)

Si on deplore son rythme et sa tendance à être trop verbeux. Cimino dépeint une Guerre froide profonde à Chinatown, ou à chauques coins de rue est une embuscade, chaques décisionnaires regardent avec égoïsmes, chaques soldats le prennent personnellement, d'une froideur moderne 🀄

vendredi 11 février 2022


L'Île

L'Île (2000)

Kim Ki-duk part à la pêche à l'homme... Difficile encore de savoir si c'est du lard ou du cochons. Ce qui est certain, c'est qui si il s'apparente à un exercice de style, il provoque directement l'attention sur la cruautée et la sexualité à sa manière. 🎣

vendredi 11 février 2022


Miller's Crossing

Miller's Crossing (1990)

Chaque dialogue est une balle, chaque balle est une jouissance. C'est d'une folie maniériste, noir, qui prend aux tripes autant qu'ils les gonflent de rire : le rire nerveux d'une gêne sans pareil, ce rire subtil, froid, mais bien vivant. 🎩

mardi 8 février 2022


L'Homme à la caméra

L'Homme à la caméra (1929)

Le monde, les Gens, La Manivelle, La Bobine... Et la Toupie Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne, Tourne 👁

lundi 7 février 2022


L'Intendant Sansho

L'Intendant Sansho (1954)

Poésie au grands espaces, ou la nature exprime les emmottions de ses personnages. La fin sublime le jeu Shakespearien typée Kabuki, ou les hériter de ces deux âmes en peine donneront naissance a une poésie plus pessimiste encore : Le Cinéma. 🌾

samedi 5 février 2022


Uncut Gems

Uncut Gems (2019)

À bout de souffle, vous vendez votre dernière montre et vous assistez à un match décisif. Chaque seconde de dialogue s'empilent et montent crescendo pour atteindre la note la plus puissante : le défoulement, ou on souffle enfin : "Je vais Jouir" ⌚️

samedi 5 février 2022


Obsession

Obsession (1976)

Rouge, Vert, Bleu... Les couleurs apparaissent sur l'écran. Madeleine renaît, c'est un vertige, à chaque re-decouverte on glisse dans l'amour du cinéma. Ce questionnement de l'image et de la cinéphile, qu'avais fait Marker avant lui, mais plus citée : la restauration ultime. ⛪️

mercredi 2 février 2022


Citizen Kitano

Citizen Kitano (2020)

Bon dieu que je l'aime ce mec. 🌅

dimanche 30 janvier 2022


Le Sommet des dieux

Le Sommet des dieux (2021)

Glacial. Sommets atteints. Ou chaque image est divine. Chaque voix provoque un éboulement. Chaque hauteur nous fait frissonner, oui, frissonner, on a froid et peur a chaque moment que les dieux font devant le film de Patrick Imbert. 🏔️

jeudi 27 janvier 2022


Mandibules

Mandibules (2020)

C'est le film le plus ᴛᴀᴜʀᴇᴀᴜ que j'ai jamais vu. 🪰

mardi 25 janvier 2022


Benedetta

Benedetta (2021)

Ce monde religieux, pestilentiel, ou nous croupillons sous les juridictions de notre seigneur. Qu'est-ce que l'on peut sauver ? Le jeu d'acteur ? Non il est bien trop parfait... La Mise en scène ? Non... Notre condition de pécheurs... D'insectes infect. ⛪

lundi 24 janvier 2022


Saint Maud

Saint Maud (2019)

Passé ces intentions de film d'angoisse et ses influences littéraires, Grass offre un film qui tient sur un post-it, manquant de développement, mais avec suffisamment de matière pour offrir une histoire de péchés, et de métamorphose. ✝️

dimanche 23 janvier 2022


Bad Luck Banging or Loony Porn

Bad Luck Banging or Loony Porn (2021)

D'une subversivité phénoménale ! Une énorme claque dans la tronche ! Si la colère est de la prostitution, ce film est de la pornographie, 3 séquences dont les deux dernières de pur bonheur, brisant toute règle, offrant une vision nihiliste du monde, qui nous enrage. 👩‍🏫

vendredi 21 janvier 2022


Cryptozoo

Cryptozoo (2021)

Si "Cryptozoo" est un voyage visuel hallucinant, il en demeure peut etre plus classique dans son scénario. Néanmoins c'est une expérience graphique nous plongeant dans les coffin de l'humain, de l'irréel, de la cryptozoologie, des fantasme et des couleurs. Mieux qu'un pet. 🦄

jeudi 20 janvier 2022


La Jeune Fille et l'Araignée

La Jeune Fille et l'Araignée (2021)

Une proposition de cinéma 100% 8 clos qui ne tient que sur un fil. Si j'arrive à comprendre qu'il est bien ficelée tant le réalisateur rythme cela d'une main impressionnante, il est servi pas une histoire de scènes de vies conjugales qui elle nous envoie dessiner ailleurs. 🕷

jeudi 20 janvier 2022


Le Peuple loup

Le Peuple loup (2020)

Si "Le Peuple Loup" étais une friandise, il serait un délicieux gâteau rempli de pate d'amande fait avec cœur, on penserais manger un bonbon de Willy Wonka : délice visuel, délice de chaque instant, simple, efficace... Et oui, je crie au loup, a raison. 🏹

mercredi 19 janvier 2022


Dorohedoro

Dorohedoro (2020)

Imaginez un univers de shonen, ou a chaque combat de Naruto, de Dragon Ball, de One Piece, se trouve dans les décombres ou pris par un projectile perdu, un civil. Le protagoniste n'est plus le jeune homme ambitieux : Mais une victimes collatérale cherchant vengeance. Enragé. 🍄

mercredi 19 janvier 2022


Fahrenheit 451

Fahrenheit 451 (1966)

"Il est de la règle de vouloir la mort de l'exception... Quand il faudra fermer le livre, ce sera sans regretter rien..." Vivre dans le consumérisme, dans la règle, dans un monde ou l'art est prohibé. Horreur ! Mis en exergue par l'ambition d'un Truffaut, mais pas son meilleur 📚

lundi 17 janvier 2022


Teddy

Teddy (2020)

Bruno Dumesque, mémorable a chaque instant tant il réussit à instaurer une ambiance unique en son genre, mordante, à la sudiste, ou on se délecte de chaque instant d'image, de jeu, et d'immondices. Au sourire de la peine lune, le loup pleure pour nôtre plus grand bonheur. 💆‍♂️

dimanche 16 janvier 2022


Wolf

Wolf (2021)

Unique et étrange, on peut dire qu'il est en effet spécial. Si le film se plie à quelques lourdeurs de dialogues et de scénario par moment, il n'en dé-mord pas d'être fou, Tel un "Vol au dessus d'un nid de Coucou" moderne... Ou cette fois-ci : on est le Coucou. 🐺

dimanche 16 janvier 2022


Je vous salue, Sarajevo

Je vous salue, Sarajevo (1993)

"J'ai vu tant de gens si mal vivre, et tant de gens mourir si bien". Magnifique texte, magnifique prose, magnifique musique, Immonde Image, il m'en fallait peu pour me convaincre. 🏴󠁡󠁦󠁷󠁡󠁲󠁿

dimanche 16 janvier 2022


France

France (2021)

La France... Elle pleure ? Dans ce monde faux, dans ce monde absurdément réaliste qu'est celui de Dumont ? Qui chavire dans le drame satirique, subtil, poignant et ambitieux, avec une Seydoux exceptionnelle, ou la France, la France de la Règle, s'entête à devenir l'exception. 🎤

vendredi 14 janvier 2022


Il n'y aura plus de nuit

Il n'y aura plus de nuit (2020)

Il n'y aura plus de vivant. Il n'y aura plus de jours d'été heureux. Il n'y aura plus de fiction. Il n'y aura plus d'ennuie. Seul le cinéma véritable compte ici. La Camera est une arme redoutable. Elle tue nos émotions... Nous titillent. Ce qu'il y a : Le Traumatisme. 🚁

vendredi 14 janvier 2022


À l'abordage !

À l'abordage ! (2020)

Tiens bon la vague et tiens bon le vent ! Hissez haut! Santiano! L'amour, cette chaleur, nous rend bête a souhait, cette beauté de la bêtise est aussi touchante que chaque instant de ce film. Brac filme magnifiquement la frustration sexuelle et les relations humaines. 👶🏻

jeudi 13 janvier 2022


La Main de Dieu

La Main de Dieu (2021)

2, il a suffit de 2 parties pour que Sorrentino nous expose à la main de dieu. Il est né de Dieu, née de la lumière, consubstantiel au Père ; et par lui tout a été fait. Même si il ne parviendra pas a marquer, le film est celui des laid, du peuple, de l'art : l'art de la vie. 🚤

mardi 11 janvier 2022


Don't Look Up : Déni cosmique

Don't Look Up : Déni cosmique (2021)

Vous allez tous mourir ! Et c'est tant mieux pour vos sales tronches. Même si il nous fend pas en deux de rire, il en dénote une sacrée pertinence, et un cynisme de toute jouissance de ce film sur la fin du monde. Je lui reprocherais sa timidité, et ses longueurs. ☄️

dimanche 9 janvier 2022


Petite maman

Petite maman (2021)

Après cette romance enflammée, Sciammat nous reviens avec une relation plus jeune. Constamment tendre, agissant tel un jeu d'enfant, d'une nostalgie à nous faire varier avec les âges, "Petite Maman" nous propose un monde mignon, un monde de cœur. 🥣

dimanche 9 janvier 2022


The Dig

The Dig (2021)

Inintéressant au possible. Coquille vide qui se contente uniquement d'appliquer une photo laineuse a un style proche de Malick en surface pour ne faire rien avec. ⛏️

samedi 8 janvier 2022


Pieces of a Woman

Pieces of a Woman (2020)

On applique un verni de film d'auteur au plans étiré à la Gus Van Sant sur une histoire mélodramatique assez classique, en donne un film beau sur la forme mais vide dans le fond. Le film est exactement ce qu'il est censé être : limité. 🍎

samedi 8 janvier 2022


Halloween

Halloween (2018)

Sans trop d'intérêt. Au final ce "Halloween" est plus proche du genre slasher que des films dont il s'inspire, a coup de meurtre violent et corporel de débiles sans personnalités, les folies de Carpenter en moins. Il y avais de l'idée au moins, c'est mieux que rien ? 🎃

samedi 8 janvier 2022


First Cow

First Cow (2019)

D'une tendresse absolue. L'atmosphère est tellement reposante, le film nous abreuve d'un tendre lait constamment, il traite constamment son jeu d'acteur avec minutie. C'est simple : tout est touchant, tout est un repos, une proposition de western contemplatif, adorable. Doux. 🐄

vendredi 7 janvier 2022


Ride Your Wave

Ride Your Wave (2019)

On a confié a Yuasa une énième romance a l'eau de rose, typique de l'animation japonaise : il en a fait une œuvre a la poigne constante, d'un rythme effréné, ou on a jamais le temps de s'ennuyer, et de respirer, une fois la tête hors de l'eau. Vraiment Sympathique. 🐬🐢

vendredi 7 janvier 2022


The Nightingale

The Nightingale (2018)

Quelle déception ! Passé le message et le contexte historique, le film est d'une lourdeur scénaristique, le méchant est vraiment très méchant, les protagonistes vont passez leurs temps a dire a voix haute leurs messages, heureusement que la photo lève un peu le niveau. Bordel. 🐦

jeudi 6 janvier 2022


Les cinéphiles

Les cinéphiles (2017)

"Rooh, ces méchants snobs du cinéma qui sabote la cinéphilie du public !" Non sérieusement... Le complotisme du cinéma (en plus c'est tellement nul). 🎦

mardi 4 janvier 2022


Lamb

Lamb (2021)

Mon favori de 2021 : "Lamb" n'est pas à mettre entre tous les sabots. Il propose une expérience qui s'étire, dans des décors naturels mis en valeurs, et une aspérité proche du reportage, un reportage sur le déclin de notre monde, tel le tango de Satan. 🐑

lundi 3 janvier 2022


Tout sur ma mère

Tout sur ma mère (1999)

Plastiquement, émotionnellement, graphiquement, musicalement, impeccable. C'est d'une singularité visuelle sans précédent. Cela dis ou ça prêche c'est au niveau scénaristique. Partant dans une histoire trop divisée, avec trop de parties, peu entretenant... Beau mais chiant. 👄

samedi 1 janvier 2022


Trois couleurs : Rouge

Trois couleurs : Rouge (1994)

Fraternité : Aaah. Que c'est beau. Les relations humaines bien que complexes offrent leurs bon lot de chef d'œuvre. Cette complexité est rendu poétique par Kieślowski, absolument passionnante, mêlant des histoires en parelle. C'est absolument sublime. ☎️

jeudi 30 décembre 2021


Trois couleurs : Blanc

Trois couleurs : Blanc (1994)

Egalité : Inexistant. Cette vaste blague, a l'image de ce film : le concept même de l'égalité est cynique, d'une moquerie profonde. Etes-vous égaux financièrement ? Et sexuellement ? Et la santé ? Un film poignant et magnifique qui singe complètement ce concept fictif. 💒

jeudi 30 décembre 2021


Trois couleurs : Bleu

Trois couleurs : Bleu (1993)

Liberté : se libérer de notre deuil, de notre passé, de notre tristesse. Un film de la vie, un film orchestré, la main de maitre, symbolique et tellement puissant, ce montage, ce chœur ! 🏊

jeudi 30 décembre 2021


Spider-Man : No Way Home

Spider-Man : No Way Home (2021)

Une catastrophe industrielle, justifiant un fan service baveux avec des conneries scénaristiques et du non sens. Le film échoue aussi en tant que suite de tout les autres, personnages réduit et mal développé. Et surtout un désastre artistique : C'est un viol de Cadavre. 🕷️

mercredi 29 décembre 2021


Le Scaphandre et le Papillon

Le Scaphandre et le Papillon (2007)

Je n'en ai rien a faire, de me faire amener au fond de l'océan avec cet homme, emporté par son scaphandre, les fonds marins me plaisent ! Quel passion ! La photo, la mise en scène, au point, a la première personne, sublime. Me noyant dans les larmes (cette scène du père...). 👸🏻

mardi 28 décembre 2021


Seven

Seven (1995)

1. Affamé de plans maitrisés. 2. Avare d'idée créatives. 3. Ne se laisse pas envahir par la paresse. 4. Une Envie de vous mettre dans l'ambiance. 5. Colérique : comme vous devant le climax. 6. Mérite son Orgueil tant il est magistral. 7. Se paie le Luxe de taper ta rétine. 📦

mardi 28 décembre 2021


Spider-Man : Homecoming

Spider-Man : Homecoming (2017)

Se contentant de filmer bêtement un inconnu, sans saveur sans dépassement, le minimum syndical. Que dis-je ? Même pas ! A des années lumières de tout ce qu'a produit le cinéma d'action, et a ce qu'il parait c'est bien, parce que c'est Spider-Man ? Mais sinon quoi ? 🦅

samedi 25 décembre 2021


The Amazing Spider-Man : Le Destin d'un héros

The Amazing Spider-Man : Le Destin d'un héros (2014)

Il améliore ce qu'il devait améliorer, mais garde pour lui : Le mélo-dramatisme à outrance, pompeux, la lourdeur de certains dialogues, mais il se bouge : une action pétillante, un homme éléphant mémorable et symbolique, un grand plaisir coupable. ⚡

samedi 25 décembre 2021


Spider-Man 3

Spider-Man 3 (2007)

On sent une certaine lassitude, une lassitude de l'amusement, comme un enfant avec un jouet, puis on le vend, et au détours d'un magasin de jouet on le revoit, et on y pense : "Bon dieu que je l'aimais ce jouet". 🍸

samedi 25 décembre 2021


Spider-Man 2

Spider-Man 2 (2004)

Certainement le meilleur film Spider-Man, l'un des meilleurs film de Super-Héros, un des meilleurs Blockbuster, et Film d'action existant dans le paysage cinématographique. Le film a été conçus pour être d'une jouissance absolue par Raimi : ce malade mental ! 🕶️

samedi 25 décembre 2021


Spider-Man

Spider-Man (2002)

Raimi affirme avec ce premier Spider-Man qu'un vieux produit marketing peut être un très grand film, il ne se perd presque jamais dans les poncifs de films de super-héros et se permet d'avoir une mise en scène incroyablement créative flirtant avec l'horreur et la comédie 🕷️

samedi 25 décembre 2021


Sonatine, mélodie mortelle

Sonatine, mélodie mortelle (1993)

Froid, terriblement froid, glacial même, d'une conscience sur la mort à nous congeler sur place... Kitano incarne à la perfection l'immonde assassin sans cœur. Puis : la nature, le jeu, le vent, vous l'entendez ? Cette douce mélodie mortelle ? Le silence. 🥏

mardi 21 décembre 2021


Youth

Youth (2015)

Verbeux, et pourtant, pas le temps de nous ennuyer. Dans "Youth" Sorrentino nous met littéralement dans la peau de jeunes vielles étoiles, et étire ses plans qui étouffent, c'est un film regorgeant de scènes déchirantes, et de leçons d'humilité 🍬

mardi 21 décembre 2021


Énorme

Énorme (2019)

Les débiles du marketing nous ont encore vendu un film d'auteur comme une comédie grand public. Énorme ne peut faire que des déçus, les gens venu pour rire repartiron la queue entre les jambes, ceux qui voulais voir un film profond n'irons pas le voir rien qu'à l'affiche. 🤰

dimanche 19 décembre 2021


Le Charme discret de la bourgeoisie

Le Charme discret de la bourgeoisie (1972)

Buñuel nous offre une satire qui part dans tout les sens, bien qu'assez longuet, et un peut trop verbeux par moment, c'est une expérience absurde que je vous recommande, surtout a vous les communistes, car les bourgeois eux risquent plutôt de se sentir vexé. 🍖

jeudi 2 décembre 2021


Pieles

Pieles (2017)

Vous aimez votre corps ? Non ? On comprend pourquoi. En réalité, même quand vous mettez du rose et du plastique partout, vous restez, et resterez laid, mais l'êtes vous vraiment tant que ça ? Un film bien étrange, un DA folle, d'excellentes prothèses, et décors. 💎

mercredi 24 novembre 2021


La Belladone de la tristesse

La Belladone de la tristesse (1973)

Magnifique vision de la Marianne, de Jeanne D'Arc, de la Sorcellerie, dénonciation de la monarchie, c'est d'un épileptisme, passionnant, touchant, de l'art à l'état pur ! Je suis bouche bée... 🌺

jeudi 11 novembre 2021


Rencontres au bout du monde

Rencontres au bout du monde (2007)

La Terre est un endroit bien étrange, et à l'image des hommes. Herzog nous emmène à l'autre bout de ce monde pour nous faire rencontrer la population antarctiquienne. Une vraie civilisation, passionnante, magnifiquement narrée. 🐧

dimanche 7 novembre 2021


Grizzly Man

Grizzly Man (2005)

Dieu, qu'à tu fait ? Encore et toujours, on ne rappellera jamais assez que cette planète n'est pas faite pour nous. La nature et cruelle, et Timothy n'en a fait que le constat. Avec tout le respect de ce monde difficile, Herzog revisite l'homme et la nature : Exceptionnel ! 🐻

dimanche 7 novembre 2021


The Dead

The Dead (2010)

Film série Z de Zombie Britanno-Africain à la Romero. En soit ça a le mérite d'être attirant. Le dépaysement est total, et malgré une mise en scène au fraise complet et un scénario assez simple mais un peu poncif : c'est une série Z regardable... ce qui est un peu dommage. 🧟‍♂️

dimanche 7 novembre 2021


The Divide

The Divide (2011)

Un pari assez fou et intriguant, un film sur la psychose du vivre ensemble et sur l'enfermement des hommes, et au final quoi ? "The Divide" est certainement le film le plus vulgaire et cliché possible, malgré quelques moments de fulgurances a la "Outlast"... ☢️

jeudi 4 novembre 2021


Dark Skies

Dark Skies (2013)

Un peu grotesque par moment, et banal a d'autres, ce film ne surprend jamais vraiment, il utilise des codes scenaristiques commun, mais il a quelques fulgurances qui font un peu too mutch, au final "Dark Skies" est à "Signes" ce que "Peut Bleue" est à "Jaws"... déçus 👽

jeudi 4 novembre 2021


Love Hunters

Love Hunters (2016)

Malgré un scenario vu et revu, et un message féministe un peu lourd manquant de subtilité, "Love Hunters" n'en reste pas moins un excellent Thriller horrifique, qui soigne sa forme et ses personnage, pour un résultat plus que convaincants. 🐕

jeudi 4 novembre 2021


Bellissima

Bellissima (1951)

Un film terrible sur les parents qui poussent leurs enfants à devenir célèbre pour leurs profits et leurs angoisses. En plus d'être une sacrée dénonciation du fonctionnement d'un casting hollywoodien, le film touche au sublime, notamment au niveau du jeu d'acteurs. 👧

lundi 1 novembre 2021


Honeyland

Honeyland (2019)

Vous êtes Hermite, vous vivez en harmonie avec les Majestueuses, puis cette horrible bestiole qu'est l'homme s'installe comme une tumeur à côté de vous, et tue vos seuls amis... Humain, rien de plus à dire, c'est un film sur l'humain, sa connerie, comment il détruit la vie... 🍯

jeudi 28 octobre 2021


Inland Empire

Inland Empire (2006)

Voici le champ du cygne de Lynch en tant que réalisateur de Long Métrage, un magnifique retour à ce qui fait de lui un réalisateur exceptionnel : des idées foisonnante de montages et de mise en scène qui nous perd, et de l'artisanat rebutant, Dans son film le plus effrayant ! 🎥

jeudi 21 octobre 2021


L'Opérateur

L'Opérateur (1928)

Le Roi de la Cascade se retrouve chez MGM, un film dans la sauce burlesque que Buster maîtrise si bien, un torrent de gags, avec un chimpanzé trop meugnon choupi kawaii, qui a travers sa trame en profite pour faire la nique au studio hollywoodien. Belle fin, mais triste... 🐒

mardi 19 octobre 2021


Clean

Clean (2004)

Un Drame Familial plutôt cool, avec des fulgurances de scénarisation et de mise en scènes, mais qui s'arrentent la... Cheung est très forte dans son rôle, le film est plutôt émouvant par moment. Ça fait le café... Déception. 👩‍👦

lundi 18 octobre 2021


Johnny s'en va-t-en guerre

Johnny s'en va-t-en guerre (1971)

Vivre est une souffrance, un spectacle sans fin 🎣, dans cette œuvre d'une maestria d'écriture et de mise en scène, on observe un monstre dans le noir, qui ne souhaitait que communiquer, et aimer. Magnifique dénonciation de la guerre. "Dulce et decorum est pro patria mori" ✌🏻.

lundi 18 octobre 2021


Seoul Station

Seoul Station (2016)

Seoul Station est un film de zombie plutôt sympathique (bien qu'un peu moche) qui martèle son message avec grandes pompes. Outre le retournement de situation, et sa sobriété d'écriture, le film créé une formule que Yeon perfectionnera dans "Dernier Train Pour Busan". 🧟‍♂️

dimanche 17 octobre 2021


Kapo

Kapo (1960)

On en apprend beaucoup en voyant "Kapò" c'est certains, est-ce de l'abjection ? Comme l'aurais qualifié Rivette. En fait c'est surtout un film qui ne rend pas service à ses ambitions, en dehors de l'esthétisme : rien... Un spectacle de cadavre. ✡️

dimanche 17 octobre 2021


Amen.

Amen. (2002)

Dans une histoire où le temps urge, ou des actes ignobles sont commis, un SS et un Jésuite se sont battu, ou du moins ont essayé... Un film grandement dramatique sur l'atrocité des camps, et l'impuissance des puissants, de diplomaties échoués, et de héros perdus... Amen. 🚂

samedi 16 octobre 2021


Bloqués

Bloqués (2015)

Faire un format cours et être marrant c'est possible : prend en de la graine "Camera Café". 🛋️

samedi 16 octobre 2021


ORELSAN : Montre jamais ça à personne

ORELSAN : Montre jamais ça à personne (2021)

Ce n'est pas du Werner Herzog c'est certain. Mais ne serait-ce que la sincérité des gars, la manière avec laquelle ils partagent leurs passions avec tant de conviction, au final il est a l'image de l'artiste : Inspirant. Un Instant de Bonheur et d'insouciance. 🦸🏻‍♂️

samedi 16 octobre 2021


Une Histoire Vraie

Une Histoire Vraie (1999)

Assez surprenant de la part de Lynch de nous conter cette histoire, et pourtant nous avons la un film très sobre avec des thèmes qui tient a son réalisateur : l'âge et le décès, non sans rappeler les moments Soap de "Twin Peaks". Un bon hacking de Disney en somme. 🚜

samedi 16 octobre 2021


Lost Highway

Lost Highway (1997)

Un film important dans la filmographie de Lynch, un mélange entre ce qui attirais le spectateur dans "Sailor et Lula", et ce qui n'avais pas marché dans "Twin Peaks" (le film) dans Une subtile représentation de la schizophrénie et de l'adulaire. Coup de ❤️ ultime ! 📼

vendredi 15 octobre 2021


Sailor et Lula

Sailor et Lula (1990)

Un Road Trip dans tout les sens du terme. Dans ce film ou on suit et vie la romance déjantée de deux protagonistes, qui se sont perdurer à conspué la sauvagerie et perversité de ce monde dans un voyage magnifique. C'est aussi beau que c'est dur. 🎤

jeudi 14 octobre 2021


Irma Vep

Irma Vep (1996)

Vous voilà enfin sur un plateau de tournage, et pourtant, tout vas mal, votre projet de rêve s'effondre en miette, les gens autour de vous s'entre-tuent, l'actrice principale est paumée, en fait : tout le monde se morfond dans l'ennuie... Puis vous explosez de rage... 🎬

mardi 12 octobre 2021


Blue Velvet

Blue Velvet (1986)

🎹... Un de ses plus accessible, et pourtant... Et pourtant c'est d'une maestria. Une magnifique dénonciation de la violence qui fait le système, et de l'amour que l'on peut avoir de l'incompréhension, du Mystère, car après tout : C'est un monde bien étrange. 💋

dimanche 10 octobre 2021


Rabbits

Rabbits (2002)

Une Série Bien étrange de David Lynch, ou tout les dialogues sont crypté, découpés et décalés, dans une sorte de reprise de Sitcom, version sombre et surréaliste, une expérience temporelle, qui mêle ce rire nerveux et cette horreur simpliste. 🐰🐰🐰

samedi 9 octobre 2021


Dune

Dune (1984)

Un film bien étrange, Lynch impose quelques moments de ses tendances de mises en scènes, ce qui donne un cachet authentique et perturbant au film, mais qui s'additionne mal avec l'ambiance Space-Opéra. En plus, les personnages auraient voulu plus de développement... 🗡️

samedi 9 octobre 2021


The Player

The Player (1992)

Pourquoi aimez-vous tant le cinéma ? Je vais te le dire moi. Parce que c'est de la camelote ! C'est du toc ! Tout s'effondre au moindre soupir. Le spectateur est si sensible, met lui une carotte et il suit. Et aussi : Je vous emmerde avec vos questions a la con ! 🎞️

mardi 5 octobre 2021


WHAT DID JACK DO?

WHAT DID JACK DO? (2017)

Une Excellente et Absurde Parodie de film noir, tel que "L'Inconnu du Nord-Express" de Hitchcock. Je pourrais développer sur pourquoi Lynch est un génie et ce film est génial, mais je vais plutôt vous chanter une chanson. : Truuue loove's flaaame ! Buurns soo briiight ! 🐵

mardi 5 octobre 2021


Il était une fois la révolution

Il était une fois la révolution (1971)

Leone fait du Leone, il révolutionne le Western Spaghetti et la mise en scène, pour briser tout les clichés du genre, en prenant tout son temps... Un vrais film militant, géré d'une main de maître, pour la dernière leçon de cinéma, aux aficionados du septième art. 🧨

lundi 4 octobre 2021


Twin Peaks

Twin Peaks (1990)

Lynch est Frost, ont tout deux prouvé au grand public, que la série est une forme de cinéma, si on y met du siens. Twin Peaks, même si son principal défaut est son aspect Soap-Opera, est un chef d'œuvre, qui nous offrent 2 saisons de plaisir, et une 3e de pur bonheur, Merci ! 🦉

lundi 4 octobre 2021


Felicità

Felicità (2020)

17 ans après son "Héros", Bruno Merle nous reviens avec un "feel-good movie" de toute beautés. Les trois protagonistes magnifiquement caractérisés, interprété génialement, dans un film a la mise en scène subtile, et un magnifique caméo d'Orelsan. 👨🏻‍🚀

samedi 2 octobre 2021


Twin Peaks: Fire Walk with Me

Twin Peaks: Fire Walk with Me (1992)

Fini la Soap Opéra ! Lynch impose un nouveau style, rappelant complètement son chef-d'œuvre : "Mulholland Drive", un pur film d'horreur, qui déconstruit certes les surprises de la série, mais pas que, il sublime ses moments forts ! Dantesque ! 🦉

mardi 28 septembre 2021


Twin Peaks: The Missing Pieces

Twin Peaks: The Missing Pieces (2014)

Les scènes coupées du film "Twin Peaks", et pour la plus part on comprend pourquoi... Tantôt ça désamorce un mystère sous-jacent dans la série, tantôt ce sont des scènes inutile, j'aime celle de Bowie... Mais bon... Matez plutôt la série et le film. 🦉

dimanche 26 septembre 2021


Pink Floyd : The Wall

Pink Floyd : The Wall (1982)

En tant qu'admirateur des Pink Floyd : je suis assez ébahi sans recul. La voie du symbole trouve son chemin dans un aspect musical, ou dans un aspect dessiné. Il a suffi de mettre un grand orchestre pour pousser cela au rang d'art. 📞

dimanche 26 septembre 2021


A Classic Horror Story

A Classic Horror Story (2021)

Un film de genre italien, assez cynique, et très moqueur du genre horrifique, et surtout du genre horrifique sur la plateforme Netflix. Je lui reproche n'empêche son message : un peu vulgaire, mais bien servi. Marrant. 🦌

samedi 25 septembre 2021


Eden Lake

Eden Lake (2008)

Suivant les pas d'Aja dans un film de genre gore a haute tensions, "Eden Lake" arrive tantôt a nous captiver, et tantos a juste manquer de vraisemblance. Même si c'est plutôt réussi, on a juste l'impression que c'est une pulsion gore et adolescente, un peu bête... 📻

samedi 25 septembre 2021


Les documents interdits

Les documents interdits (1989)

Je suis amoureux, hanté, je suis persuadé qu'avec les romans épistolaires, ce film est, en plus d'être un ancêtre du cinéma de genre, un ancêtre des "Found Footages", ça n'a pas pris une ride, et la voix de Jean-Teddy Filippe est pesante. 📹

vendredi 24 septembre 2021


La Nonne

La Nonne (2018)

𝓒'𝓮𝓼𝓽 𝓭𝓮 𝓵𝓪 𝓜𝓮𝓻𝓭𝓮. ⚰️

mercredi 22 septembre 2021


Squid Game

Squid Game (2021)

Une production design, des décors, et de l'action de qualité, la série est visuellement créative, et globalement ça se suit bien. Mais tout ça au services d'un scénario avec des poncifs de séries classiques, d'un message ordinaire, et de retournements prévisibles... 👧

lundi 20 septembre 2021


Climax

Climax (2018)

Comme d'habitude, Noé ne fait pas l'unanimité... Mais n'en déplaise aux pitcheurs m'entourant : il atteint là son Climax. Une danse endiablée, le Le Sabbat des sorcières, Fellini-en, plongeon sans fin dans l'hystérie, ou tout est pur plaisir et satisfaction de douleur. 🥃

vendredi 17 septembre 2021


Les Déguns

Les Déguns (2018)

Mon petit frère mate vraiment de la merde 😅

vendredi 17 septembre 2021


Love

Love (2015)

Dans l'arche de Noé : ce film dissone. Il est clairement son plus romantique. Dans "Love", la passion luxurieuse privilégie l'accolade, parce que c'est ça l'amour, n'en déplaise aux mormons. Noé est un pornographe, il le montre à nouveau. 🛀🏻

vendredi 17 septembre 2021


Carne

Carne (1991)

Plus graphique que sa suite en long métrage, on y retrouve ce qui fait l'essence même de son metteur en scène. Où il se cherchait encore un peu, mais où il était bien proche de se trouver. 🐴

vendredi 17 septembre 2021


28 semaines plus tard

28 semaines plus tard (2007)

Une scène d'introduction mémorable ! Le reste n'est pas vraiment a la hauteur, et par moments assez vain, mais il marche. Des scènes qui fonctionnent et un John Murphy toujours en forme. 🏙️

jeudi 16 septembre 2021


Plan 9 from Outer Space

Plan 9 from Outer Space (1957)

Passé le Nanard, ça deviens surtout long et chiant, ce n'est pas si drôle que ça, et la créativité du mec ne nous épargne pas de notre emmerdement devant, mais rend ça triste... Ce n'est même pas un bon Nanard en fait, c'est juste... Nul... 🛸

jeudi 16 septembre 2021


World War Z

World War Z (2013)

Un florilège de ridicule, qui s'empile les uns sur les autres, pour former une échelle géante, une montagne de ridicule. Le film de zombie le plus rentable de tout les temps et aussi le plus mauvais de tout les temps. Gloire a PEPSI notre sauveur! Buvez du pepsi les enfants!🧟‍♀️

jeudi 16 septembre 2021


Seul contre tous

Seul contre tous (1998)

Vous n'avez jamais été suffisamment énervé contre la vie pour vouloir la mort de quelqu'un ? Ce film vous y confronte, avec un protagoniste magnifiquement interprété par le regrétté Philippe Nahon, qui va sérieusement remettre en question votre sens moral, vos pensées abjects. 🥩

mercredi 15 septembre 2021


Serial Experiments Lain

Serial Experiments Lain (1998)

Lain est la représentation la plus fidèle du rapport entre les êtres humains et les réseaux sociaux. On y suit une jeune innocente se perdre dans ce monde, c'est pour moi la meilleure leçon que peut recevoir Twitter, ou tout le monde s'insulte et se hais... 🖥️

mercredi 15 septembre 2021


Prisonnier du rêve

Prisonnier du rêve (2001)

𝔲𝐧 𝔯ê𝕧E lยᶜᎥd𝕖 爪ιˣé aⓥᵉc υ𝓝e ⓔאPéяιe𝓃℃𝕖 D𝕖 𝐌όŘ𝕋 ⓘϻмIneℕ𝕥ⓔ 𝐀𝐧𝐢ᵐé 𝕖Ⓝ г๏ⓣo𝓢𝐜𝑜𝕡Ⓘ𝑒 Ⓔт ᵘ𝕟 匚σ几𝕔έp𝕥 şᶤ𝓜ί𝔩𝒶ί尺𝔼 𝐚 𝓁𝓐 丂éᖇĮє "Ťh𝔼 m𝕀∂𝐧ί𝓰Ĥ𝐭 ģ𝕆ร𝐏𝕖ℓ", 𝓒Ⓔ N'ⒺŜ𝕥 cĹค𝒾ᖇEмєⓃŦ 𝐏ᵃѕ 𝓊𝐧 ⓕĮLᵐ 𝐚 ๓ε𝓽𝓽ⓡⒺ έήŤ𝐑Ẹ 𝔱ᗝUтє𝓢 𝓛eⓢ 𝕞ⓐⓘŇⓈ ☁️

mardi 14 septembre 2021


The Strangers

The Strangers (2016)

A chaud, Difficile de parler en longueur de ce film, tant il est vaste. Tellement de genre, tellement de points scénaristiques, une mise en scène qui vous plonge dans une ambiance hors du commun. Un thriller insoutenable. 📸

mardi 14 septembre 2021


Taxidermie

Taxidermie (2006)

Mêlant la tripaille et le maniérisme, Taxidermie est certainement l'œuvre subversive la plus humoristique qui soit, sans limite, György Pálfi pousse la provocation dans des recoins artistique variés, de Lars Von Trier a Kusturica, un chef d'œuvre, Coup de Cœur ! 🐷

dimanche 12 septembre 2021


Qui veut la peau de Roger Rabbit ?

Qui veut la peau de Roger Rabbit ? (1988)

Un film qui mélange beaucoup de choses : L'animation et la prise de vue réelle, oui, mais aussi les genres : Films noirs, Comédie Cartoonesque, Action, Policier, et même un peu d'horreur (la chaussure : never forget). RR est vraiment le film parfait sur plusieurs niveaux. 💨

samedi 11 septembre 2021


How high

How high (2001)

Je l'ai vu il y a longtemps avec un pote, je m'étais fait chier comme pas possible... C'est assez affligeant, et tellement débile, ça peut s'apprécier dans un état second. Un délire de shooté. 👨🏿‍🎓

samedi 11 septembre 2021


Irréversible

Irréversible (2002)

UИƎ ƎXPƎЯIAИCƎ PSYCHOLOGIQUƎ VЯAIMƎИT DƎSTABILISAИTƎ. ИOƎ ИOUS MƎT DAИS TOUT LƎS SƎИS ƎT JOUƎ AVƎC LA TƎMPOЯALITƎ POUЯ ИOUS CHOQUƎЯ D'UИƎ MAИIƎЯƎ GЯAИDIOSƎ. 🧯

samedi 11 septembre 2021


C'est arrivé près de chez vous

C'est arrivé près de chez vous (1992)

Vous voilà dans un monde parallèle, ou vous vous marrez en voyant des meurtres et des viols. C'est vraiment un film qui oscille entre de l'humour noir incroyablement dosé, et cet énorme malaise. C'est en effet arrivé près de chez vous, en fait c'est sous vos yeux. 🥃

mardi 7 septembre 2021


Arthur et les Minimoys

Arthur et les Minimoys (2006)

Quel enfer ! Privilégiez vraiment plus "Arrietty, le petit monde des chapardeurs" Pitié ! 🐞

mardi 7 septembre 2021


Scooby-Doo

Scooby-Doo (2002)

Oui c'est vraiment de la merde sur pleins de niveaux différents, on perçoit un peu du décomplexe de Gunn dans le scenario. C'est de la merde oui mais un bon film aurait pu en sortir, c'est un peu triste... 👻

mardi 7 septembre 2021


Bel ami

Bel ami (2012)

Mouais non, lisez le livre plutôt... 🎩

mardi 7 septembre 2021


Le Roi Danse

Le Roi Danse (2000)

“Il y a le visible et l'invisible. Si vous ne filmez que le visible, c'est un téléfilm que vous faites.” - Jean-Luc Godard. 🕺

mardi 7 septembre 2021


Pollock

Pollock (2000)

Ed Harris est très bon. Le reste est très bancal. 🖌️

mardi 7 septembre 2021


Last Days

Last Days (2005)

C'est un long voyage solitaire de la mort à la naissance. Dans cette contemplation, d'une absolue beauté, on meurt, dans l'ennui et la solitude. Ayant beaucoup apprécié les deux autres films de cette trilogie de la mort et aimant Kurt Cobain, je suis charmé. 👗

mardi 7 septembre 2021


Elephant

Elephant (2003)

Nous mourrons ce moment avec eux, dans cette école. Vous vous laisserez mourir dans ces couloirs, cette courte et immonde mort qui annihilera vos rêves. 🐃

mardi 7 septembre 2021


Gerry

Gerry (2002)

Ce n'est pas le film des impatients. Pour les courageux qui se lancent tète baissé dans ce désert, dites-vous que si l'ennuie vous guette, que vous vous sentez mourir sous la chaleur, c'est naturel : vous avez passé l'arme à gauche avec succès. ⭐

mardi 7 septembre 2021


La Ballade de Buster Scruggs

La Ballade de Buster Scruggs (2018)

Cet aspect de 6 films, tous d'un style relativement différents chacun, et pourtant ils ne perdent jamais la mains, quand bien même certaines sont meilleurs que d'autre, c'est vraiment un Coen de haute qualité (mon préféré) ! Magnifique adaptation de contes de westerns. 🐎

vendredi 3 septembre 2021


Poltergeist

Poltergeist (1982)

Je vais etre clair, comme ça vous vous ferez pas avoir si vous avez decidé de commencé ce film : ce n'est pas un film de Hooper. C'est un film de Spielberg. C'est typée aventuresque et c'est fort sympathique avec des effets horrifiques originaux. 📺

vendredi 3 septembre 2021


Horton

Horton (2008)

C'est un film qui utilise des pratiques très propagandistes pour faire passer son message anti-IVG... En plus d'être lourd et insupportablement pas drôle. De la mauvaise propagande 🦘

jeudi 2 septembre 2021


Double King

Double King (2017)

👑 Je vous somme de voir ce court métrage Exceptionnel, c'est absolument Hypnotisant, il est sur YouTube : https://youtu.be/w_MSFkZHNi4

mercredi 1 septembre 2021


Coherence

Coherence (2013)

Une Caméra, un Concept, Des petites idées de mise en scène, une curiosité subtile, filmée comme un documentaire a échelle humaine, inutile d'être trop Cohérant. Il suffit juste d'offrir un spectacle, un spectacle hors du temps et de l'espace. ☄️

lundi 30 août 2021


Toy Story 3

Toy Story 3 (2010)

Un film magnifique, c'est aussi touchant que effrayant par moments, je m'en lasserais jamais. Un des meilleurs Pixar, et le Meilleur Toy Story, d'une maturité sans pareille, un spectacle de toute émotion. 🧸

lundi 30 août 2021


L'Arnaque

L'Arnaque (1973)

Avant "Ocean's Eleven", Avant "Snatch", il y avais "L'Arnaque", bon dieu que c'étais jouissif, c'est tellement astucieux sur tout les points de vue, et moi qui ne suis pas fan des deux films mentionnés précédemment... Une scène de poker exceptionnelle, a retourner le crane. 💰

lundi 30 août 2021


Le Kid

Le Kid (1921)

Chaplin sort avec ce premier long métrage un vrais drame, c'est aussi touchant que c'est burlesque... If you smile through your fears and sorrow, Smile and maybe tomorrow, You'll see the sun come shining through, for you. 👼🏻

lundi 30 août 2021


Le Voleur de bicyclette

Le Voleur de bicyclette (1948)

Ne vous fiez pas au titre et a l'affiche... Ce n'est pas une comédie burlesque... C'est un vrais drame social. Vous allez vous sentir mal, pour ce pauvre mec qui a perdu sa bicyclette. Un classique pour tout cinéphiles et cinéastes a en devenir, une leçons de films social. 🚲

lundi 30 août 2021


Du silence et des ombres

Du silence et des ombres (1962)

Film socialiste sur le silence des ombres, très symbolique, traité avec beaucoup d'amour, avec des personnages forts identifiable, c'est un film très bien écris, qui empreinte niveau mise en scène au grand classique et un procès passionnant. 🐕

lundi 30 août 2021


Inglourious Basterds

Inglourious Basterds (2009)

Tarantino fait de sa fiction sur la Seconde Guerre un Western. Un Waltz terrifiant, Mélanie Laurent : Monstrueuse. Un peu verbeux mais toujours aussi satisfaisant. Vous aimez hein ? Vous aimez les nazis crevés. 🔪

lundi 30 août 2021


Full Metal Jacket

Full Metal Jacket (1987)

Kubrick travaille à nouveau avec une symétrie d'une insatisfaction stressante. Et quelle horreur ! L'horreur de la guerre... L'horreur de la tripaille, on ne peut la fuir, on ne peut la réfuter. 🐋

lundi 30 août 2021


Chantons sous la pluie

Chantons sous la pluie (1952)

Pourquoi aimez-vous tant le cinéma ? Parce que c'est une symphonie, c'est une musique constante, qui fait danser, qui fait rire, qui nous fait rêver. Le monde des émotions esthétiques. ☔

lundi 30 août 2021


Taxi Driver

Taxi Driver (1976)

C'est lancinant, c'est intime, c'est une magnifique critique de l'Amérique, le digne héritier de "L'attrape Cœur", et surtout cette musique, reposant, marchons, pensons : face a ces images affreuse de la vie cauchemardesque, d'un homme troublé. 🚕

lundi 30 août 2021


Toy Story

Toy Story (1995)

Un film qui vas révolutionner le monde du cinéma d'animation, et qui se paie le luxe d'être touchant. Ce film est votre amis, 🎵 Quand tout s'embrouille, En vadrouille, loin, très loin de ton lit douillet 🎶

lundi 30 août 2021


2001 : L'Odyssée de l'Espace

2001 : L'Odyssée de l'Espace (1968)

Dave... 👁️ Ai-je Besoins de Développer quoi que ce soit ?... Dave... 👁️

lundi 30 août 2021


3 Idiots

3 Idiots (2009)

Une Incroyable Surprise ! Juste Fou et pourtant si Lucide. Le film sert son propos par des idioties constante, c'est d'un fun presque enfantin. ➕

lundi 30 août 2021


Assurance sur la mort

Assurance sur la mort (1944)

Un très bon film noir, ou Wilder continue de nous faire frissonner, avec ces personnages aussi caractérisés, c'est le film ou on est fascinés par l'amour, et la mort. 🚬

lundi 30 août 2021


Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain

Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain (2001)

On l'aime cette Amélie, on veux rester avec elle jusqu'au bout, dans le monde si simplet de cette jeune femme folle, folle des petites choses, c'est déstabilisant. 🥄

lundi 30 août 2021


Orange Mécanique

Orange Mécanique (1971)

👁️ D'une froideur glaçante 👁️ D'un génie créatif 👁️ D'une mise en scène irréprochable 👁️ D'une violence poétique 👁️

lundi 30 août 2021


Eternal Sunshine of the Spotless Mind

Eternal Sunshine of the Spotless Mind (2004)

Plonger dans cette hallucination a l'écrans, débordant de poésie, après avoir exploré la science des rêves, Gondry en explore l'émotion. ❄️

lundi 30 août 2021


Lawrence d'Arabie

Lawrence d'Arabie (1962)

Il peut paraitre un peu long et un peu caricatural, Lawrence d'Arabie représente un modèle ambiguë. C'est un film dépaysant, que je vous recommande si vous êtes férus d'histoire. En dehors de ça c'est un grand voyage qu'il faut vivre. 🐪

lundi 30 août 2021


Des étoiles sur la terre

Des étoiles sur la terre (2007)

Si vous aimez les films Bolywoodien, et leurs délires visuels et créatif, je vous le recommande. C'est tellement naïf, tellement con, que c'est a mourir de rire ! Le dramatique du film ne prend absolument pas, mais pour le reste : c'est un ovni. 🎨

lundi 30 août 2021


Amadeus

Amadeus (1984)

Forman en force... Un film qui nous montre tout son amour de la folie, et de la démesure. Pourquoi être si coincé et si réaliste quand on a des génies fous ? C'est pour moi son meilleur film, de loin, une maestria musicale. 🎹

lundi 30 août 2021


Requiem for a Dream

Requiem for a Dream (2000)

Rien à y faire, plus le temps avance, plus j'ouvre l'œil sur Aronofsky. Il est à l'image de ses films : vaniteux. Il soutire toute l'imagerie de ses références pour offrir un monde de creux. Le chapitre 1 du thriller psychologique manque a l'appel. 💊

lundi 30 août 2021


M le maudit

M le maudit (1931)

Un film dont le thème ne vieillis pas, un procès populaire à ciel ouvert, brillante en mise en scène, déshumanisant sa créature dans un premier temps, puis le met face a ses contradictions et ses conséquences, le rend plus vivante. Un film humain, un film qui reste. 🎈

lundi 30 août 2021


Your Name.

Your Name. (2016)

Dans l'ensemble sympathique... J'affectionne le travail visuel, et aussi au niveau du thème de l'échange de sexe. Cela dit, je ne suis pas un admirateur du cinéma pompeux et larmoyant de Makoto Shinkai. ☄️

lundi 30 août 2021


Reservoir Dogs

Reservoir Dogs (1992)

Le premier film de Tarantino. Et quel plaisir ! On reste concentré sur le déroulé du début a la fin avec ces personnages détestable mais adorable. C'est "Tarantinesque" : Jouissif. 👂🏻

lundi 30 août 2021


Sueurs Froides

Sueurs Froides (1958)

Je suis comme le personnage, sujet au vertige, j'ai peur du vide. Ce film en est l'opposé : le contenu. La Passion, l'amour fou. Dans cette œuvre on contemple une métaphore du cinéma, le rouge, le vert et le bleu, l'amour ultime du 7e art. 💐

lundi 30 août 2021


Braveheart

Braveheart (1995)

Un film d'action plutôt correct, avec des batailles assez tape l'œil surtout au niveau corporel, personnellement je m'en bas les couille que l'histoire de Wallace soit romancée, mais j'ai quand même des réserves sur le déroulé du scenario : convenu et binaire. 🏹

lundi 30 août 2021


Citizen Kane

Citizen Kane (1941)

C'est un pléonasme de dire que c'est un film révolutionnaire. Grandement a l'avance sur son temps, sur tout les points, que tout cinéphile et cinéaste se doivent de voir un jour. La quintessence du 7e art... 🛷

lundi 30 août 2021


Le Bateau

Le Bateau (1981)

Petersen rend ces soldats attachants, et montre avec beaucoup d'astuces l'enfer de leur condition. Il tient une position historique ambiguë, et le travail sur l'enfermement, et la Seconde Guerre Mondiale, coté marin, est absolument sublime. Toujours sur la corde du stress ! ⚓

lundi 30 août 2021


Aliens, le retour

Aliens, le retour (1986)

Un film qui tend plus vers l'action que l'horreur de son premier volet, Cameron développe l'univers d'Alien avec sa patte racoleuse, rend le Xénomorphe et Ripley plus dangereux, trop pleins. 🤱

lundi 30 août 2021


Old Boy

Old Boy (2003)

La décadence, et l'enfermement, qui mène a la bestialité, l'action magique pure et simple, sous fond d'une bande son magnifique et un scenario émouvant au possible. Comment y être insensible ? 🔨

lundi 30 août 2021


The Dark Knight Rises

The Dark Knight Rises (2012)

Nul ne peut être un "génie" tout le temps (bon... il n'est pas exagéré de dire que je ne suis pas le plus grand fan de Nolan)... Beaucoup de problèmes scénaristiques qui sortent les spectateurs les plus concentrés sur l'intrigue à gruyère. 🦇

lundi 30 août 2021


American Beauty

American Beauty (1999)

Ce qui est beau dans ce film c'est le rêve. Le rêve américain de notre protagoniste, interprété avec brio par un Spacey qui vole la vedette. Mendes fait fantasmer ses personnages et nous rappelle a la réalité froide avec grande passion. 🌹

lundi 30 août 2021


Témoin à charge

Témoin à charge (1957)

Le plus grand film de tribunal, un Laughton magistral, dans un film au suspens exaltant et allant constamment de surprises en surprises, Wilder nous tient en laisse, dans un tribunal : un tribunal du bon gout. 🧐

dimanche 29 août 2021


Princesse Mononoké

Princesse Mononoké (1997)

Ecologique, certes, et apporté avec beaucoup de grandeurs, c'est magique, c'est surtout touchant, c'est un film qui saura apporté satisfaction a tous, dans un spectacle de la nature sans fin, épique, et lourd de sens. 🐺

dimanche 29 août 2021


WALL·E

WALL·E (2008)

Je ne peut pas me détacher de "WALL·E". Je pense que c'est mon âme-sœur, mon amour. Combien de larme ai-je versé devant tant de poésie, comment on ils seulement rendu si humain ces bouts de métal ? 🤖

dimanche 29 août 2021


Django Unchained

Django Unchained (2012)

L'un de mes Tarantino préféré, le film a qui je dois ma première claque d'acteurs, j'étais enfoncé dans mon canapé quand vient la scène du vieux Ben. Le film est du Tarantino comme on l'aime, il fait un vrais Western Spaghetti Pur Jus, d'une violence jouissive. ⛓️

dimanche 29 août 2021


Shining

Shining (1980)

"Fascination" est un mot insuffisant pour décrier mon amour ultime de "Shining" : ma bible. Un film hanté, ou chaque image est un tableau, chaque image a un fantôme dans l'image, jamais le cinéma n'a proposé une expérience aussi singulière. 🪓

dimanche 29 août 2021


Les Sentiers de la Gloire

Les Sentiers de la Gloire (1957)

Enfant gâté de la famille de Kubrick, ayant forgé son identité filmique, ce film est grandement pessimiste, il nous montre avec clarté que le ressentiment sans dialectique offre a des hommes fous la puissance, et tue. Son chef-d'œuvre (encore un, diantre !). 🎖️

dimanche 29 août 2021


Docteur Folamour

Docteur Folamour (1964)

"We'll meet again... Don't know where... Don't know when... But I know we'll meet again some sunny day... Keep smiling through... Just like you always do... 'Till the blue skies drive the dark clouds far away "🛩️

dimanche 29 août 2021


La Vie des autres

La Vie des autres (2006)

Un thriller très sympathique, et d'une réalité historique qui fait bien peur, en plus d'être un beau parallèle au cinéma et de son aspect voyeuriste... Dommage que ce soit si pauvre en mise en scène et-Oh pardon... Je ne peut en dire du mal... Je suis peut être sur écoute... 🎧

dimanche 29 août 2021


Boulevard du crépuscule

Boulevard du crépuscule (1950)

Pourquoi aimez-vous tant le cinéma ? : Vous n'aimez pas le cinéma, vous le fantasmez, vous plongez dans la folie du long métrage, dans le sentiment que la vie est morose, dans votre envie de sang... Le cinéma est un spectacle, qui vous maintient sur place. En vie. 📽️

dimanche 29 août 2021


Le Tombeau des Lucioles

Le Tombeau des Lucioles (1988)

Je pourrais faire des essais de 100 ans, pour vous expliquer a quel point Isao Takahata est un génie. C'est une expérience de cinéma sans pareille, plongez seul, dans la cambrousse, dans le noir, dans l'histoire la plus déprimante possible, et la plus poétique. ⚓

dimanche 29 août 2021


Le Dictateur

Le Dictateur (1940)

Le plus grand film de son réalisateur. Une satire qui avais des couilles pour son époque, en plus d'être hilarant, d'être moins fixe, et d'avoir des dialogues cultes. Chaplin n'oublie pas ses origines : le burlesque y est toujours, et avec panache ! 🪒

dimanche 29 août 2021


Alien, le huitième passager

Alien, le huitième passager (1979)

"L'inquiétante étrangeté". Ce que l'on ne connait pas, que l'on ne peut percevoir, nous effraient, et quand on le voit enfin, on panique, et on meurt. Une métaphore du viol, une métaphore de la maternité, une métaphore de trop de choses que l'on ne saurait concevoir. 🐈

dimanche 29 août 2021


Le Prestige

Le Prestige (2006)

Un métaphore du cinéma très pertinente, et un affrontement sans pareil, c'est absolument magique, du mystère, de la violence, des rebondissement, de la mise en scène, Ta-Dam ! : ça fait un excellent film ! Le meilleur Nolan. ⚡

dimanche 29 août 2021


Le Roi lion

Le Roi lion (1994)

"Le Roi Lion" a marqué beaucoup de personnes, et les a accompagné dans le monde des adultes, Il adapte astucieusement "Hamlet" au grand public, et qui a ouvert la porte a beaucoup d'autres du même genre, pour cela : c'est une réussite. 🦁

dimanche 29 août 2021


Gladiator

Gladiator (2000)

Pour moi "Gladiator", a beau être plastiquement impeccable, et je comprend tout a fait l'engouement autours, mais il y a un cruel manque, le film se focalise sur un fond factice, et a du mal a suggérer un spectacle 👎🏻

dimanche 29 août 2021


Les Aventuriers de l'arche perdue

Les Aventuriers de l'arche perdue (1981)

Un film d'aventure au plans léchés, et très portante, j'ai quand même tendance a penser qu'il n'est pas le meilleur de la saga, et que plus que définir des bases d'aventures, il parle plus a une génération. 🐍

dimanche 29 août 2021


Fenêtre sur cour

Fenêtre sur cour (1954)

Prenez vos jumèles, et regardez ce film, ou la tension est constante, ou on cherche a résoudre tout les mystères, un concept : un simple concept, et on est pris entre quatre mur, nous, protagonistes. du grand art. 🦵🏻

dimanche 29 août 2021


Retour vers le futur

Retour vers le futur (1985)

C'est un peu "Le Voyage dans le temps, pour les nuls", une grande aventure, il y aurais beaucoup de choses a dire sur le cinéma de Zemeckis et sa manière de nous dépeindre les voyages. 🎸

dimanche 29 août 2021


Terminator 2 : Le Jugement dernier

Terminator 2 : Le Jugement dernier (1991)

Une magnifique remise en perspective du manichéisme, et un films d'action absolument prenant, le grand spectacle de la technologie tout en gardant cet aspect froid si propre au personnage. 🦾

dimanche 29 août 2021


Les Infiltrés

Les Infiltrés (2006)

Un thriller policier fort appréciable, je lui reproche son aspect impersonnel, et j'ai l'impression que le film joue sur son casting avant tout. C'est surement un bon remake, je devrais certainement le revoir, lui et "Infernal Affairs" pour en juger. 👮

dimanche 29 août 2021


Intouchables

Intouchables (2011)

Une vieille comédie humaine, pas le chef-d'œuvre qu'on nous rabâche au oreilles. Bien sur c'est bien mieux que les comédies populaires de ces dernières années... Oui... Mais tu sent tout de même l'aspect forcé du film qui essaie d'être émouvant a tout prix. 🖼️

dimanche 29 août 2021


Les Temps Modernes

Les Temps Modernes (1936)

Le premier film politique de Chaplin est un énorme chef-d'œuvre. Magnifique critique de la politique de Hoover et Roosevelt, du monde du travail, un monde qui semble perdre tout espoir ou Charlot redonne le sourire, même si ton cœur fait mal, sourire, même s'il se brise. 🔧

dimanche 29 août 2021


Casablanca

Casablanca (1942)

On connais les grandes leçons de réalisation, et de mise en scène ? Place a la leçons d'écriture. Un scenario absolument magistral, et le film n'oublie pas de faire du cinéma, du grand cinéma, une magnifique critique du fascisme a son époque, un film incroyable. 🚬

dimanche 29 août 2021


Il était une fois dans l'Ouest

Il était une fois dans l'Ouest (1968)

...On prend le temps... Le temps de contempler les règles... se faire reconstruire... Il étais une fois... une révolution... Une balle... Un film qui de la règle tire l'exceptionnel... On prend le temps de regarder : ... La mort... De l'ouest... 🚂

dimanche 29 août 2021


Les Lumières de la ville

Les Lumières de la ville (1931)

On croise dans cette rue un Chaplin aveuglé par l'amour, l'amour du burlesque, de la pauvreté humaine, et des riches mesquins. Peu importe qu'il soit un peu moins profond que ses autres classiques, personne ne s'emmerde devant notre clown préféré. 🌷

dimanche 29 août 2021


Psychose

Psychose (1960)

J'en ai vu dire que c'était une bouse abominable parce que ça ne faisait pas peur. Je leurs répond que si cette "bouse abominable qui ne fait pas peur" n'aurais jamais existé, on aurait eu que de sacrés films d'horreurs de merdes. Hitchcock est ton professeur, respecte-le ! 🦉

dimanche 29 août 2021


Léon

Léon (1994)

J'aurais pu parler du film, mais je vais plutôt vous parler de mon seigneur Gary Oldman, Gary Oldman est grand, Gary Oldman est magistral, Gary Oldman est notre dieu a tous. (Ceci n'est pas une secte a l'effigie de Gary Oldman). 💊

dimanche 29 août 2021


Le Voyage de Chihiro

Le Voyage de Chihiro (2001)

Quel Voyage ! Impossible d'avoir les mots suffisants, ce film ne vous claques pas, il vous prend la main, vous chéris, vous offre un monde de pur bonheur et de créativité sans pareil, un Voyage inoubliable. 🐖

dimanche 29 août 2021


Usual Suspects

Usual Suspects (1995)

Un suspens tenu du début a la fin : "Keyser Söze" fascine. Passé la révélation, le film en devient fort désuet, et ne sait plus vraiment susciter le même intérêt. ☕

dimanche 29 août 2021


La vie est belle

La vie est belle (1997)

Non, la vie n'est pas si belle finalement. L'enfant auquel on cache les yeux de cette exécution que l'on ne saurait voir, et on rappelle : l'échec cuisant de la guerre, mais le succès de la survie. Le burlesque ne sauvera personne d'autre que le spectateur. 🚲

dimanche 29 août 2021


La vie est belle

La vie est belle (1946)

Victor Ferry aurait pu dire : "Voila un grand film, parce qu'il est beau !". 💸

dimanche 29 août 2021


Le Silence des agneaux

Le Silence des agneaux (1991)

Aussi fascinant que son antagoniste, une leçons de valeur des plans, et la psychologie de ses personnages, servi par un Hopkins, une Foster, et un Levine absolument magistraux. Aussi fascinant qu'un meurtrier, et qui nous laisse pas sur notre faim. 🦋

dimanche 29 août 2021


Les Sept Samouraïs

Les Sept Samouraïs (1954)

Une pure et simple révolution, on dépasse le stade de la leçons de cinéma, on vas au delà de ça, Kurosawa le créé, Kurosawa en défini les codes... Rappelez vous qu'avant tout les apprentis, il y a avais les 7 maitres. 🏯

dimanche 29 août 2021


Matrix

Matrix (1999)

Une révolution technique et Scénaristique. Un film d'action qui est certes un peu daté avec notre technologie d'aujourd'hui. Mais c'est philosophiquement pertinent, l'action impressionne toujours d'idées créatives mis en scène, piquant ses influences aux asiatiques (Tsui Hark) 🐇

dimanche 29 août 2021


Les Affranchis

Les Affranchis (1990)

Ça bouge, oui, mais pas que : c'est rythmé. Martin Scorcèse est comme d'habitude : un vrais chef d'orchestre, on ne perd jamais le fil, tout est harmonieux. 🚘

dimanche 29 août 2021


Vol au-dessus d'un nid de coucou

Vol au-dessus d'un nid de coucou (1975)

Vous êtes fous ? Vous pensez être lucide ? Et si c'étais exactement l'inverse ? Et si eux étaient sobres et plus vivants ? Voulez-vous quitter le train de la vie commune pour enfin vous amuser avec Forman, dans un monde moins taré que ses personnages principaux. 🤪

dimanche 29 août 2021


Le Seigneur des anneaux : Les Deux Tours

Le Seigneur des anneaux : Les Deux Tours (2002)

On y est, la trilogie cesse de se mouiller la nuque et rentre enfin dans le bain, et qu'il est agréable ! Nous voila dans un univers qui vis, on y crois, constamment, le film n'abuse pas ses effets et nous fait plonger dans une bataille endiablée ! 🧙

dimanche 29 août 2021


Inception

Inception (2010)

Pas aussi difficile que ça finalement... Le film regorge d'idées créatives, mis en scène de manière suffisamment sobre pour qu'on y crois, et qu'on soit dedans. Ce n'est pas foncièrement un voyage dans le monde de l'inconscient, un film plus ordinaire qu'il n'y paraît. 💤

dimanche 29 août 2021


L'Empire contre-attaque

L'Empire contre-attaque (1980)

Malgré sa mise en scène très mollassonne et un peu Pulp, Lucas mélange pas trop mal ses références pour nous offrir un film intemporel. 🌑

dimanche 29 août 2021


Le Seigneur des anneaux : La Communauté de l'anneau

Le Seigneur des anneaux : La Communauté de l'anneau (2001)

Un film qui tend les bras, et qui t'invite dans un univers grandiose, mais au bout de 3h tu te demande quand est-ce qu'il cessera de t'inviter, et qu'il commencera la fête. Réponse : au prochains films. 💍

samedi 28 août 2021


Fight Club

Fight Club (1999)

Première règle du Fight Club : tu ne diras pas du mal de "Fight Club"... - Et c'est bien dommage, je pense que c'est un bon film, certes, mais bon dieu qu'il est lourd, c'est une simple critique de la consommation... Que personne n'écoute. Une porte d'entrée seulement. 🧼

samedi 28 août 2021


Le Bon, la Brute et le Truand

Le Bon, la Brute et le Truand (1966)

Chaud... la chaleur du désert aride, chaud de l'angoisse étirée par le fil du temps, le temps, entre deux regards, se déplacent, puis le coup de feu. Un orchestre. 💰

samedi 28 août 2021


Pulp Fiction

Pulp Fiction (1994)

Une histoire classique, la mise en scène fait tout pour que vous passiez le meilleur moment possible, dans un torrent de violence Funk. Oh oui, vous l'aimez la violence, quand ça gicle ! 🍔

samedi 28 août 2021


Le Seigneur des anneaux : Le Retour du roi

Le Seigneur des anneaux : Le Retour du roi (2003)

Le retour du roi Jackson, dans une bataille effrénée, une épopée absolument épique, qui fait rêver, dans un univers vivant. La conclusion épique d'une fresque qui enjaille de sa métrise. 🌋

samedi 28 août 2021


12 Hommes en colère

12 Hommes en colère (1957)

Ce n'est pas du Théâtre Filmé, chaque personnage est une justice, une justice arbitraire, face a l'esprit critique, qui tient son spectateur, n'est jamais lassant, une leçons de cinéma, de rhétorique, monumental. 🗡️

samedi 28 août 2021


Le Parrain, 2e partie

Le Parrain, 2e partie (1974)

On gagne un peu en rythme avec cette suite, plus ficelée. Inutile de développer davantage. Coppola dépeigne une atmosphère morbide, faisant le parallèle du passé et du présent, la relève est assurée, on peut même penser à une belle métaphore du cinéma. 🥀

samedi 28 août 2021


Le Parrain

Le Parrain (1972)

Un "must-see" pour tout cinéphiles et tous cinéastes a en devenir. Plus qu'un film de gangsters : chaque plan est une mine d'analyses et d'apprentissages, ce qui est fort pour un métrage à moitié improvisé. Le rythme peut cependant en rebuter plus d'un... 🌹

samedi 28 août 2021


The Suicide Squad

The Suicide Squad (2021)

D'une Joie ! La vraie Suicide Squad ! Le film que l'on voulait voir en 2016 ! Le film qui arrive à mêler cet humour noir irrévérencieux, et de l'action purement et simplement jouissive. À s'arracher le visage ! ☮️

mardi 17 août 2021


Affamés

Affamés (2009)

Pompeux, inintelligible, Cliché, incohérent, un bon vieux film inintéressant au possible, sur des débiles devenant des débiles sauvages, et c'est tant mieux pour eux. 🛢️

vendredi 13 août 2021


Sans un bruit

Sans un bruit (2018)

Un film à concept qui offre une certaine tentions à son spectateur, c'est juste dommage que les créatures soient si visibles a l'écran. 🛀

mercredi 11 août 2021


Sans un bruit 2

Sans un bruit 2 (2020)

C'est une suite de plutôt bonne facture, bien que l'essentiel du concept soit très aseptisé. La peur et la tension fonctionnent moins vu que l'inquiétante n'est plus une étrangeté, et quelques incohérences, le film garde sa mise en scène funambule, c'est déjà ça de prix. 🍂

mercredi 11 août 2021


Conjuring : Sous l'emprise du Diable

Conjuring : Sous l'emprise du Diable (2021)

Ils étaient tellement obstinés de faire une enquête, qu'ils en oublient d'y insuffler du sens. Le pire avec ce film estampillé "Conjuring", c'est que j'avais l'impression qu'ils oubliaient que c'était censé être un film d'horreur. 🛏️

dimanche 8 août 2021


Room 237

Room 237 (2012)

Ce qu'il nous montre sur l'œuvre de Kubrick fascine, il ne prouve pas qu'il était impliqué dans un complot, mais bien que son film est tellement ficelé que les spectateurs en ont été obsédés. Une enquête idiote, sur un film, simplement hanté. 🏔️

dimanche 8 août 2021


Under the Silver Lake

Under the Silver Lake (2018)

DRM nous plonge dans l'esprit étriqué d'un jeune homme paumé dans une marre d'interprétations complotistes. Un film où on s'extasie de découvrir tous ces mystères à résoudre sans arrêt, de voir tous ces signes ou il n'y en a pas : de prendre son pied sur la Terre plate ! 🐶

dimanche 8 août 2021


11 Settembre - La nuova Pearl Harbor

11 Settembre - La nuova Pearl Harbor (2013)

Cette horreur sans noms, irrespectueuse, incroyablement fallacieuse quand on ne tourne pas au méprisant, ce truc est un torchon. Je n'arrive pas à concevoir comment Massimo Mazzucco arrive à dormir la nuit. Un calvaire. À Suicider. ✈️

dimanche 8 août 2021


American Moon

American Moon (2017)

On parle souvent de LRDP de Grimault comme exemple documentaire de pseudo-science, mais on parle un peu moins de tout le mal qu'a commis Massimo Mazzucco aux esprits, et de l'irrespect dont il fait part. La même merde : manipulation, charlatanisme, et surtout tergiversation. 🌘

dimanche 8 août 2021


La Cité de Dieu

La Cité de Dieu (2002)

J'ai encore cette image immonde en tête d'un enfant rigolant aussi frénétiquement que les coups de son arme à feu braqué sur des femmes de chambres. La folie hyperactive de ce trip infinie nous accroche, la perversité jouissive dans toute sa splendeur.🐓

vendredi 6 août 2021


Annette

Annette (2021)

Un vrai opéra lyrique conduit d'une main de maestro. D'une manière plus tatillonne, nous pouvons lui reprocher ses paroles simplistes ou simplement le fait que ce soit une pure expérience cinématographique qui ne plaira qu'en salle. Absolument Magnifique ! 🌕

mardi 3 août 2021


Réalité

Réalité (2014)

J'ose espérer que le monde se prête au non-sens, qu'ils accordent moins d'importance à l'intelligence, le non-sens est un manège, le non-film suscite trop d'émotions. Réalité, est vraiment, 24x la Réalité par secondes. 📼

dimanche 1 août 2021


Hérédité

Hérédité (2018)

J'ai vraiment l'impression que ce film est hanté. Entre la maitrise Kubrick-ienne de Ari Aster, qui symétrise ses angoisses, le dérangeant décalage. Un véritable traumatisme, aux acteurs habités par leurs personnages. 🐦

dimanche 1 août 2021


Kaamelott - Premier volet

Kaamelott - Premier volet (2021)

Une opportunité manquée de faire du Cinéma, KV1 est un mauvais film, timide et décevant, l'ambition ne suffit pas, même si elle se constate, c'est un téléfilm aux allants musicaux en plus d'être une mauvaise intro aux non-connaisseurs de la série. ⚔️

samedi 24 juillet 2021


Les Contes de Terremer

Les Contes de Terremer (2006)

Tellement sincère, dans l'idée un film grandiose aurait pu sortir. Mais Nada : c'est vide, passé le message du père, le film est d'un manichéen, en plus d'être magnifiquement mou et trop introspectif a son auteur. 🐉

jeudi 22 juillet 2021


Requiem pour un massacre

Requiem pour un massacre (1985)

Comment mettre en scène la folie traumatique ? C'est un Klimov en deuil qui nous donne la meilleure réponse possible. Cette descente aux enfers vomitive, de la vérité à vous rendre misanthrope, et l'horreur pure et simple, filmé tel le monde, a échelle terrestre. ⛪

jeudi 22 juillet 2021


Apocalypse Now

Apocalypse Now (1979)

Une guerre mentale. Une vraie bataille. Fascinant. Horrifique. Le napalme s'infiltre dans nos narines, a la sortie : nous ne sommes plus les mêmes. 🚁

jeudi 22 juillet 2021


The Endless

The Endless (2017)

Surement le film le plus Lovecraftien que j'ai vu de ma vie... Regorgeant d'idées de mise en scène qui rend le tout subtilement gigantesque. 🌑

mardi 20 juillet 2021


La Haine

La Haine (1995)

Scorsesien, de la mise en scène et de la réalisation, "La Haine" est un film qui reste dans les annales, même si on déplorera ses relâchements. 🚓

mardi 20 juillet 2021


American History X

American History X (1998)

Les bonnes intentions ne suffisent pas. Verbeux, convenu, sans subtilité. Le film nous prend un peu pour des buses... C'est calamiteux au niveau scénaristique, et plutôt pauvre en mise en scène, il n'a pour lui que sa thématique. 🚔

mardi 20 juillet 2021


The Raid

The Raid (2011)

C'est compliqué en 280 caractères de décrire à quel point ce film est la quintessence du film d'action et d'art martial moderne ! 🔪

dimanche 18 juillet 2021


Peninsula

Peninsula (2020)

Convenu... Il n'invente rien, ne surprend jamais, un film de zombie très classique, les créatures ne font plus peur, par rapport au premier film : c'est une douche froide. Seul la photo sait remonter le niveau a minima. 🏎️

mardi 13 juillet 2021


The Tatami Galaxy

The Tatami Galaxy (2010)

Absolument atypique, mélangeant prise de vue réelle, et dessins marqués, Yuasa fait preuve de génie quant à sa folie narrative. De vrais délires fanatiques, une série de la vie d'un misérable, de ses passions... 🎎

samedi 26 juin 2021


Mononoke

Mononoke (2007)

Dépeignant des estampes Ukiyo-e, imageant des histoires horrifique et avant-gardiste japonaise. Je vous somme de regarder ce Chef-d'œuvre folklorique, somptueux. 🐟

samedi 26 juin 2021


The Midnight Gospel

The Midnight Gospel (2020)

Ce qui peut être difficile à appréhender dans cette série, ce sont les sujets abordés, et les réflexions tirées de podcasts. En dehors de ça, "l'évangile de minuit" dans la langue de Lagaf, est ludique et surtout graphiquement tape l'œil. 👞

mardi 22 juin 2021


Souvenirs de Gravity Falls

Souvenirs de Gravity Falls (2012)

Une excellente série d'animation qui se paie le luxe d'avoir un antagoniste formidable, il faut appeler un chat, un chat. 📒

mardi 22 juin 2021


La Forêt De L'étrange

La Forêt De L'étrange (2014)

C'est par-dessus le mur du jardin que l'on trouve la plus belle lettre d'amour jamais faite aux contes de fées des Grimm et a la fantaisie... 🎃

mardi 22 juin 2021


Le Rituel

Le Rituel (2017)

Le film tente... Dés fois ça marche, la créature a vraiment un style à la Trevor Henderson, une certaine ambiance Lovecraftienne. Mais ça ne marche pas, quand le scénario part je ne sais où, quand il explique trop l'inexplicable... 🌲

lundi 14 juin 2021


Godzilla vs. Kong

Godzilla vs. Kong (2021)

C'est débile ! Tellement débile ! Et ça le sait ! C'est comme voir un trisomique se frapper la tête contre un mur. 🦍

dimanche 13 juin 2021


L'Œuf de l'ange

L'Œuf de l'ange (1985)

Avons-nous besoins d'une raison ? D'observer l'horizon, de nous demander : Dieu est-il notre allié ? Existe-t-il ? Que fait-il de nous ?... Un œuf, ne fournissant pas les réponses, montrant juste les débauches. 🥚

vendredi 28 mai 2021


Pinocchio

Pinocchio (1940)

Je suis difficilement objectif, c'est le premier film que j'aie vu de ma vie... Disney excellait à cette époque, peut être bien naïf, peut être trop mignon, mais ardûment si peu tendre, un film intemporel. 🤥

jeudi 27 mai 2021


Nuit et Brouillard

Nuit et Brouillard (1956)

Les images qui disent tout, toutes l'horreur. Insoutenable. Jamais abject, ni adorable, ni détestable. Voyage vomitif, dans le brouillard, les cendres. 🌫️

mardi 25 mai 2021