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Louan Nvs

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LA GORGUE

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Vidéaste spécialisé dans le cinéma. Rédacteur chef sur http://cestquoilecinema.fr/ !

400 Pitchs

Bronx

Bronx (2020)

Avec tout le respect que j’ai pour Mr. Marshall, #Bronx c’est la représentation parfaite du film réalisé par mon tonton ex-flic bourré qui passe son temps à nous raconter des anecdotes de fusillades qu’il a vécu durant sa carrière. C’est fun mais pas intéressant.

mardi 3 novembre 2020


Voyage vers la Lune

Voyage vers la Lune (2020)

Bon c’est indépendant de ma volonté mais je me dois d’arrêter le film d’animation #VoyageVersLaLune qui même si la direction artistique est à tomber par terre, les chansons qui s’enchaînent depuis 40min ruinent le récit qui avait potentiel à émerveiller.

mardi 3 novembre 2020


The Craft : Les Nouvelles Sorcières

The Craft : Les Nouvelles Sorcières (2020)

Un sentiment de banalité transparaît de ce #TheCraftLegacy fade et laid. Cependant, la première demi-heure est agréablement ludique comparée à la dernière qui oscille entre le ridicule et le mauvais goût. Ça m’a donné envie de voir l’original/le premier, c’est déjà pas mal.

mardi 3 novembre 2020


Poly

Poly (2020)

Moment de pause cinématographique, #Poly se savoure amèrement dans un moment de sieste mentale piètrement saupoudré d’un message végétarien qu’on essaye (avec beaucoup de maladresse) de t’enfoncer. Un manque de pertinence, d’impact et de tendresse. Le script aspirait à mieux..

mardi 3 novembre 2020


Yalda, la nuit du pardon

Yalda, la nuit du pardon (2019)

Dans son hyper-réalisme, #Yalda réussit à la fois à convaincre et à énerver. Bien que le fond soit profondément percutant, cynique : la mise en scène trop criarde basée sur les bruits de masse, les larmes, et les cris peuvent rendre sourd au bout de 10 minutes. Un chouïa raté.

lundi 26 octobre 2020


The Unforgiving

The Unforgiving (2010)

C’ÉTAIT DIFFUSÉ À GERADMER ÇA ? Bordel. Navet de l’image saturée au scénario qui n’a ni queue ni tête. L’envie de décès est immédiat dès l’apparition (instantanée) de la shaky-cam qui fera languir les frères Russo. C’est naze même si il y a le sosie de @levraimcfly.

lundi 26 octobre 2020


Borat, nouvelle mission filmée

Borat, nouvelle mission filmée (2020)

Bien que ça puisse être lourd dans la critique Trump, le rire fut bel et bien présent durant la totalité du film. Réjouissant.

lundi 26 octobre 2020


Le Sel des larmes

Le Sel des larmes (2020)

Là où les émotions y sont sincères, le rythme plombe ce récit qui avec 30 minutes de moins m’aurait complètement séduit.

lundi 26 octobre 2020


Pompei

Pompei (2019)

Ce qui est profondément déprimant avec #Pompéi c'est qu'Anna Falguères & John Shank avaient tout pour construire un long-métrage sincère, réaliste et haletant mais qu'il n'arrive jamais à faire décoller leur récit. Conséquences : 1h30 d'ennui saupoudré d'actions inintéressantes.

lundi 26 octobre 2020


Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary

Calamity, une enfance de Martha Jane Cannary (2020)

Dans tout ce qu’il a de plus pur et bienveillant, #Calamity résonne comme un vent de douceur et d’éducation pour nos jeunes. Les adultes peuvent s’y retrouver bien que l’écriture trop simpliste peut provoquer quelques réticences. À montrer à nos enfants pour un monde meilleur.

lundi 26 octobre 2020


Chanson douce

Chanson douce (2019)

L’intrigante initiative peine à captiver passé le 1er acte. Viard au top.

lundi 26 octobre 2020


You Should Have Left

You Should Have Left (2020)

L’écriture différente et l’ambiance saisissante ne corrige pas l’abject montage.

lundi 26 octobre 2020


Nocturne

Nocturne (2020)

Proposition insuffisante malgré un aspect visuel souvent convaincant.

lundi 26 octobre 2020


Love and Monsters

Love and Monsters (2020)

Malgré un scénario qui s’enfonce crescendo dans le générique, #LoveAndMonsters est généreux. Que ce soit dans sa DA comme son envie de faire vivre hors film son monde post-apocalyptique, l’intérêt devient vite grandissant dans ce divertissement si surprenant. Frais malgré tout.

lundi 26 octobre 2020


Miss

Miss (2020)

Le monde est nul car on se rend de plus en plus compte des problèmes. Mais cette année avec des films comme #Mignonnes, #UnPaysQuiSeTientSage, et maintenant #Miss. On est en droit de se dire que dans 10 ans, le monde peut réussir à devenir meilleur. Quel film merveilleux.

lundi 26 octobre 2020


Felicità

Felicità (2020)

Parcelle de vie décousue, rock’n’roll au pont de vue joliment biaisé, #Felicita embrasse subtilement le genre pour devenir une œuvre peu intéressante dans ce qu’elle raconte mais profondément sincère dans ce qu’elle renvoie. Feel-good en demi-teinte, road-trip ombrageux.

lundi 26 octobre 2020


Vanilla Sky

Vanilla Sky (2001)

Il y a quelque chose de si fascinant dans #VanillaSky que je ne comprends pas pourquoi on me l’a autant déconseillé durant des années.. (en plus je n’ai pas vu ‘Abre los ojos’) Œuvre résonnant comme une césure drastique dans la filmographie de Tom Cruise. Ce fut touchant.

lundi 19 octobre 2020


Adieu les cons

Adieu les cons (2020)

Il m’aura fallu du temps pour digérer #AdieuLesCons. Dupontel reste dans la poésie en nous enivrant d’un bonheur doux-amer revigorant mêlant l’absurde à la beauté des relations humaines. Une quête passionnante par ses personnages profonds, la mise en scène y est merveilleuse.

lundi 19 octobre 2020


Les Sept de Chicago

Les Sept de Chicago (2020)

Retranscription historique fondamentalement importante, #LesSeptdeChicago (nonobstant un rythme des plus confortables) ne réussit jamais à transparaître la richesse du scénario dans sa forme. Mark Rylance y est encore impeccable. Cependant, j’ai aisément préféré #MollysGame.

lundi 19 octobre 2020


La Révolution

La Révolution (2020)

C’est avec un regard curieux et naïf que j’ai savouré #LaRevolution. Série presque trop ambitieuse, les défauts créent une forme de singularité fascinante. C’est joué comme dans une kermesse avec la prof comme scénariste, cependant la forme est fantastiquement délicieuse.

lundi 19 octobre 2020


Capone

Capone (2020)

Avec #Capone, Josh Trank filme avec horreur et beauté la déchéance d’un homme jusque dans ses moments les plus intimes. On peut y voir une antithèse au #Scarface de De Palma tout comme une allégorie de son réalisateur dans l’industrie. Un morceau de cinéma adroit, habile.

jeudi 15 octobre 2020


The Good Criminal

The Good Criminal (2020)

Film du dimanche soir respectable, #TheGoodCriminal dans sa forme ‘revenge movie’ ne déçoit que dans son final anticlimax gâchant presque toute la tension crescendo du film. L’écriture est incohérente, le film se digère vite bref du bon fast-food pour dormir paisiblement.

jeudi 15 octobre 2020


Girls with Balls

Girls with Balls (2018)

#GirlsWithBalls n’est clairement pas bon. Mais il y a du Shaka Ponk, Orelsan qui chante faux, Denis Lavant en roue libre, des caméos surprenant et un gros délire parodique en fond. C’est douloureux en termes de cinéma mais le moment était plus qu’agréable. Gros nanar moderne.

lundi 12 octobre 2020


Drunk

Drunk (2020)

Buddy movie feel-good bien que subtilement triste, #Drunk raconte la déchéance de 4 hommes persuadés d’être bonifiés. C’est tendre, ça fait sourire et ça fait pleurer : le tout avec beaucoup de réalisme et d’adresse. Sans nul doute, ma grosse claque de l’année. Mon dieu..

lundi 12 octobre 2020


Lupin III - The First

Lupin III - The First (2019)

Même si la forme est en quelque sorte « sublime », #LupinIII peine à proposer un scénario efficace et cohérent. L’action s’enchaîne sans pour autant y éprouver de l’intérêt, tout est résolu tel un lapin tiré du chapeau. Les fans seront ravis, les novices perdus. Déception.

lundi 12 octobre 2020


Arkansas

Arkansas (2020)

Avec #Arkansas, Clark Duke réalise un film inspiré par les Coen sans forcément avec la totalité de leurs talents. Belle direction d’acteurs, des dialogues intelligents mais une mise en scène aussi plate que le scénario est étiré. Ça tente des choses, mais clairement pas assez.

samedi 10 octobre 2020


Grand Isle : Piège mortel

Grand Isle : Piège mortel (2019)

Ce qui fascinant avec ces DTV foiré dès là préprod c’est que lors du tournage, les réalisateurs font tout pour essayer de relever le niveau, se faire remarquer. #GrandIsle c’est ça, dans le sens où l’ineptie du scénario réussit à être sublimé par une caméra présomptueuse.

samedi 10 octobre 2020


Let's Scare Julie

Let's Scare Julie (2019)

Comment tu peux passer d’un film d’horreur où le regard du spectateur s’immisce de manière perverse dans un groupe d’amie complice influencé au prank à une œuvre incohérente où la musique d’ambiance anéantit toute proposition jusqu’à un final des plus feignants ? #LetsScareJulie

samedi 10 octobre 2020


Arizona Junior

Arizona Junior (1987)

Combattre son passé pour une vie meilleure tout en prenant compte de ses responsabilités en tant que père de famille, c’est toute la subtilité de ce cocktail semi-cartoon qu’est #ArizonaJunior. La beauté formelle embrasse les personnages, justement interprétés. C’était super.

samedi 10 octobre 2020


American Pie présente : Girls Power

American Pie présente : Girls Power (2020)

D’un enchaînement de sketchs inégaux à des relations « too much », cet #AmericanPieGirlsRules est loin d’être aussi mauvais que les 50 précédents mais c’est peut-être parce qu’il n’a d’American Pie que son titre et la thématique du sexe. C’est amusant par moments.

samedi 10 octobre 2020


Les Apparences

Les Apparences (2020)

Maladroit dans ce qu’il veut faire, #LesApparences à des saveurs de nanar surtout dans son écriture qui devient de plus en plus ridicule au fil du film. Viard est à peine excellente, c’est un crime. Les problèmes de riches ne m’intéressent pas. Mais c’est drôle, ça divertit.

mercredi 7 octobre 2020


Hubie Halloween

Hubie Halloween (2020)

J’aurais vu ce film au collège, j’aurais encore plus adoré. Adam Sandler y est joliment emphatique (bien que caricatural) et le film parvient à envoyer des messages sincères et juste tout en y mêlant un humour toujours beauf, jamais lourd. Bref, #HubieHalloween c’est super.

mercredi 7 octobre 2020


Mon grand-père et moi

Mon grand-père et moi (2020)

Immense tristesse de voir d’aussi grand acteur se perdre dans des productions aussi molles et ridicules. #MonGrandPereEtMoi est un calvaire pour les personnes avides de cinéma, cependant il peut sustenter votre enfant pendant une bonne partie de jambes en l’air. Quel désastre.

mercredi 7 octobre 2020


Black Box

Black Box (2020)

Si #BlackBox pouvait nous faire grâce d’un pitch intrigant, il n’en fait pas grand-chose sur la durée. Ça déjoue nos attentes en proposant un drame intimiste digne de Black Mirror mais ça ne réussit jamais à atteindre l’aspect psychologique, c’est toujours maladroit. Triste.

mercredi 7 octobre 2020


Parents d'élèves

Parents d'élèves (2020)

C’est grâce au duo Camélia Jordana & Vincent Dedienne que #ParentsDeleves nous fait passer un agréable moment. Le tempo comique est cool bien que le scénario soit prévisible, galvaudé. Ça dépasse largement la moyenne des comédies françaises populaires. Sympathique feel-good.

mercredi 7 octobre 2020


Sympathie pour le diable

Sympathie pour le diable (2019)

Passionnant dans sa première demi-heure, #SympathiePourLeDiable bien que magistralement porté par un Niels Schneider à son apogée perd de son intérêt dès lors que l’histoire devient redondante. Ça arrive à être frappant tout de même, grâce à un réalisme proche de Bigelow.

mercredi 7 octobre 2020


Un pays qui se tient sage

Un pays qui se tient sage (2020)

L’impact d’une vidéo Twitter au cinéma, c’est loin d’être pareil que sur la TV. #UnPaysQuiSeTientSage a l’effet d’une grosse taloche dès lors qu’il dépasse la limite du correct. Piste de réflexion déconcertante, l’œuvre majeure d’un effondrement certain. Choc, sincère, malin.

mardi 6 octobre 2020


Des vampires dans le Bronx

Des vampires dans le Bronx (2020)

Comédie horrifique préadolescente sympathique, #DesVampiresDansLeBronx prend cependant trop de temps à démarrer (ce qui nous gâche le côté « comédie absurde » assumé de son 3ème acte). Ça reste inoffensif et agréable pour un Netflix & Chill oubliable. Bof, bof quoi.

mardi 6 octobre 2020


Aux frontières de l'aube

Aux frontières de l'aube (1987)

Précurseur du style de Bigelow, #NearDark paraît comme perdu dans sa filmographie. On y suit un adolescent vampirisé lors d’une nuit sans lune où l’inconnu va provoquer la peur et la peur va déclencher l’attachement. Un basculement passionnant vers la tentation, un grand cru.

vendredi 2 octobre 2020


Baxter

Baxter (1989)

Trop long pour un concept si fort, #Baxter c’est un ‘Inside Out' canin qui n’arrive pas à sustenter nos attentes à temps. Plutôt bien mis en scène, avec plusieurs points de vues intéressants et quelques passages agréablement cheaps. (Trop ?) Ambitieuse proposition.

vendredi 2 octobre 2020


Trois couleurs : Blanc

Trois couleurs : Blanc (1994)

Reconquête d’un amour complexe, soif de vengeance et recherche d’affection, #TroisCouleursBlanc ne nous provoque que peu d’intérêt sur la durée. Toujours un excellent travail sur le cadre, l’ambiance. Mais le duo de tête peine à porter le récit comparé à une Juliette Binoche.

jeudi 1 octobre 2020


Frissons

Frissons (1975)

Pulsions sexuelles osées au profit d’une horreur instinctive, #Frissons c’est le film précurseur de Cronenberg. Une caméra suintante, une photographie granuleuse et des sons narcotiques qui provoque un sentiment de malaise rarement vain nous gratifiant d’une œuvre importante.

jeudi 1 octobre 2020


Pasolini

Pasolini (2014)

Passé une scène d’introduction des plus éloquentes, #Pasolini avec ses images composées d’orange et noir ainsi que sa caméra (souvent) bordélique devient une œuvre ardemment hypnotique bien que maladroite dans sa réécriture. Daffoe y est jouissif, la musique redoutable.

jeudi 1 octobre 2020


La 25ème Heure

La 25ème Heure (2002)

Récit d’un homme libre qui se prépare à être prisonnier, #La25eHeure grâce à la performance du superbe Edward Norton possède un côté touchant indéniable. Cependant et malgré son casting, j’ai été retissant à la mise en scène de Spike Lee. Montage rapide & brutal, image saturée..

jeudi 1 octobre 2020


À cœur battant

À cœur battant (2019)

Le malaise et la tendresse s’embrasse afin de créer une atmosphère de relation à distance des plus concrètes. #ACoeurBattant est un épisode de vie aussi beau que brutal, allégorie de l’amour. Un moment unique à vivre au cinéma cette semaine. Exceptionnel, prodigieux.

jeudi 1 octobre 2020


Calculs meurtriers

Calculs meurtriers (2002)

Sans éviter les clichés du genre, Schroeder réussit dans son #CalculsMeurtiers à capter toute une palette d’émotions chez un Ryan Gosling porté par le dynamisme de sa jeunesse. Enquête jamais ennuyeuse bien que sans véritable passion, l’écriture des personnages porte le récit.

jeudi 1 octobre 2020


Ice Storm

Ice Storm (1997)

Ang Lee n’est pas que réalisateur d’expérimentation, il a aussi réalisé #IceStorm. Drame familial peu intense, assez creux qui met en scène une Sigourney Weaver indifférente et un Tobey Maguire sobre bien que peu subtil dans son écriture. Mou et creux bien que précurseur.

jeudi 1 octobre 2020


Dead Zone

Dead Zone (1983)

Avec #DeadZone, Cronenberg oublie le temps d’un long-métrage la décomposition des corps pour se concentrer sur le déclin de l’esprit. C’est froid, c’est noir et Christopher Walker peut danser comme jouer un homme mystérieusement perturbé qu’il déchire toujours. Trop sobre ?

jeudi 1 octobre 2020


Dune

Dune (1984)

À côté des autres poids lourds de SF auquel il faisait face à l’époque, #Dune fait pâle figure. Trop enfermé, des visuels 10 ans trop vieux, des personnages peu charismatiques. Cependant, c’est ces défauts qui arrivent a créer une aura envoûtante à laquelle on ne peut résister.

jeudi 1 octobre 2020


Trois couleurs : Bleu

Trois couleurs : Bleu (1993)

Le film est vide, un vide désagréable, un vide volontaire, un vide hermétique. Cependant, l’identification à cette superbe Juliette Binoche devient instantanée, fatale. Les images nous restent en tête, impossible de les effacer. Mon Dieu que c’est beau... Un étrange chagrin.

jeudi 1 octobre 2020


Mon cousin

Mon cousin (2020)

Retrouvailles problématiques pour deux quêtes relationnelles difficiles mais touchantes, #MonCousin c’est une comédie dramatique ambitieuse brillamment mise en scène par un Jan Kounen qui est comme à l'accoutumé : inventif. Un joli moment de cinéma français, un plaisir.

lundi 28 septembre 2020


Blackbird

Blackbird (2019)

C’est rythmé au bruit des couverts sur la table, ça pleurniche, ça râle avec des violons : le tout avec des ressors d'écritures convenues. Bref, #Blackbird c’est comme (presque) tous les drames familiaux, j’ai passé un très mauvais moment. Je suis compliqué, le film est bien.

lundi 28 septembre 2020


Ondine

Ondine (2020)

Fable romantico-poetique captivante par ses phases de surréalisme, #Ondine ameute le spectateur au travers une Paula Beer lumineuse et une direction esthétique remarquable. L’amour ralentit drastiquement dès le 3ème acte, là où les deux précédents étaient féeriques.

lundi 28 septembre 2020


Relic

Relic (2020)

La démence sénile en sujet de ce #Relic fait sens pour créer un malaise sans se fouler, ceindre son film d’une ambiance certaine. Ça bascule facilement dans le film attraction, pointant le monstre dans le placard. Ça reste confus dans sa texture. Allez voir mémé, c’est mieux.

dimanche 27 septembre 2020


Le Grand Jeu

Le Grand Jeu (2017)

Œuvre somme d’un Aaron Sorkin toujours aussi créatif et parfait, #LeGrandJeu parvient à mettre une Jessica Chastain déifié en lumière. L’écriture est irréprochable, la mise en scène reste peut-être beaucoup trop référencée, statique sur la durée. « You are unimportant. »

dimanche 27 septembre 2020


Antiviral

Antiviral (2012)

Ce qui est intense dans #Antiviral, c’est comment Brandon arrive à capter délicatement l’évolution des corps, qui se fait de l’intérieur et non de l’extérieur. Le rouge épouse le blanc. Un chouïa arty, provocateur et oppressant. Tel père, tel fils. Évidemment.

dimanche 27 septembre 2020


Éléonore

Éléonore (2020)

Quête d’assurance au travers une relation patron/assistante toujours écrite avec intelligence, #Eleonore sonne comme une comédie dramatique sincère et réjouissante sur la vision que l’on peut avoir de l’autre, du contact. Des idées, une écriture minutieuse : c’est cool.

jeudi 24 septembre 2020


Le bonheur des uns...

Le bonheur des uns... (2020)

La bonne plume laisse transparaître des dialogues ludiques et agréables, là où la construction du récit patauge légèrement. #LeBonheurDesUns émerge comme un sympathique moment qui n’ira jamais dans la démonstration technique. Une adaptation trop théâtrale pour du cinéma.

jeudi 24 septembre 2020


Antigone

Antigone (2019)

Alliant le réel au mythe subtilement revisité, #Antigone charme grâce à son écriture aérienne et son montage partiellement contemporain. Cependant, les acteurs n’ont de cesse d’avoir un jeu inégal qui intervient souvent lors des scènes majeures, leurs regards paraissent vides.

jeudi 24 septembre 2020


Lux Æterna

Lux Æterna (2019)

Chef d’œuvre.

jeudi 24 septembre 2020


Enola Holmes

Enola Holmes (2020)

Un vent de fraîcheur sûrement trop longuet et bancal mais terriblement divertissant, #EnolaHolmes respecte le cahier des charges @NetflixFR sans pour autant proposer une redite. Moment fort sympathique et au montage agréable, ça n’est cependant pas dénué de GROS défauts.

jeudi 24 septembre 2020


Boutchou

Boutchou (2020)

Ça ne dure qu’1h18 et ça ne sait toujours pas quoi raconter dans son scénario déjà vu.. #Boutchou Ça traîne du pied tout le 1er acte pour tout balancer en 20 minutes dans le 2ème et 3ème acte. À noter que l’enfant devient métisse en plein milieu du film. Désolant.

jeudi 24 septembre 2020


La Daronne

La Daronne (2020)

C’est aussi mou qu’un téléfilm du dimanche, aussi amateur que #LaVengeance de Morsay (le côté touchant en moins) et aussi cliché qu’un journal d’extrême droite : #LaDaronne c’est à évité pour toute personne cherchant du « Cinéma ». Une Isabelle Huppert investie, tout de même.

lundi 21 septembre 2020


J'irai mourir dans les Carpates

J'irai mourir dans les Carpates (2020)

Plutôt neuf dans le paysage cinématographique français, #JiraiMourirDansLesCarpates est intéressant dans son 1er acte mais s’essouffle soudainement dans son concept trop répétitif. Des facilités, un rythme biscornu, cependant l’aventure reste agréable. Tentez, vous verrez.

lundi 21 septembre 2020


Antoinette dans les Cévennes

Antoinette dans les Cévennes (2020)

Voyage initiatique passionnant, #AntoinetteDansLesCevennes s’avère être une excellente comédie portée par une Laure Calamy très touchante et excessivement hilarante. Une belle et pétillante surprise qui marquera cette triste année 2020. Donnez moi un Patrick dans ma vie !

lundi 21 septembre 2020


Antebellum

Antebellum (2020)

À vouloir être trop anti-raciste, #Antebellum en devient lui même raciste. C’est écrit à la truelle, ça ne sait jamais où aller, la photographie est atroce, le ‘high-concept’ (intéressant sur le papier) devient vite incohérent. Janelle Monáe y est antipathique. C’est raté.

lundi 21 septembre 2020


Rent-A-Pal

Rent-A-Pal (2020)

Rythmé à coup de champ-contrechamp entre un homme et sa télévision. #RentAPal est une œuvre à l’ambiance maîtrisée, qui n’ennuie à aucun moment et qui parle de solitude de façon si originale que l’on ne peut décrocher. Une petite pépite dramatico-horrifique surprenante. Whoah.

dimanche 20 septembre 2020


Le Diable, tout le temps

Le Diable, tout le temps (2020)

Hormis son casting 4* et quelques petits moments d’ambiance surprenant, #LeDiableToutLeTemps reste un téléfilm « de luxe » avec tout le manque d’ambition de mise en scène et de subtilité de texte du genre. Ça reste trop long, trop classique. Qui a eu l’idée de ce narrateur ?!

dimanche 20 septembre 2020


Brutus vs Cesar

Brutus vs Cesar (2020)

Bordélique dans TOUTE son écriture, on sent la roue libre ce qui donne des moments de pur malaise, d’ennui et très peu de rire. On en ressort avec un gros « c’est dommage», car le potentiel pour un « Mission Cleopatre 2.0 » était présent. #BrutusVsCesar Je suis triste.

dimanche 20 septembre 2020


Mortal

Mortal (2020)

Dépassé par son scénario qui ne cesse d’exposer les événements, les personnages : #Mortal n’est pas au niveau du précédent #TrollHunter. Cependant Øvredal réussi à capter de véritable moment de cinéma, de fantasy. Le film aurait était parfait pour introduire Thor dans le MCU.

dimanche 20 septembre 2020


#Alive

#Alive (2020)

À vouloir en faire trop, #Alive se perd dans de multiples incohérences, facilités et inutilités. Pour l’aspect « zombies dans l’immeuble » je vous recommande plus l’excellent #LaNuitADevoreLeMonde sinon le côté « rencontre à distance » réussi à être touchant par moment. Raté.

dimanche 20 septembre 2020


Mulan

Mulan (2020)

Après 30 premières minutes qui pataugent dans l’exposition balourde, #Mulan fut une agréable surprise de mon côté. Entre le film chinois et production « bollywoodienne », les visuels rayonnent encore plus accompagnés par la magnifique B.O de HGW. Vu en 4K/VF, pour justifier.

dimanche 20 septembre 2020


Le Seul et Unique Ivan

Le Seul et Unique Ivan (2020)

Insipide, #LeSeulEtUniqueIvan a beau avoir une belle histoire sur le papier : en film il n’en est que succession d’animaux anti-anthropomorphique numérique laid qui tente d’être attachant. Il faut arrêter les conneries Disney. Je suis sérieux. Vraiment. ARRÊTEZ !

dimanche 20 septembre 2020


The Babysitter : Killer Queen

The Babysitter : Killer Queen (2020)

Quand tu retires l’omniprésence de Samara Weaving mais que tu rajoutes plus de « fun », de référence tout en ayant un scénario chétif : ça te donne un #BabysitterKillerQueen moins surprenant que le premier et beaucoup plus insignifiant. Film « vidéo-club » (et encore..).

dimanche 20 septembre 2020


Inunaki : Le Village oublié

Inunaki : Le Village oublié (2019)

Ballant entre visuels forts et mauvais goût, #HowlingVillage souffre d’une écriture maladroite trop étirée. On se rappellera de la scène de la cabine téléphonique et du vidéo projecteur, le reste demeurera oubliable au dépit de l’initiative. La curiosité comme seul argument.

dimanche 20 septembre 2020


Comment je suis devenu super-héros

Comment je suis devenu super-héros (2020)

Généreux et ambitieux, #CommentJeSuisDevenuSuperHeros est une perle française qui peut réunir les fans de DC, ceux de Marvel et les gens cherchant à être divertis. Jamais kitsch, toujours sobre : on en ressort avec un grand espoir, celui d’une nouvelle vague. Un grand OUI !

dimanche 20 septembre 2020


Rouge

Rouge (2020)

Palpitant thriller écologique, #Rouge parvient (à l’égard de sa protagoniste) a lancer l’alerte grâce à un scénario de toute finesse. On peut malgré tout, y reprocher une mise en scène qui se contente de filmer l’action : rien de plus. Un film juste, percutant, fort.

dimanche 20 septembre 2020


Shiva Baby

Shiva Baby (2020)

Terriblement efficace dans sa mise en scène, #ShivaBaby, aussi oppressant qu’un #Mother de Aronofsky juif a tout pour devenir le grand gagnant de la compétition du #Deauville2020. Rythme effréné, musique merveilleuse et acteurs talentueux. Un gros bordel bien JOUISSIF.

dimanche 20 septembre 2020


Kajillionaire

Kajillionaire (2020)

Pitch incroyable et aventure qui semble intéressante, #Kajillionaire malgré sa première demi-heure peine à surprendre dès son 2ème acte. Ça aurait été parfait pour un moyen métrage, des bonnes idées et des acteurs convaincants. Cependant, l’intrigue s’étale beaucoup trop.

dimanche 20 septembre 2020


Mignonnes

Mignonnes (2020)

Portrait social des plus justes et intéressants, #Mignonnes met en image une infamie bien présente dans notre société actuelle. Un film qui dérange, bouscule, saupoudré de quelques moments de malaise qui ne laisse pas indifférent. Du cinéma engagé important, sujet révoltant.

dimanche 20 septembre 2020


Sophie Jones

Sophie Jones (2020)

Il y a des films que l’on rejette inconsciemment dès les 5 premières minutes. Au départ tu te demandes pourquoi, et ensuite tu comprends. Comment peut-on s’attacher à un personnage aussi lunatique, indécis et énervant comme l’est #SophieJones ? Contraignant.

dimanche 20 septembre 2020


Résistance

Résistance (2020)

Jesse Eisenberg qui fait des mimes. Jesse Eisenberg qui imite Hitler. Jesse Eisenberg qui sourit. Jesse Eisenberg qui pleure. Jesse Eisenberg qui porte complètement #Resistance sur ses épaules. Film fast-food plutôt qu’historique. C’était pas un si mauvais moment, au fait.

dimanche 20 septembre 2020


Lorelei

Lorelei (2020)

F.O.R.M.I.D.A.B.L.E.

dimanche 20 septembre 2020


The Violent Heart

The Violent Heart (2020)

D’une grâce extrême, #TheViolentHeart est si attachant qu’on ne peut résister de suivre cet amour, cette quête de vengeance, cette destinée. La douceur de cette romance est telle, que les larmes coulent quand cette histoire atteint son apogée. Un ÉNORME coup de cœur.

dimanche 20 septembre 2020


Giants Being Lonely

Giants Being Lonely (2019)

Ça y est, je tiens mon véritable coup de cœur de la compétion du #Deauville2020. Difficile d’accès, débordant d’influence de divers genre. #GiantsBeingLonely frustre et ne laisse pas indifférent tant l’œuvre semble erratique. Les 20 dernières minutes sont formidables.

dimanche 20 septembre 2020


Holler

Holler (2020)

Parcelle de vie, d’avenir sincère sur l’Amérique précaire actuelle, #Holler grâce à sa mise en scène proche de ses personnages envoie un message subtil et profondément juste à ses spectateurs. C’est froid, parsemé d’émotions. Hyper efficace.

dimanche 20 septembre 2020


Échec et Mat

Échec et Mat (2020)

Histoire adolescente oscillant entre le Spike Lee et le Richard Linklater, #CriticalThinking est une petite douceur émotionnelle rythmée au rythme des pions. Témoignage pimenté de faits, d’amour et de vérité qui a pour objectif de faire penser et sourire. Love that, man.

dimanche 20 septembre 2020


Histoires d'amour

Histoires d'amour (2020)

D’une niaiserie abrutissante, #LoveIsLoveIsLove enchaine les clichés, les facilités et les moments d’ennui tel un dîner de famille où rien ne se passe (cf. 3e court-métrage). Pour le 3e âge, pour faire la sieste mais pas pour un festival. À aucun moment !

dimanche 20 septembre 2020


First Cow

First Cow (2019)

Teinté de petites touches d’humour, #FirstCow est encore une belle petite pépite produite par @A24. D’une esthétique parfaite, le contemplatif embrasse ce pure western à contre-conrant du genre. On peut y reprocher cependant un scénario qui s’étale, s’épuise.

dimanche 20 septembre 2020


Les 2 Alfred

Les 2 Alfred (2020)

On pourrait facilement décrire #Les2Alfred avec un « ok boomer » alors que, bien au contraire, Bruno Podalydès nous livre une comédie résolument moderne ayant le potentiel de rassembler (au travers son humour et son thème) toutes les générations. Une pincée de funny filmique.

dimanche 20 septembre 2020


Mon oncle Frank

Mon oncle Frank (2020)

Un peu naïf mais extrêmement touchant, #UncleFrank se révèle être dans la lignée de la sélection : un témoigne important et captivant. On rit, on pleure, on s’attache. Un feel-good doux-amer qui se savoure avec beaucoup de plaisir et d’émotions. Rayonnant.

dimanche 20 septembre 2020


Last Words

Last Words (2020)

Efficace tel un somnifère, #LastWords réussit à endormir malgré son beau témoignage. 50 minutes en moins auraient suffi pour me faire adorer l’œuvre tant les acteurs se donnent à fond et la mise en scène (trop ?) contemplative réussie partiellement à nous envoûter.

dimanche 20 septembre 2020


The Professor and the Madman

The Professor and the Madman (2019)

Camera épaule tremblante, establishing shot feignant, montage sous LSD et écriture intensément vide, #TheProfessorAndTheMadman est aussi irréparable qu’épouvantable. On peut y sauver un jeu plutôt neuf de son trio de tête, ce qui malheureusement ne le sauve pas. Fatiguant.

dimanche 20 septembre 2020


Peninsula

Peninsula (2020)

Se rapprochant plus de « Séoul Station » que de « Dernier Train pour Busan », #Peninsula se veut trop numérique, trop éclairé, trop émotionnel, trop manichéen : TROP ! Ça n’en fait pas un mauvais film, ni même divertissement. Ça en fait juste un film bourratif, voir oubliable.

dimanche 20 septembre 2020


Sound of Metal

Sound of Metal (2019)

Dans son silence, #SoundOfMetal devient une expérience auditive joliment douloureuse. Du sound-design immersif à un Riz Ahmed identifiable, le mal-être se ressent. Un long-métrage ambitieux, haletant : une grande expérience de cinéma. Nécessaire, fragile, très fort.

dimanche 20 septembre 2020


Minari

Minari (2020)

Rien de tel qu’un film tendre et bienveillant pour ouvrir la compétition @DeauvilleUS. #Minari accompagne amèrement une fatalité commune à une finalité semi feel-good émotionnellement forte. Entre rire et tristesse : un film charmant, vivant.

dimanche 20 septembre 2020


Police

Police (2020)

Même si le trio de tête assure à l’écran, #Police c’est comme faire une soupe à la tomate avec 20% de tomates et 80% de potiron. Ça n’en fait pas un mauvais plat, mais c’est (presque) complètement hors sujet. Une once de tension s’installe au 2e acte, souvent troublée.

dimanche 20 septembre 2020


Enragé

Enragé (2020)

Avec son scénario bourré de facilités et d’absurdités, #Enrage s’en sort grâce à un Russell Crowe habité par la violence gratuite qui peut exciter le spectateur antisystème. Une série B mineure, abrutissante bien qu'amusante par moments. La bande-annonce était mieux que le film.

dimanche 30 août 2020


Les Nouveaux Mutants

Les Nouveaux Mutants (2020)

#LesNouveauxMutants me fait de la peine. Au départ projet horrifique ambitieux, il en est maintenant un film qui oscille entre micros-idées et action drama pour jeunes ados. On ressent le film d’avant sans en voir une once à l’écran. C’est laid, inutile et chiant. Tristesse..

dimanche 30 août 2020


Les Désaccords du cœur

Les Désaccords du cœur (2020)

Rom-com des plus classiques, #ChemicalHearts résonne fondamentalement comme déjà-vu. Parfois forcé et souvent attendrissant, on s’attache à cette romance des plus surprenantes dans sa conclusion. Le message surpassant le reste, on en ressort avec une petite envie de le partager.

dimanche 30 août 2020


Mon Espion

Mon Espion (2020)

Ce buddy-movie d’action absurde n’a rien d’original, hormis le fait de faire pour une fois briller ses deux acteurs. #MySpy dans son rythme qui oscille entre monotone et fun, est un divertissement agréable qui possède de vrais moments de tendresse. C’est cool, sans plus.

dimanche 30 août 2020


La Fameuse Invasion des ours en Sicile

La Fameuse Invasion des ours en Sicile (2019)

Jamais neuneu, toujours pertinent : #LaFameuseInvasionDesOursEnSicile reste une aventure intelligemment ludique à tout âge. À l’animation originale, les messages sur l’humain et les animaux deviennent importants. C’est frais, c’est beau, un doux Pixar italien.

dimanche 30 août 2020


All Together Now

All Together Now (2020)

Édulcoré comme pastille de Stevia, c’est aussi regardable que dispensable.

dimanche 30 août 2020


Tenet

Tenet (2020)

Complètement con et prétentieux jusque dans ses dialogues capillotracté, #TENET est un calvaire sans fin qui ne sait que t’exposer un contexte pendant 2h30 en te disant carrément « cherche pas, t’es con ». J’aurais préféré mourir d’une couille dans la gorge, que de le voir.

mercredi 26 août 2020


Ema

Ema (2019)

Hypnotique grâce à son ambiance lumineuse et dansante, #Ema est sûrement la claque visuelle de l’année. Cependant, je n’ai pas arrêté de penser à Noé durant l’entièreté du visionnage. Les couleurs, le sujet, la danse : c’est CLIMAX en moins audacieux. Perfectible.

mercredi 26 août 2020


Ava

Ava (2020)

C’est en voulant être comme les autres qu'#AVA se plante éperdument. Du déjà-vu sans maîtrise et innovation à laquelle s’ajoute des scènes d’action inopérantes bloquées par un scénario trop concentré sur le côté brisé d’une Jessica Chastain perdue. La bande-annonce suffit.

mercredi 26 août 2020


Bad Education

Bad Education (2019)

Intriguant premièrement de par son casting, deuxièmement grâce à son sujet. #BadEducation n’a d’intérêt que pour ça. La mise en scène bien qu’académique parvient parfaitement à transmettre l’idée de chaque scène malgré un rythme en demi-teinte. Jackman est diabolique.

mercredi 26 août 2020


The Rental

The Rental (2020)

Agréablement contreproductif, #TheRental oscille entre le drame semi-romantique et le slasher inspiré pour instaurer une ambiance si particulière qu’elle en est exceptionnelle. Une proposition intéressante et prometteuse aux visuels délicieusement lumineux.

samedi 22 août 2020


The Tax Collector

The Tax Collector (2020)

Dans son écriture des plus limités, #TheTaxCollector n’arrive jamais à décoller tant les artifices de mise en scène gêne l’ambiance globale du film. Entre clips-moments, facilité d’écriture, effets visuels kitsch et idées expédiées : pas de répit pour l’ennui. Navrant.

samedi 22 août 2020


The Assistant

The Assistant (2019)

Rythmé aux bruits des bureaux, #TheAssistant vise une ambiance si oppressante qu’on ne peut décrocher. A l’image, une Julia Garner investit dans un personnage marqué/seul. Le travail sur le cadre est doux, intelligent, maîtrisé. Kitty Green devrait réaliser un film d’horreur.

samedi 22 août 2020


L'Ange

L'Ange (2018)

Avec sa première partie palpitante qui s’essouffle suite à trop de rebondissements asthmatiques, L’#Ange bénéficie de beaux clichés dégoulinant d’inventivité et d’un déroulement plutôt maîtrisé qui dure peut-être trop longtemps dû à un rythme altéré qui agace amplement.

samedi 15 août 2020


Proxima

Proxima (2019)

Décevant dans son aspect émotionnel, #Proxima arrive parfaitement à exposer le combat d’une mère tiraillée entre sa fille et son boulot. Pourtant, Winocour ne parvient que très rarement à chatouiller notre sensibilité faute à une mise en scène trop froide, austère. Insatisfait.

samedi 15 août 2020


Project Power

Project Power (2020)

Au postulat haletant, ce #ProjectPower n’arrive à aucun moment à nous contenter et à nous nourrir. Au scénario blafard, la forme paraît bougrement démunie au profit de facilités idiotes certainement dues à l’incompétence vaine des deux réalisateurs. Un gâchis énervant, frustrant.

vendredi 14 août 2020


Les Blagues de Toto

Les Blagues de Toto (2020)

Ce qui me désespère le plus dans #LesBlaguesDeToto ce n’est pas le fait que ce soit mauvais (on s’y attendaient) mais c’est que Toto n’est pas un blagueur, ce qu’il fait, c’est pas des « blagues », juste : il fait chier. Intensivement. Des adultes ont ri pour un pet, oui...

jeudi 13 août 2020


The King of Staten Island

The King of Staten Island (2020)

Sincère c’est le mot pour décrire #TheKingOfStatenIsland qui nous emporte dans cette histoire peut-être trop étirée. Néanmoins l’émotion est déléguée avec assurance et crudité ce qui nous fait passer un agréable moment malgré les coups de mou du 2ème acte. Tomei est rayonnante.

jeudi 13 août 2020


Jurassic Shark

Jurassic Shark (2012)

Hier avec des potes, j’ai regardé #JurassicShark. J’ai bien rigolé, mais j’en suis ressorti avec une impression d’avoir gâché 1h de ma vie. Pas grand-chose de mémorable (même dans le mauvais), ça prouve le gadin. Le requin est censé être un dinosaure, je n’ai vu qu’un requin.

jeudi 13 août 2020


Greenland : Le Dernier Refuge

Greenland : Le Dernier Refuge (2020)

Plus intimiste que la moyenne, #Greenland souffre de quelques longueurs et de vaines facilités qui dénaturent la solidité du propos et la grandeur de cet effondrement. Classe, c’est un blockbuster plus intelligent qu’on aurait pu penser bien que plutôt crade dans sa texture.

jeudi 13 août 2020


Scarface

Scarface (1983)

Toujours aussi exaltant de revoir l’ascension de Tony Montana au travers les yeux inspirés et pointilleux d’un Brian De Palma à son meilleur. Faut pas enculer le Tony, c’est Tony qui t’encule salement à chaque visionnage. Quel pied, quelle ambiance. Inspirant !

jeudi 13 août 2020


120 battements par minute

120 battements par minute (2017)

Le meilleur film LGBTQ est également le meilleur sur le SIDA. 120 BPM arrive encore (même après une 15aine de visionnage) a émouvoir, sensibiliser. Long-métrage fort, important et intemporel : il faut le voir pour le croire. En plus, il y a Smalltown Boy..

jeudi 13 août 2020


Le Roi Arthur : La Légende d'Excalibur

Le Roi Arthur : La Légende d'Excalibur (2017)

En plus d’être un récit épique et grandiose, #LeRoiArthurLaLegendeDExcalibur reste le meilleur hommage au jeu vidéo que le cinéma ai réussi à proposer. Un Guy Ritchie beaucoup trop boudé malgré la richesse de l’univers proposé et la dose de testostérone. Viril as fuck.

jeudi 13 août 2020


Qui veut la peau de Roger Rabbit ?

Qui veut la peau de Roger Rabbit ? (1988)

Vous aimez les films noirs, vous voulez faire découvrir votre fascination pour le genre à votre enfant de manière ludique et subtile ? Faites lui découvrir #WhoFramedRogerRabbit qui n’a pas pris une ride que ce soit dans ses visuels comme ses thèmes. Dément, impressionnant.

jeudi 13 août 2020


Sea Fever

Sea Fever (2019)

Bien que le film arrive à mettre convenablement en image un scénario beaucoup trop descriptif, #SeaFever dans ses influences refuse la grandiloquence privilégiant une ambiance « anxiogène et paranoïaque » peu convaincante. La subtilité du fond reste très plaisante, malgré tout.

mardi 4 août 2020


Le Cinquième Élément

Le Cinquième Élément (1997)

Une aura inégalée, une ambiance, un montage qui se répond, des personnages emblématiques, une musique electro lyrique unique, des larmes de joies, des enfants qui découvrent, un rêve qui se réalise. Le meilleur blockbuster encore aujourd’hui, un chef d’œuvre, oui.

mardi 4 août 2020


Holy Motors

Holy Motors (2012)

Dans son fil rouge halluciné et hallucinant, #HolyMotors est une belle mise en lumière du métier d’acteur mais aussi de réalisateur. Carax traverse les genres comme Oscar, homme désemparé et mélancolique qui n’est qu’allégorie de son métier, du réalisateur. Remarquable.

mardi 4 août 2020


T'as pécho?

T'as pécho? (2020)

Ça veut tellement se la jouer moderne que ça en devient terriblement ringard et puéril. Une direction d’acteur déplorable, une mise en scène hasardeuse et une écriture pataude qui évite maladroitement chaque sujets sensibles. Exécrable, contestable, aberrant.

jeudi 30 juillet 2020


Terrible jungle

Terrible jungle (2020)

On est gâté niveau comédie française en ce moment ! #TerribleJungle prend peut-être trop de temps pour te faire accepter son ambiance cynique et absurde mais une fois lancée, ça fuse. Le quatuor est lumineux, l’écriture ingénieuse. Ça paraît con, mais ça en est loin.

jeudi 30 juillet 2020


The Vigil

The Vigil (2019)

Sans rien réinventer mais avec de belles inspirations, #TheVigil est une petite merveille émotionnellement flippante qui nous donne rendez-vous sous notre couette pour notre plus grand plaisir. C’est doux, dur, beau, sale : une aura terriblement puissante s’en dégage. Frousse.

mercredi 29 juillet 2020


L'Aventure des Marguerite

L'Aventure des Marguerite (2020)

C’est quand même con d’avoir un concept surexploité mais de quand même fortement se louper. Maladroit, #LAventureDesMarguerites est ratée à tous les niveaux. Les acteurs sont en roue libre, la mise en scène absente, le rythme mou : on n’y croit pas. Cornillac à sauver.

vendredi 24 juillet 2020


Blood Quantum

Blood Quantum (2019)

Je comprends l’énervement qu’a engendré #BloodQuantum, tant de potentiel gâché dans ce film sans bons acteurs, sans mise en scène, cependant beaucoup de douleur. La photographie et costume arrivent à nous accrocher même si le scénario avance sans grande intelligence. Raté.

vendredi 24 juillet 2020


Crazy Amy

Crazy Amy (2015)

C’est pas ma cam.. Inintéressant, des vannes qui s’éternisent trop, des personnages secondaires mieux écrit que Amy, etc. Bref. C’est vraiment, oubliable. Aïe.

vendredi 24 juillet 2020


Elephant

Elephant (2003)

Bordel de merde, ce film. J’avais déjà vu quelques extraits dans ma vie mais me prolonger dans ce lycée m’a complètement déboussolé. Instantané, tendre, brutal, beau et dur. Du cinéma comme le je l’aime, un cinéma qui me surprend à chaque plan. Film rare. #Elephant

vendredi 24 juillet 2020


Loin de moi, près de toi

Loin de moi, près de toi (2020)

Ce genre de film parfait avant de se coucher. Tendre, agréable à l’œil et beau dans le fond. Pas grand-chose à dire, hormis que les défauts sont moindres : le film est très conforme dans son genre. C’est recommandé sans grand enthousiasme non plus.

mercredi 22 juillet 2020


Exit

Exit (2019)

Oppressant, intelligent et surprenant. #Exit est un grand film danois en plus d’être un futur 8-clos de référence. Expérience cinématographique forte, on en ressort pas indemne et ceux grâce à cette réalisation immersive et réaliste. GROSSE claque ! A voir en salle, surtout.

mardi 21 juillet 2020


Blanche comme neige

Blanche comme neige (2019)

Ça me fascinera toujours les films avec un casting 4 étoiles qui n’arrive même pas à tirer le meilleur de ses acteurs.. En plus de ça c’est vulgaire dans son propos, absolument pas subtil dans son écriture et esthétiquement abjecte par moment. J’ai peur pour #Police, aïe.

mardi 21 juillet 2020


Trance

Trance (2013)

Danny Boyle s’est bien planté avec ce #Trance faussement intelligent, pompeux et (presque) sans âme. Quelques choix de cadres qui font sens dans ce ramassis de surexposition et de fausses pistes vulgaire qui rendrait fou un écureuil sourd et aveugle. Pas ça Zinedine, pas ça.

mardi 21 juillet 2020


Rencontre fatale

Rencontre fatale (2020)

Téléfilm M6 de très faible qualité, #RencontreFatale est le stéréotype même du film qui n’a rien à raconter de neuf hormis du déjà-vu (dans la forme comme le fond). C’est bien pour la sieste de mémé Simone, et encore..

mardi 21 juillet 2020


How to Sell Drugs Online (Fast)

How to Sell Drugs Online (Fast) (2019)

Toujours aussi rythmé, référencé et attachante la deuxième saison de #HowToSellDrugsOnlineFast rajoute du drama sans retirer tout le charme de la première saison, elle en est même meilleure. Quel plaisir de suivre ces personnages, leurs mésaventures. Je préconise assurément !

mardi 21 juillet 2020


Divorce Club

Divorce Club (2020)

Dans ses références, son expérience et sa folie, @MichaelYoun livre avec #DivorceClub une comédie française qui brise et critique les codes du genre tout en faisant énormément rire. Un grand n’importe quoi de fun intelligemment mis en scène. La comédie populaire de l’année.

vendredi 17 juillet 2020


Charlie Says

Charlie Says (2018)

Le sujet aide véritablement à être investi dès le départ, car #CharlieSays prend trop de temps à démarrer et galère à finir. Matt Smith en fait des caisses, ce qui appuie encore plus la folie de Manson. Très bon travail sur l’ambiance qui oscille entre le bizarre et le bonheur.

vendredi 17 juillet 2020


Lucky Strike

Lucky Strike (2020)

Thriller déganté qui explose dans son final, #LuckyStrike est un divertissement sud-coréen référencé et maîtrisé qui prend assurément trop de temps à se mettre en place mais qui rebondit parfaitement passé la première 1/2 h. Prévisible certes, foutrement efficace sûr.

vendredi 17 juillet 2020


Black

Black (2015)

Une écriture magnifiquement candide et une réalisation soignée, #Black des réalisateurs du survolté #BadBoys3 est une petite pépite belge qui malgré des acteurs novices arrive à transposer une ambiance romantico-dramatique unique et admirable. Beau et brutal, un mélange parfait.

vendredi 17 juillet 2020


Au-delà des apparences

Au-delà des apparences (2020)

Sur le papier une intrigue de fond captivante, à l’écran une écriture bâclée et incohérente. #LastMomentOfClarity a la gueule d’un téléfilm qui voulait être déviant dans son fond mais qui se casse la gueule dès qu’il commence à creuser ses personnages. Un gros gâchis.

lundi 13 juillet 2020


Becky

Becky (2020)

Aux enjeux trop faciles, #Becky embarque seulement dans son 3ème acte plus rythmé et fun (quoi que..). Une rivalité qui fonctionne de par le charisme des deux acteurs, un travail des plans tape-à-l’oeil mais agréables. De bonnes choses, cependant l’écriture est à chier, oula.

lundi 13 juillet 2020


Anya

Anya (2020)

Comment mal diriger ses acteurs en moins de 2h ? #WaitingForAnya en est la parfaite leçon. C’est écrit sans aucune volonté, les acteurs sont en roue libre. J’en ressors avec une fatigue telle que me recoucher après m’être réveillé me semble logique. Quel calvaire.

lundi 13 juillet 2020


USS Greyhound : La Bataille de l'Atlantique

USS Greyhound : La Bataille de l'Atlantique (2020)

Au rythme effréné, à la tension maîtrisée et à la musique parfaite pour le genre : #Greyhound est une petite bombe de SVOD que je voyais pas venir. Tom Hanks est (comme à son habitude) incroyable, 1h30 de 8-clos intense qui s’essouffle à aucun moment. Blockbuster puissant !

lundi 13 juillet 2020


Eurovision Song Contest: The Story of Fire Saga

Eurovision Song Contest: The Story of Fire Saga (2020)

Certaines musiques sont plus qu’agréables, #EurovisionSongContestTheStoryOfFireSaga oscille constamment entre une sensibilité/émotion qu’il maîtrise et un absurde écrit beaucoup trop facilement. Je suis définitivement pas un spectateur pour les films de Will Ferrell..

lundi 13 juillet 2020


La Voix du succès

La Voix du succès (2020)

La proposition est intéressante dans le domaine de la création musicale, cependant ce n’est qu’un infime sujet de ce #LaVoixDuSucces fade et inoffensif. Les deux actrices s’en sortent bien, le scénario (bien qu’artificiel) n’est pas dérangeant, c’est commun quoi.. Quelconque.

samedi 11 juillet 2020


The Old Guard

The Old Guard (2020)

Série B ambitieuse, #TheOldGuard n’arrive jamais à convaincre malgré son casting 3 étoiles et son postulat intrigant. Ceci est dû à une gestion aléatoire de l’éclairage, de la caméra et de la soundtrack commerciale. C’est laid, cependant ça peut animer une bonne soirée arrosé !

samedi 11 juillet 2020


Hanna

Hanna (2019)

Divertissant au possible, #HannaSeason2 est tout aussi juste que la précédente. Toujours les mêmes soucis d’écriture et de développement des personnages secondaires mais une Esme Creed-miles déterminée comme jamais. Ça passe comme une lettre à la poste, ça reste assez oubliable.

samedi 11 juillet 2020


Tout simplement noir

Tout simplement noir (2020)

Écrit avec beaucoup de talent et sans pincettes, #ToutSimplementNoir a tout d’un « C’est arrivé près de chez vous » moderne. Militant, subtile et surtout hilarant : c’est une petite bombe humaine qui fait du bien. Lucien Jean Baptiste et Fabrice Eboue, des génies. Gros plaisir.

samedi 11 juillet 2020


Survivre

Survivre (2020)

Home invasion des plus classiques, le scénario ne propose pas grand chose à se mettre sous la dent. C’est un DTV mineur, un film pauvre avec un Bruce Willis absent. Mais le plaisir d’entendre Patrick Poivey une dernière fois a pris le pas sur la qualité du film. Merci..

mercredi 8 juillet 2020


La région sauvage

La région sauvage (2016)

Dans son double sens presque dénaturé, #LaRegionSauvage respire la sueur et le malsain. Invisible, tel une possession tentaculaire : l’envie, l’attirance est développée pour devenir un besoin. C’est fort en symbolique, c’est dur dans son fond. Petite pépite mexicaine.

mercredi 8 juillet 2020


Benni

Benni (2019)

Avec beaucoup de sincérité, Nora Fingscheidt arrive à faire ressortir le bon comme le mauvais de l’humanité. #Benni est un petite perle allemande profondément émouvante qui capte toute l’essence de l’éducation sans tomber dans la morale poussive. Petit coup de cœur !

lundi 6 juillet 2020


Jumbo

Jumbo (2020)

Son fond est des plus douteux ou du moins très mal maîtrisé (c’était couru d’avance) mais ce qui est certain, c’est que @ZoeWittock sait maîtriser l’aspect fantastique de #Jumbo. Bancal dans son écriture, mais esthétiquement prometteur. Bizarre, c’est le mot.

lundi 6 juillet 2020


Brooklyn Secret

Brooklyn Secret (2019)

Récit sincère et intimiste d’une Isabel Sandoval militante, #BrooklynSecret est avant tout un jolie tour de force qui arrive à surprendre dans son esthétique recherchée et son propos sur cette société US qui malgré sa modernisation reste toujours aussi intolérante. Nécessaire.

lundi 6 juillet 2020


Freaks

Freaks (2018)

Petite pépite DTV à l’écriture inspiré et saisissante, #Freaks à de quoi remballer les grosses productions super-héroïques rien qu’avec son fond. Handicapé par un petit budget et des FX peu réussi, les acteurs brillent (Bruce Dern), des talents se dévoilent. Gros plaisir.

lundi 6 juillet 2020


The Dark Knight Rises

The Dark Knight Rises (2012)

C’est fou à quel point un film peut être sublimé par la salle de cinéma. #TheDarkKnightRises n’a rien à envier à son prédécesseur hormis le mythique méchant de ce dernier. Un blockbuster grandiose, puissant et exemplaire dans sa forme. J’en veux plus, ENCORE ! Mastodonte.

vendredi 3 juillet 2020


Les Parfums

Les Parfums (2019)

On était seul dans la salle comme Pierre Mènes et Hervé Mathoux a commenté ce qui était aussi intéressant qu’un téléfilm France Télévision du Jeudi soir. Ça bouche pas 3 trous à un nez, mais c’est quand même bien oubliable. Le jeu d’acteur est plus qu’inégal.. #LesParfums

vendredi 3 juillet 2020


Angel Heart

Angel Heart (1987)

Si on oublie son manque de subtilité (evident), #AngelHeart est un bijou de cinéma formidable sur la décadence. Impeccable travail sur l’ambiance : film noir se diluant peu à peu dans le morbide cauchemardesque, la saleté de New York. Crève cœur jouissif, épuisant.

vendredi 3 juillet 2020


Ju-On Origins

Ju-On Origins (2020)

Pas aussi honteux que le remake #TheGrudge (2020), #JuonOrigins reste tout de même bien en dessous de ce qui est devenu un classique du genre. Ça montre des choses sans rien raconter, du style (souvent kitch) pour du vide.. Ça se réveille vers la fin sans grand génie. Décevant.

vendredi 3 juillet 2020


Jusqu'au déclin

Jusqu'au déclin (2020)

Survival certes conforme mais grandement travaillé (mise en scène), #JusquauDeclin divertit. Dans ses références Patrice Laliberté s’affirme, c’est très prometteur. L’écriture des personnages reste tout de même assez stéréotypés par moment, ça empêche l’identification.

vendredi 3 juillet 2020


La Communion

La Communion (2019)

Vicieux et diabolique, #LaCommunion nous attrape si facilement qu’il est difficile de s’en détacher. Dans sa symbolique et sa subtilité, la croyance résonne autrement. La possession n’est pas forcément démoniaque, que ce soit dans la fiction ou le jeu, Bartosz Bielenia brille

lundi 29 juin 2020


La Femme au tableau

La Femme au tableau (2015)

C’est intéressant dans son histoire (car syndrome des faits réels) mais #LaFemmeAuTableau n’est qu’un téléfilm au casting 4 étoiles qui prend malheureusement trop de facilités ds son écriture. Entre gros manichéisme, flashback inutile et archétypes de personnages. C’est mou.

lundi 29 juin 2020


The Boy : La malédiction de Brahms

The Boy : La malédiction de Brahms (2020)

J’ai tenu 30 minutes devant #TheBoy2, j’ai quitté la salle à partir du moment où j’ai terminé mon paquet d’M&M car le manger était plus intéressant que ce que je regardais. C’est vide, rempli de clichés et complètement con. La salle était calme en plus, aucun divertissement.

dimanche 28 juin 2020


L'Échine du diable

L'Échine du diable (2001)

D’un côté ça utilise tous les clichés d’un mauvais film d’horreur, d’un autre les visuels sont si crades et beaux qu’on relativise. Personnage trop manichéen, scénario trop bref sur ses résolutions et mise en scène inégale, le temps semble long, mais l’intérêt reste éveillé.

dimanche 28 juin 2020


La Bonne Épouse

La Bonne Épouse (2020)

Sous ses airs de Moonrise Kingdom franchouillard, #LaBonneEpouse est un film tendre et efficace qui brille grâce à sa photographie soignée et ses act(eurs)rices. Des petits problèmes de rythme et d’écriture qui gêne quand même. La scène de comédie musicale, vous abusez..

samedi 27 juin 2020


Mes jours de gloire

Mes jours de gloire (2019)

Tantôt lourd, tantôt touchant. #MesJoursDeGloire est un film simple (parfois trop) qui sais où aller mais pas comment finir. C’est le « Vincent Lacoste Routine Show », c’est pas déplaisant mais ça casse pas 3 nez à De Gaulle. Christophe Lambert est un zombie..

samedi 27 juin 2020


The Grand Budapest Hotel

The Grand Budapest Hotel (2014)

Grâce à son aspect descriptif du style de Wes Anderson, #TheGrandBudapestHotel en est également son meilleur film. Rythmé, intergenre et passionnant. Le voyage est des plus appréciable, les personnages des plus attachant. Gros feel good madeleine de Proust qui émerveille.

samedi 27 juin 2020


Elephant Man

Elephant Man (1980)

Tel le Frankenstein de Mary Shelley, #ElephentMan est une œuvre de tolérance, humaniste. Véritable transmission, David Lynch livre avec poésie un film bouleversant, nécessaire. Jamais je n’ai autant tremblé et pleuré au cinéma, devant un film en général. Bordel..

vendredi 26 juin 2020


The Dark Knight : Le Chevalier noir

The Dark Knight : Le Chevalier noir (2008)

Les sièges qui tremble, le grand écran, l’ambiance du cinéma et les yeux d’enfant. Cette séance fut unique tant la redécouverte fut incroyable. Les larmes sont tombées, l’admiration est encore plus appuyée. Quel grand film, quel chef d’œuvre.

vendredi 26 juin 2020


Baccalauréat

Baccalauréat (2016)

Balance tendue entre le consentement et le mensonge, #Baccalaureat joue avec la morale de son spectateur pour questionner son personnage principal profondément ambiguë. Récit d’un moment qui frôle le malaise, psychologiquement dur, la société est habillement déchiré. Déchirant.

mercredi 24 juin 2020


The Last Days of American Crime

The Last Days of American Crime (2020)

Maladroit, vulgos et beaucoup trop long. #TheLastDaysOfAmericanCrime essaye de se créer une identité en copiant, sans gêne, les plus grands. Une esthétique sale (bien que 2/3 fois soignée), des personnages lisse et une cohérence inexistante : ce fût drôle et ennuyant.

mercredi 24 juin 2020


Qu'un sang impur…

Qu'un sang impur… (2019)

Avec une gueule « téléfilm du Samedi » sur France 2, Qu’#UnSangImpur ne peut séduire tant la mise en scène est plate, le scénario problématique (trop manichéen) et les acteurs en roue libre. Un film oubliable, long et surtout très maladroit dans son fond.. FUYEZ, MÉCRÉANTS !

mercredi 24 juin 2020


La Cité de la peur

La Cité de la peur (1994)

Récit fabuleusement absurde, #LaCiteDeLaPeur dans sa remasterisation la plus parfaite fascine toujours autant. Les rires s’enchaînent, les scènes cultes également, le revisionnage nous permet de jouer à un cache cache pour trouver le plus de détails possibles. Quel grand film !

mercredi 24 juin 2020


1BR : The Apartment

1BR : The Apartment (2019)

Au message douteux, #1BR n’a pas grand chose pour lui si ce n’est Nicole Brydon Bloom véritable petite révélation et ses 20 premières minutes qui réussissent à intéresser. Le reste n’est qu’amateurisme, violence gratuite et vulgarité adolescente le tout dans une horrible photo.

dimanche 21 juin 2020


Code 7500 : Un avion en détresse

Code 7500 : Un avion en détresse (2019)

Long et franchement pas intéressant sur la durée, #7500 est un huit-clos intriguant dans sa première demi-heure mais qui s’essouffle lourdement dans ses 2 derniers actes. Joseph Gordon-Levitt y est convainquant, cela ne remonte malheureusement pas le film du plantage..

dimanche 21 juin 2020


Balle perdue

Balle perdue (2020)

WOUHOU ! OUI ! ENFIN ! Ambitieux, intense et surprenant. #BallePerdue est un moment de cinéma rare en France tout en étant un divertissement efficace à souhait. De la grosse cascade, des performances marquantes et un scénario au cordeau. Putain que c’est bien !

dimanche 21 juin 2020


Kickboxer : Vengeance

Kickboxer : Vengeance (2016)

Batista plus badass que jamais, Van Damme est encore inexistant (comme depuis un moment, déjà) et les autres sont tout simplement effacés. Mal filmé, mal monté : on comprend pas trop ce qui se passe, je vous apprends rien.

vendredi 19 juin 2020


L'Amour extra-large

L'Amour extra-large (2001)

C’est maladroit par moment, mais on oublie rapidement tant l’humour est parfaitement dosé. #LamourExtraLarge c’est une comédie drôle, sincère et par moment touchante (scène avec la fille) qui dure légèrement trop longtemps malgré le « bon moment » évident.

dimanche 14 juin 2020


Da 5 Bloods : Frères de Sang

Da 5 Bloods : Frères de Sang (2020)

En roue libre totale, Spike Lee livre avec #Da5Bloods  un film décousu bourré d’idées qui s’avère être peu utiles au récit. Des facilités de scénario, une mise en scène (souvent) incompréhensible et trop de sujets. C’est lourd.. A vouloir être trop politique, ça ne l’est plus.

vendredi 12 juin 2020


Artemis Fowl

Artemis Fowl (2020)

Avec un goût d’inachevé et un scénario beaucoup trop impatient, #ArtemisFowl  est un divertissement simplet gentiment mis en scène par un Branagh enchaîné. Ça ravira des enfants dopés à l’héroïne et aliéné à l’esthétique « Disney Channel ». Un gâchis d’argent..

vendredi 12 juin 2020


Filles de joie

Filles de joie (2020)

Passé le premier acte lourd de quiproquo/réaction absurde et un jeu global trop inégal, #FillesDeJoie est un film pertinent sur les conditions de la femme qui par son aspect presque documentaire résonne comme faussement réaliste. Des problèmes certes, mais un film important.

jeudi 11 juin 2020


My Dad is Heel Wrestler

My Dad is Heel Wrestler (2018)

Dans sa sincérité, #MyDadIsAHeelWrestler est un pur film relationnel fort en émotion tant les images et l’écriture (respectueuse du catch) nous fascine. Meilleur film sur « l’importance du catch pour rêver et croire en quelque chose, quelqu’un » ? Oh que oui. Magnifique film.

jeudi 11 juin 2020


Thelma

Thelma (2017)

Irrésistible, #Thelma est (dans son genre) un travail exemplaire d’écriture de personnages. Complexe, ils paraissent si réaliste (surtout dans leurs sentiments) que l’identification est totale. Film fantastique minutieux, inspiré : néanmoins trop peu ambitieux..

jeudi 11 juin 2020


À l'abordage !

À l'abordage ! (2020)

Ça respire l’été, les vacances et la vérité. #AlAbordage est un jolie moment de cinéma subtilement drôle et magnifiquement mis en scène malgré un léger problème de rythme dans le 2ème acte. Un jolie coup et une belle recommandation pour le #CEFF2020 !

jeudi 11 juin 2020


Overlord

Overlord (2018)

Toujours un de mes plus gros plaisir cinéma de ces dernières années. Cette tension, ce premier degré et son grandiose me happe à chaque fois.. Une modernisation des films « Trash » de l’époque, et ce, pour mon plus grand plaisir. #Overlord

jeudi 11 juin 2020


Your Name.

Your Name. (2016)

La puissance émotionnelle est quand même bien forte. #YourName malgré ses nombreux problèmes de cohérence est une quête de l’inconnu passionnante à suivre. J’ai pas trop de mots pour décrire post-visionnage mes émotions, mais c’est très fort. Je ne m’y attendais pas !

samedi 6 juin 2020


Vetâla

Vetâla (2020)

Une série indienne de zombie ? Je pense directement à du grandiose, à des plans de dingues et un mélange de genre surprenant. QUE NENNI ! #Betaal n’est qu’americanisation pure et dure que ce soit dans les visuels ou le scénario. Lent et très peu inspiré, bref un Blumhouse..

samedi 6 juin 2020


Claques sanglantes

Claques sanglantes (2006)

100% amateur, #FiveAcrossTheEyes n’est pas un bon film. Cependant, la crasse et l’ambition visuelle (bien que difficilement compréhensible au début) rajoute un charme particulier qui permettent d’oublier (légèrement) les affreux cries des 5 pleurnicheuses. Je suis sourd..

samedi 6 juin 2020


Scooby-Doo 2 - Les Monstres se déchaînent

Scooby-Doo 2 - Les Monstres se déchaînent (2004)

Terriblement plus ludique que son prédécesseur, #ScoobyDoo2 est un véritable cartoon live comme on en fait plus. L’écriture de James Gunn est beaucoup plus travaillée, tout comme les FX (bien que..). Et cette action constante évite les scènes balourdes. C’est très fun !

vendredi 5 juin 2020


Scooby-Doo

Scooby-Doo (2002)

Jamais vraiment étais convaincu par cette première adaptation au cinéma de #ScoobyDoo, je comprends maintenant. L’écriture bien trop fine et immature gâche cette aventure qui est digne d’un très bon épisode sur ‘Bunny Tonic’. Les FX sont vraiment horrible, ça pique..

vendredi 5 juin 2020


Au poste !

Au poste ! (2018)

Bah ouais, c'est pour ça.

vendredi 5 juin 2020


In Fabric

In Fabric (2018)

Morceau de cinéma incroyable, #InFabric est un moment rare qui hypnotise son spectateur grâce à son ambiance unique (inspirée par les plus grands). Tout est fabuleux que ce soit la photographie, le jeu ou alors la musique (splendide), on est happé. Dur d’en ressortir.

mercredi 27 mai 2020


The Perfect Score

The Perfect Score (2004)

C’est drôle de voir Captain America et Black Widow avant leurs rencontres avec Marvel, à part ça, le film est un ado movie des plus classiques. En plus il y a Sammy de Scooby-Doo avec la voix de Cartman. Un plaisir grâce à la VF, tout de même ! #ThePerfectScore

mercredi 27 mai 2020


Thalasso

Thalasso (2019)

Foire la règle des 180d au bout de 2 minutes, exploit.

lundi 25 mai 2020


90's

90's (2018)

Les 2 premiers actes sont stimulants, son quart d’heure final choisit les solutions de facilités.. Gros coup pour un premier film et grosse maîtrise du cadre pour un Jonas Hill qui sort des sentiers battus ! C’était plutôt pas mal.

lundi 25 mai 2020


Fiston

Fiston (2014)

Humour bien trop souvent maladroit, un Kev Adams irrégulier dans son jeu et un scénario trop candide : #Fiston aurait pu être complètement foiré pourtant une certaine tendresse ressort, le visionnage m’est paru assez sympathique !

dimanche 24 mai 2020


Mon bébé

Mon bébé (2019)

Touchant malgré des acteurs à côté de la plaque et d’abominables facilités de scénario puis arrive une scène où la réalisatrice se mets à sucer Godard : soudain, j’ai compris.. #MonBebe n’est qu’hommage à ce réalisateur morose au-delà même de cette fameuse scène. C’est con

dimanche 24 mai 2020


Batman v Superman : L'Aube de la Justice

Batman v Superman : L'Aube de la Justice (2016)

En temps que fumeur, pour qu’un film de 3h ne me fasse pas descendre à la moitié pour m’en griller une, c’est rare. #BatmanVSupermanUltimateEdition réitère encore cet exploit après moulte visionnage ! Tant de moments stimulants, quelle écriture et cette scène du capitole.

mercredi 20 mai 2020


Rosalie Blum

Rosalie Blum (2015)

Réconfortant et ludique, #RosalieBlum est un plaisir de vie qui sous sa couette accompagné d’un café se savoure gentiment. Des personnages attachants, des acteurs convaincants et une réalisation efficace et colorée : on en ressort avec un grand sourire. Très tendre.

mardi 19 mai 2020


February

February (2015)

Dans son envie de travailler le cadrage et l’ambiance, avec #February, Oz Perkins en oublie totalement son montage.. En résulte des fondues au noir beaucoup trop récurrentes et un fil rouge compréhensible au bout du 2ème acte. Kiernan Shipka y est effrayante.

mardi 19 mai 2020


L'État sauvage

L'État sauvage (2019)

Audacieux mais vide de tout intérêt, #LEtatSauvage n’est que douche froide au cœur d’un désert aride. On s’identifie dans ce long voyage qui ne semble jamais s’arrêter, une souffrance, au delà du propos forcé. Alice Isaaz fait de son mieux bien qu’invisible dans ce trou noir.

mardi 19 mai 2020


Mon nom est clitoris

Mon nom est clitoris (2019)

Intéressant dans son fond, #MonNomEstClitoris n’a que pour travail cinématographique pur ses mini et rares détournements présent pour rajouter du dynamisme. Le reste n’est qu’interview classique sous ton de féminisme à quelques moments ‘lourdingue’. Feignant, malheureusement.

lundi 18 mai 2020


Persécution

Persécution (2009)

D’une lenteur absolue, #Persécution n’est qu’enchaînement de situations inintéressantes portées par 2 acteurs qui ne cesse de marmonner.. Quand t’as Duris et Gainsbourg en tête, c’est quand même con de foirer ta direction et de nous désintéresser si rapidement.. Coup dur.

lundi 18 mai 2020


L'Angle mort

L'Angle mort (2019)

Malgré ses longueurs certaines, #LAngleMort reste une proposition fantastique originale et convaincante dans le cinéma français. Dommage que ce soit passé inaperçu l’année dernière. Réalisation moderne et simple pour une narration qui revient aux sources des films "HAMMER" !

dimanche 17 mai 2020


Lucky Luke

Lucky Luke (2009)

Déconstruit dans son scénario favorisant plus les sketchs que le récit comique pur, #LuckyLuke c’est ce genre de film « nul » que je ne peux détester tant la mise en scène de James Huth respire l’envie de bien faire. Des idées visuelles au service du vide, mais quand même..

jeudi 14 mai 2020


Persona

Persona (2019)

Les 4 courts-métrages terminés, #Persona c’est LA pensée coréenne exprimée avec divers codes du cinéma et en jouant avec les genres. IU dans son jeu est surprenante, elle transpire d’envie et d’émotions. Ça prends très peu de temps à regarder, c’est très puissant ! A voir.

mercredi 13 mai 2020


0.0MHz

0.0MHz (2019)

Même si la maîtrise du cadre sud-coréenne rajoute un charme à certaines scènes vraiment marquantes, #00Mhz avec son scénario fil rouge bien stéréotypé ‘Hollywood’ et son rythme trop inégal vous tiendra en haleine dans son 1er acte pour ensuite vous perdre totalement.. Coup dur.

mercredi 13 mai 2020


Peter Pan

Peter Pan (1953)

On peut lui reprocher sa courte durée et son manque d’exposition d’univers mais #PeterPan avec son rythme inarrêtable reste un superbe film pour enfant (ou adulte) qui souhaite rêver, s’évader. Le comique est toujours actuel, la gestion des ombres est exemplaire.

dimanche 10 mai 2020


Chappie

Chappie (2015)

Aux propos intéressants et personnages attachants, #Chappie est un blockbuster qui ds ses thèmes change et innove. Blomkamp détourne les principes de l’éducation en incluant cela chez des criminels créant ainsi une ambiance mêlant absurdité et brutalité. De la (très ?) bonne SF !

samedi 9 mai 2020


Les Nouveaux Héros

Les Nouveaux Héros (2014)

Entraînant, #LesNouveauxHeros reste pour moi le meilleur classique d’animation disney (avec Kuzco) post-2000. En piochant dans les références du genre, on ne peut qu’être happé par cette aventure parsemée d’inventivité. B-Max est touchant, l’émotion est présente, c’est be

jeudi 7 mai 2020


Zootopie

Zootopie (2016)

Ce qui me gêne dans ce film c’est les 20/30 premières minutes d’exposition (inintéressante de mon côté) et les (trop ?) nombreuses références qui dans certaines situations gâchent l’émotion. Outre ça, il est vrai que cette enquête tient ses promesses et se suit plutôt bien.

jeudi 7 mai 2020


Monos

Monos (2019)

Face à cette bande lobotomisée par l’ordre militaire, il est dur de ressortir indemne de l’expérience qu’est #Monos. Une sorte de Cannibal Holocaust psychologique, moderne et social magnifié par les plans de Landes. La mixture est choquante mais qu’est ce qu’elle claque !

mercredi 6 mai 2020


Pinocchio

Pinocchio (2019)

Visuellement abjecte, #Pinocchio c’est la conséquence de ta fabuleuse soirée alcoolisée le lendemain au réveil : avoir rêvé endormi dans une flaque de vomi. Les facilités et les incohérences se succèdent entre tout ces personnages anecdotiques, mais surtout cons. Bad trip

mercredi 6 mai 2020


E.T. l'extra-terrestre

E.T. l'extra-terrestre (1982)

« Les graines semées dans l’enfance développent de profondes racines » - Stephen King. Un bonheur, une madeleine de Proust. #ETLextraterrestre

mardi 5 mai 2020


Into the Night

Into the Night (2020)

Le huit-clos n’aide pas à développer les personnages plus qu’à leurs stéréotypes mais l’ambition de #IntoTheNight m’a laissé accroché à cette série qui foncièrement est remplie de problème mais qui passe le temps comme un vieux nanar 80’s (on y retrouve les mêmes punchlines).

lundi 4 mai 2020


The Visit

The Visit (2015)

Malsain et imprévisible, #TheVisit est à l’image de ses deux personnages séniles. Avec beaucoup d’humour et d’inventivité, Shyamalan pose une ambiance d’incompréhension pour totalement la renverser dans son climax. Toujours aussi impressionné par son écriture !

lundi 4 mai 2020


Une Intime conviction

Une Intime conviction (2018)

Un duo de tête irréprochable, un travail sur le cadre minutieux, une écriture efficace : la tarte est parfaite mais ça manque de pommes.. #UneIntimeConviction est un excellent film qui j’en suis sûr saura vous plaire, pour moi, malheureusement non. Rien a ajouter.

dimanche 3 mai 2020


Shame

Shame (2011)

Ce film ne m’avait jamais attiré et je ne peux vous dire pourquoi.. Quelle connerie, bordel. Œuvre délicatement vraie et inspirante, #Shame c’est du cinéma pur, un ‘show don’t tell’ exemplaire. Fassbender y est absolument parfait. Bouleversant, passionnant, brillant.

dimanche 3 mai 2020


Chien

Chien (2017)

Toujours un profond respect pour les réalisateurs qui arrivent à passer de l’humour absurde au pur film psychologique, #Chien dans son ambiance est au-delà des espérances réussissant à atteindre une horreur humaine que l’on avait pas prévu. Grosse prestation de V. Macaigne !

samedi 2 mai 2020


Stalk

Stalk (2020)

Sans être exemptée d’amateurisme, #Stalk est une mini-série rythmée et passionnante portée par une intrigue réfléchie qui vous fera oublier ses nombreux défauts techniques. Ça se bouffe rapidement, c’est efficace et c’est gratuit sur @francetvslash ! Tentez, vous me direz

samedi 2 mai 2020


The Mandalorian

The Mandalorian (2019)

Extension de l’univers cousu de fil blanc, #TheMandalorian  c’est quand même une sacrée dose de divertissement à la Star Wars comme on l’aime. Visuellement beau, des personnages charismatiques et une révolution technique : on a hâte d’en voir plus cette année, j’espère !

vendredi 1 mai 2020


Jessica Forever

Jessica Forever (2018)

OVNI fantastique français, #JessicaForever est un mélange de style et d’univers beaucoup trop ambitieux qu’on y croit trop peu. Une photographie travaillée, une mise en scène amateur et des acteurs en sous-jeu : entre le nanar et le film expérimental, c’est TRÈS particulier.

vendredi 1 mai 2020


Utøya, 22 juillet

Utøya, 22 juillet (2018)

Brut, #Utøya22 est une pépite à tout les niveaux. L’utilisation du plan séquence est immersive à tout les niveaux (surtout dans ses airs de found-footage), Andrea Berntzen y est fabuleuse et certains choix de cadrage/narration t’éclate a la gueule tant c’est sincère.

jeudi 30 avril 2020


Continuer

Continuer (2018)

Outre le mépris qu’a Joachim Lafosse pour les jeunes d’aujourd’hui, on peut aussi remarquer que son travail sur #Continuer est proche du néant. Virginie Efira fait de son mieux pour répondre à un Mottet-Klein perdu dans la débilité de son personnage. Un échec.

jeudi 30 avril 2020


L'Effondrement

L'Effondrement (2019)

Dystopique (ou pas), #Leffondrement dans son parti pris et sa narration pousse à la réflexion. Tantôt écoeurante, tantôt touchante, en ces temps son impact est importante. Une série coup de poing, juste et censée : à voir absolument.

jeudi 30 avril 2020


Les Confins du monde

Les Confins du monde (2018)

Ce n’est pas avec un Gaspard Ulliel mono-expressif, une image crasseuse et une réalisation plan/plan que #LesConfinsDuMonde a réussi à me séduire. Dans un rythme similaire à #Silence de Scorcese, lent, on a peine à s’investir à l’intrigue et aux personnages. Osé mais vain..

mercredi 29 avril 2020


10 Cloverfield Lane

10 Cloverfield Lane (2016)

10CloverfieldLane fait toujours autant réfléchir et peur, portée magnifiquement par MEW/Goodman, cette chasse de la vérité rend fou. L’identification, l’enfermement et la question fascine. Je ne passe pas mon confinement avec John, c’est déjà pas mal.

mercredi 29 avril 2020


Vernon Subutex

Vernon Subutex (2019)

C’est dans son envie de montrer la décadence que #VernonSubutex brille dans ses imperfections. Avec un Romain Duris investit dans son personnage méchamment attachant, on est plongé dans ce retour à la réalité, jusqu’à la fin. Beaucoup de faiblesses mais c’est merveilleux.

mardi 28 avril 2020


Tirez sur le pianiste

Tirez sur le pianiste (1960)

Comme vous devez le savoir, je déteste la nouvelle vague, mais celui-là ça va ! Car c’est Truffaut. J’aime bien l’idée de la voix intérieur qui permet au spectateur de s’investir dans le personnage d’Aznavour dont le jeu m’a laissé perplexe. #TirezSurLePianiste

lundi 27 avril 2020


La famille Willoughby

La famille Willoughby (2020)

Ça part tellement dans tous les sens qu’on finit par oublier que c’est un film. Une impression de série animée France Télévisions un poil travaillé esthétiquement. #LaFamilleWilloughby c’est au mieux à voir au petit déjeuner, sinon, j’en vois pas l’utilité.

lundi 27 avril 2020


Pan

Pan (2015)

Imparfait, #Pan de Joe Wright ne cessera jamais de me faire voyager à travers mes rêves d’enfants. Titillant magistralement ma nostalgie, l’aventure est sublimée par une B.O audacieuse et un Hugh Jackman qui s’éclate. Qu’est ce que j’aime ce film, un must see pour vos gos

lundi 27 avril 2020


La Traque

La Traque (2020)

C’est avec 2 parties, 2 ambiances que #TimeToHunt se renouvelle à chaque instant. La misère est un vrai problème, Yoon Sung-Hyun le montre clairement, et ce, avec beaucoup de talent. Aussi minutieux qu’un Michael Mann et visuellement beau tel Deakins. Du grand cinéma.

dimanche 26 avril 2020


Damien veut changer le monde

Damien veut changer le monde (2019)

M’ouais.. Et du coup, elle est où la résolution de l’intrigue principale ? Parce mettre une romance pour que ça prenne le pas sur le fil rouge, car on ne sait pas comment conclure, c’est feignant. Gastambide est mauvais.

dimanche 26 avril 2020


Tyler Rake

Tyler Rake (2020)

Sous ses airs de John Wick et une ambiance à la Rambo, #TylerRake est une jolie petite découverte ‘made in Netflix’ qui tabasse vénère et qui n’oublie pas l’émotion qui ressors d’un Chris Hemsworth investit. Un film qui avait la gueule pour sortir en salle, ça fait du bien !

vendredi 24 avril 2020


Gentlemen Cambrioleurs

Gentlemen Cambrioleurs (2018)

Malgré son casting on ne peut plus attrayant, #GentlemenCambrioleurs et d’un ennui incommensurable. Entre les péripéties qui n’en finissent plus, les gags répétitifs sur la vieillesse et la réalisation plan/plan. L’envie d’être sénile le temps d’une sieste est présent.

vendredi 24 avril 2020


X-Men : Dark Phoenix

X-Men : Dark Phoenix (2019)

Problématique sur une 100aine de point, #XMenDarkPhoenix reste un divertissement louable, moins profond dans ses thématiques que les piliers de la saga mais terriblement efficace dans sa dernière demi-heure (dans le train c’est un réel plaisir). Mieux que X-Men 3, quand même.

vendredi 24 avril 2020


Play or Die

Play or Die (2019)

Vous vous rappelez du film #EscapeGame (2019) ? Sachez que les belges on fait un film similaire, et c’est encore moins bon ! #PlayOrDie Éclairage de merde, acteur complètement mort à l’intérieur et scénario beaucoup trop simpliste pour s’investir. Décidément..

jeudi 23 avril 2020


L'Heure de la sortie

L'Heure de la sortie (2018)

Thriller psychologique surprenant, #LHeureDeLaSortie m’a séduit de bout en bout. Certaines scènes m’ont fait froid dans le dos tant ce qu’elle montre ou ce qu’elle suppose est dur voire choquant. Pépite française sublimée par l’incroyable talent de Laurent Lafitte.

jeudi 23 avril 2020


La Belle et le Clochard

La Belle et le Clochard (2019)

Je me suis fais légèrement surprendre quand au remake live de #LaBelleEtLeClochard. Outre l'aspect complétement inutile du film, je dois admettre que l'aspect nostalgique a beaucoup joué que que visuellement le film n'est pas dégueulasse (or les effets de bouche). Agréab

jeudi 23 avril 2020


Les Goonies

Les Goonies (1985)

Film d’aventure ultime, #LesGoonies à quand même bien vieillit dans ses visuels ce qui, dans la nostalgie, rajoutera un charme supplémentaire. Toujours autant d’amour pour Choco/Sinok. J’en ressors des années après mes premières aventures, toujours submergé de rêves..

jeudi 23 avril 2020


La Folie des hauteurs

La Folie des hauteurs (2020)

Inspiré (peut-être trop), #LaFolieDesHauteurs reste un divertissement handicapé par son manque d’originalité mais qui dans sa globalité arrive à avoir un certain charme (sûrement la soundtrack). Pas forcément à voir, mais c’est pas complètement naze !

jeudi 23 avril 2020


The Big Show Show

The Big Show Show (2020)

Inoffensif, #LeShowDuBigShow c’est tout ce qui a de plus classique. Dénouée souvent de sens, on a du mal à accrocher au début mais dès que ça parle de catch, on s’amuse et on rit des références. C’est court, ça passe bien, du bon fast-food avec quand même pas mal de merde.

mercredi 22 avril 2020


Don't Breathe : La Maison des ténèbres

Don't Breathe : La Maison des ténèbres (2016)

Revu #DontBreathe, c’est dingue comment ce film est cohérent de bout en bout. Premier visionnage sympa, redécouverte absolument phénoménale ! Le plan séquence du début est splendide, la tension est maîtrisée, la scène infrarouge est ingénieuse.. Le concept aussi, fantastiq

mercredi 22 avril 2020


Hippocrate

Hippocrate (2018)

Quel plaisir, quelle claque. #Hippocrate (@canalplus ) est une série réaliste, prenante et surtout importante pour comprendre ce dur métier. En cette période où les Hôpitaux, il est bon de suivre la vie de ces médecins au travers de cette série plus qu’additive. WOW !

mercredi 22 avril 2020


Plaire, aimer et courir vite

Plaire, aimer et courir vite (2018)

Pas particulièrement fan du cinéma de Christophe Honoré mais ce #PlaireAimerEtCourirVite m’a plutôt bien plus. Beaucoup de charme dans les cadres, les mouvements, les acteurs, le visionnage est déjà plus agréable. Par contre le scénario, lui, c’est bien trop faible..

mercredi 22 avril 2020


Mine de rien

Mine de rien (2020)

C’est honnête, légèrement touchant mais tout de même assez classique dans ses différents arc narratif. #MineDeRien Arnaud Ducret livre quand même des performances plutôt agréable quand il joue dans des films à tendance dramatique, ça c’est cool.

mercredi 22 avril 2020


Course à la mort

Course à la mort (2008)

Il y a des soirs où t’as envie de te poser à regarder un gros film de merde mais qui tu sais au fond de toi que tu l’aimes. Le #CourseALaMort de Paul W.S Anderson n’est pas bon mais qu’est ce que c’est kiffant. Son film le plus fun, divertissant, c’est dire.

mercredi 22 avril 2020


Wendy

Wendy (2020)

Réécriture moderne de Peter Pan, #Wendy est un voyage à travers le temps merveilleux. La peur de grandir ne m’a jamais autant fait rêver qu’avec cette interprétation du mythe, une claque au delà de mes espérances. Quelle aventure.. Musicalement c’est galvanisant !

mardi 21 avril 2020


La Terre et le Sang

La Terre et le Sang (2020)

Recette pour obtenir #LaTerreEtLeSang : Prenez Die Hard, rajoutez toute la fadeur de Julien Leclerq, retirez une pincée du fun, emballez le tout dans une menuiserie et foutez quelques cerises pour que le résultat final ai un minimum de saveur. Votre film est prêt en 10 minu

lundi 20 avril 2020


Burn Out

Burn Out (2017)

C’est lent, c’est classique, c’est peu intéressant : #BurnOut est un projet personnel qui n’arrive à aucun moment à devenir commun. François Civil y est invisible tout comme l’originalité. Belle moto quand même !

mercredi 8 avril 2020


Les Chatouilles

Les Chatouilles (2018)

Qu’est ce que c’est frappant, choquant et fort. #LesChatouilles est un moment de cinéma difficile à regarder à certain moment, rempli de créativité et de savoir, Éric Métayer cogne fort, sans retenue. Andrea Bescond & Karin Viard y sont remarquables ! Grosse recommandatio

mardi 7 avril 2020


Tu ne tueras point

Tu ne tueras point (2016)

Les 3/4 de ce films sont toujours aussi hallucinante, Mel Gibson a pondu le meilleur film de guerre après Ryan. Aussi vrai qu’onirique, la guerre révèle des personnes qui dans leur humanité arrive à la sauver. Techniquement irréprochable, #TuNeTuerasPoint est un monument.

mardi 7 avril 2020


Dernier train pour Busan

Dernier train pour Busan (2016)

Le trailer de #Peninsula m’a redonné envie de voir pour la Xeme fois #DernierTrainPourBusan et mon dieu, que ce film est incroyable. Ce qui me fascine le plus c’est le travail sur le regard et la profondeur de ses personnages, l’art de raconter sans parler..

mardi 7 avril 2020


La Planète des singes : L'Affrontement

La Planète des singes : L'Affrontement (2014)

Le revisionnage m’a était fatale, les larmes coulent.. Le « Suprématie » dans quelques jours va m’achever et j’en serais ravi. Ma saga préféré, ma trilogie préféré, quel pied, quelle intelligence. #DawnOfThePlanetOfTheApes

samedi 4 avril 2020


[REC]

[REC] (2007)

Ces 20/30 dernières minutes me feront à jamais frissonner et me cacher sous la couette. Malgré l’aspect peut-être trop bruyant (mais réaliste) de son 2ème acte, #REC reste malgré tout un monument du cinéma d’horreur dont sa réalité relève du génie.

samedi 4 avril 2020


La Cellule Numéro 7

La Cellule Numéro 7 (2019)

Avec tout l’harcèlement, je ne me suis pas pressé de voir #KoğustakiMucize. En résulte un film sans saveur, rempli de mauvais goûts musicaux et d’acteur insupportable. Tire larme abrupte au montage indigeste : dieu que ce film est mauvais..

jeudi 2 avril 2020


Alien Crystal Palace

Alien Crystal Palace (2018)

QUEL PLAISIR ! Le film est si nul et perché qui a réussi à me faire mourir de rire une bonne centaine de fois.. J’ai tellement envie de le revoir, dans un état second en compagnie de mes potes. La connerie, la nullité peut-elle toucher l’excellence ?

mardi 31 mars 2020


Guns Akimbo

Guns Akimbo (2019)

Comment de ne pas voir #GunsAkimbo : • Sous alcool (avec ce montage de merde, tu vomis) • Sous drogues (le film te fera faire des crises d’épilepsie visuelles) • Au couché (si t’as un mal de crâne : c’est pas le Covid tqt) • Dans ton état normal (CAR C’EST DE LA MERDE)

samedi 28 mars 2020


Bloodshot

Bloodshot (2020)

C’est avec beaucoup de facilités et peu d’audace que #Bloodshot tient son récit. Des actions et des visuels brouillons plus tard, le film s’avère être une série B DTV tout à fait divertissante et abrutissante qui accompagné d’ami en sirotant une citronnade passe sans problème.

samedi 28 mars 2020


The Demon Inside

The Demon Inside (2019)

Vous prenez tout ce qui fait un mauvais film d’horreur et vous rajoutez : • Des effets anaglyphe incompréhensible. • Un DA tellement dark que même pas peur. • De la roue libre. • Un scénario si plat que l’ennui est déjà au max des 10min Et vous avez #TheDemonInside.

samedi 28 mars 2020


Emmanuelle: L'antivierge

Emmanuelle: L'antivierge (1975)

Aussi étonnant que ça puisse paraître, #EmmanuelleLantivierge est dans sa mise en scène une magnifique symbiose entre la folie sexuelle et la magie du cinéma. En revanche, le scénario reste dans les clichés du film érotique : facile, inexplicable voir inexistant.

samedi 28 mars 2020


La Mouche

La Mouche (1986)

Masterpiece.

mardi 24 mars 2020


Made in France

Made in France (2015)

Ce genre de film totalement passé inaperçu car sorti au mauvais moment mais qui dans son contexte et son 1er degré reste profondément important. Loin d’être un grand film, un film vrai et honnête. #MadeInFrance

lundi 23 mars 2020


La Plateforme

La Plateforme (2019)

Je ne comprends pas l’engouement général sur #ThePlatformNetflix, c’est vraiment naze. Vous prenez ‘High-Rise’ et le court-métrage ‘Next Floor’ de Villeneuve, vous aurez le même film en plus intelligent et moins vulgaire (tapé à l’œil). Irrévérencieux.

lundi 23 mars 2020


Vol au-dessus d'un nid de coucou

Vol au-dessus d'un nid de coucou (1975)

C’est avec des larmes comblées d’espoir que mon revisionnage de #VolAuDessusDunNidDeCoucou s’achève. Quelle perle, quelle pépite.

lundi 23 mars 2020


Vampires

Vampires (2020)

Très inégal, #Vampires reste une proposition osée et ambitieuse qui objectivement a beaucoup de difficultés à s’exprimer ce qui peut rendre le tout désagréable, mais le ton 1er degré arrive à séduire. A tenter, mais je vous promets rien..

samedi 21 mars 2020


Kingdom

Kingdom (2019)

Je ne pensais pas que ce serait possible mais #Kingdom2 surpasse la première saison qui était déjà majestueuse. De l’action jouissive au service d’un scénario politique fort, cette S2 est un ascenseur émotionnel si percutant que je suis lessivé. J’en ai les larmes aux yeux.

vendredi 13 mars 2020


Radioactive

Radioactive (2019)

Marjane Satrapi a fait #TheVoices il y a déjà quelques années et elle revient avec un film qui ne parvient à aucun moment à m’intéresser.. La comédie satirique et le malsain était son domaine, pas le biopic laid et lent. La photographie est absolument horrible.. #Radioactive

jeudi 12 mars 2020


Lou ! Journal infime

Lou ! Journal infime (2014)

C’est ambitieux, ça a de la gueule, ça te vomi un univers cohérent avec peu de grâce, ça reste tendre dans ses personnages et ça cherche à varier les techniques avec facilité mais ça n’arrive en aucun cas à m’emporter. #LouJournalInfime Révolutionnaire sur Youtube.

mercredi 11 mars 2020


Papi Sitter

Papi Sitter (2020)

#PapiSitter c’est un Lanvin en forme, un Marchal qui fait « euh euh » pendant tout le film et des autres acteurs qui savent pas jouer. En soi, le duo fonctionne bien et arrive à nous faire rire mais derrière rien ne suit que ce soit dans le scenar ou la réa. Un peu vieill

mercredi 11 mars 2020


Spenser Confidential

Spenser Confidential (2020)

Peter Berg laisse tomber son réalisme et sa tension habituelle pour un film d’action tout ce qui a de plus classique avec de l’humour bien classique comme il faut. Ça fait un film correct mais un mauvais Peter Berg. #SpenserConfidential

mardi 10 mars 2020


De Gaulle

De Gaulle (2020)

Lambert Wilson est correct et il y a 20 minutes au milieu où ça part en thriller politique psychologique qui propose des choses intéressantes, sinon après #DeGaulle c’est un bon gros nanar DTV qui a même pas le mérite d’exister.

jeudi 5 mars 2020


En avant

En avant (2020)

#EnAvant  c’est un message de mon grand-père pour l’adulte que je suis maintenant.. J’ai pleuré, beaucoup

mercredi 4 mars 2020


Light of My Life

Light of My Life (2019)

Il est plus intéressant de regarder un diaporama d’image Windows XP que ce « voyage initiatique dystopique » vide mais surtout ennuyeux à souhait. Bien évidemment, j’ai dormi, 3 fois pour être honnête et c’est beaucoup plus efficace que l’ASMR. Il y a rien, RIEN ! #LightOfMyLife

mercredi 4 mars 2020


À Coup Sûr

À Coup Sûr (2014)

Il y a des journées où je préfère me prendre un camion dans la gueule plutôt que de me faire chier a rester 1h30 devant ce passage à vide.

mardi 3 mars 2020


I Am Not Okay with This

I Am Not Okay with This (2020)

#ImNotOkWithThis ça passe le temps, c’est rapide à bouffer mais au final : c’est pas très intéressant.

lundi 2 mars 2020


Lucky

Lucky (2020)

Avec un très gros problème de rythme, #Lucky est une comédie faible en grosse barre mais clean dans sa structure. C’est en ayant recours au talent d’improvisation et au charisme de ses têtes d’affiche que le film arrive à être un minimum attachant et sympa.

dimanche 1 mars 2020


Invisible Man

Invisible Man (2020)

Sur un concept haletant, #InvisibleMan nous happe dans cette terrible vengeance mais surtout dans la folie partagée que partage le spectateur avec la parfaite Elizabeth Moss. Un thriller flippant qui sur la durée peut en traumatiser plus d’un.

mercredi 26 février 2020


Sa dernière volonté

Sa dernière volonté (2020)

Extrêmement mal rythmé, #SaDerniereVolonte est un film déjà-vu qui n’arrive jamais à devenir intéressant. Bien que le fil rouge reste assez intriguant : les dialogues, les personnages ou même la réalisation sont vides de sens ce qui rend l’histoire peut crédible.. Somnifère.

lundi 24 février 2020


Laissez bronzer les cadavres

Laissez bronzer les cadavres (2017)

Absolument fascinant visuellement, #LaissezBronzerLesCadavres est une proposition de cinéma sublimé par ses plans mais où cette fascination constante nous écarte, dès le départ, de la narration qui sonne comme brouillonne. La distance ne crée pas bon lien.. Un air de mitigé.

vendredi 21 février 2020


10 jours sans maman

10 jours sans maman (2020)

Pourquoi faire un film d’1h40 quand tu peux donner à chaque personnage (surtout les gosses) 2/3 claques pour qu’il paraissent un minimum plus humain et crédible. #10JoursSansMaman est bien pire que le calvaire annoncé. « MAIS C’EST DE LA MERDE ! »

jeudi 20 février 2020


L'appel de la forêt

L'appel de la forêt (2020)

Dans ce mois cinéma assez horrible je dois dire, peu de film on réussi à réveiller mon âme d’enfant, #LAppeldelaforet dans son feel-good et la nostalgie des classiques Disney est un film tendre qui transmet des émotions sincères. Quelques défauts de FX, tout de même.

mercredi 19 février 2020


Carnivores

Carnivores (2018)

C’est passionnant les films surfent sur une vague, ici #Carnivores reste sur la lignée de Grave (JD) ce qui ne joue malheureusement pas en sa faveur. Ça prend du temps à démarrer, le plaisir surgit au bout de l’éclipse. Une photographie travaillée, un duo au sommet. Ça vaaaa

mercredi 19 février 2020


Le Jaguar

Le Jaguar (1996)

Jean Reno et Bruel sont justes quand ils sont séparés, Francis Veber est inventif quand il ne sort pas ses personnages de le immeuble et DANNY TREJO ??! Sur le papier, le film a de la gueule et pouvais être bon. Mais je pense que le jetlag a tué tout le monde..

mardi 18 février 2020


Snatchers

Snatchers (2019)

Complètement vide, #Snatchers veut se la jouer « cool » mais que ce soit dans l’humour, la réalisation voir tout simplement le pitch de base : il se foire merveilleusement bien. Entre Kevin Smith, Edgar Wright et Scary Movie : c’est cliché, ennuyeux. Pipi, Caca, Prout, lol.

mardi 18 février 2020


Nightmare Island

Nightmare Island (2020)

Plutôt classique visuellement, pas grandiloquent dans son jeu, #NightmareIsland reste quand même très intéressant pour son scénario qui arrive à nous tenir en haleine jusqu’à son Climax qui résonne comme un morceau incohérent. Surprenant sr certains points, sympathique au final.

jeudi 13 février 2020


Sonic, le film

Sonic, le film (2020)

Brouillon et absolument indigeste, #SonicLeFilm est une adaptation scandaleuse regroupant tout ce que le cinéma sait faire de pire. Référence meta, incohérence, visuellement vide : on dirait le film Woody Woodpecker sorti en 2016. Horrible..

jeudi 13 février 2020


La Dernière Vie de Simon

La Dernière Vie de Simon (2019)

Dans son drame, sa tendresse et son infantilisation du rêve, #LaDerniereVieDeSimon résonne comme étant une œuvre intensément profonde qui réveille l’enfant qui est en nous avec une justesse rarement égalée. Un film profond qui va me marquer très longtemps. Un régal !

mercredi 12 février 2020


#JeSuisLà

#JeSuisLà (2019)

J'aime pas beaucoup regarder des films qui ne raconte rien et qui fait l’apologie du harcèlement. C'est pas trop mon dada..

lundi 10 février 2020


L'Extraordinaire Mr. Rogers

L'Extraordinaire Mr. Rogers (2019)

Adulte et plutôt touchant bien qu’un tantinet gênant, #UnAmiExtraordinaire est un film qui ne sait pas où se situer. Entre biopic et film de psychopathe, Marielle Heller met en scène l’inverse de ce qu’elle a voulu dire avec beaucoup de maestria. Foiré, c’est le mot..

vendredi 7 février 2020


Ducobu 3

Ducobu 3 (2020)

Des acteurs à la ramasse, un scénario qui pourrait se résumer en 20 minutes, des longueurs évidentes pour en ressortir avec un mal de crâne. #Ducobu3. On a quand même quelques références plutôt cool et un Eli Semoun tantôt gavant, tantôt hilarant. 2/20, conseil de discipline.

mercredi 5 février 2020


Birds of Prey et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn

Birds of Prey et la fantabuleuse histoire de Harley Quinn (2020)

Coloré et décousu, #BirdsOfPrey est un divertissement très acceptable qui brille dans ses plans mais qui faiblit dans son scénario « à la Deadpool » peu inspiré. Vous avez commande du Harley Quinn, du McGregor, du fun et de l’action : vous allez être servis. Très cool !

mercredi 5 février 2020


Le voyage du Dr Dolittle

Le voyage du Dr Dolittle (2020)

C’est affolant à quel point #Dollitle est gênant en tout point. Film vide de tout sens, écrit avec le cul et réalisé sans aucune forme d’envie. Un calvaire, une horreur, une abomination qui a d’intérêt que.. à non même le casting est mauvais. Passez votre chemin.

mercredi 5 février 2020


La voie de la justice

La voie de la justice (2019)

Émouvant à souhait. c’est en passant les 20 premières longues minutes que #LaVoieDeLaJustice nous hape dans cette terrible injustice qui nous choque mais également nous sensibilise sur de terrible question humaine. Une œuvre touchante avec un Jamie Foxx bluffant. La grosse larme.

mardi 4 février 2020


Coup de foudre à Seattle

Coup de foudre à Seattle (2009)

C’est extrêmement déstabilisant de voir Double Face et Jesus Aniston se séduire et s’aimer comme des enfants de primaire qui découvre l’amour. #LoveHappens c’est tout ce que la comédie romantique peut proposer de pire en terme de scénario mais surtout de relation.. Affreux.

mardi 4 février 2020


The Gentlemen

The Gentlemen (2019)

Frais, moderne et totalement méta, #TheGentlemen c’est LE film qui regroupe tout ce que sait faire Guy Ritchie. Des dialogues réfléchis à la punchline près, des acteurs qui s’éclate, un montage rythmé, une mise en scène qui se réinvente, etc. C’est fort, merci Guy Ritchie.

lundi 3 février 2020


Uncut Gems

Uncut Gems (2019)

Terriblement passionnant, #UncutGems  est fabuleux dans son écriture, sa tension, Adam Sandler ainsi que son montage. De bout en bout on est investi bien que je reste, encore une fois avec les Safdie, extrêmement retissant avec leur esthétique crasseuse.. Palpitant !

samedi 1 février 2020


Waves

Waves (2019)

Absolument fabuleux, #Waves est une claque en pleine gueule qui dans son fond mais surtout dans sa forme surprend chaque seconde pour nous transmettre des émotions fortes et fragiles qui vont nous rester gravés pendant très longtemps. Puissant, très puissant.

vendredi 31 janvier 2020


Rupture fatale

Rupture fatale (2020)

C’est en ce laissant regarder, soyons honnête, que #RuptureFatale arrive à ne pas devenir déplaisant. Mais Tyler Perry se foire dans sa narration.. C’est dans les 30 premières minutes que l’ont comprends la finalité du film, le twist est détruit. Académique, série B pété.

jeudi 30 janvier 2020


Les Traducteurs

Les Traducteurs (2019)

C’est en voulant trop proposer que #LesTraducteurs se casse la gueule. Sans être particulièrement mauvais, le film s’emmêle dans son scénario pour à des moments totalement nous surprendre.. Les bonnes décisions sont aussi des très mauvaises. Pas mauvais et pas bien !

mercredi 29 janvier 2020


Le Lion

Le Lion (2020)

Johnny English bien franchouillard et donc bien ridicule, #LeLion est un film ni drôle, ni passionnant qui ne sais même pas où aller. L’idée même du film vient d’un placement de produit ayant un impact sur le scénario et le climax, j’ai encore plus envie de le détester.

mercredi 29 janvier 2020


Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part

Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part (2020)

Mon dieu que c’est long.. pr rien en plus. Plus le film « avance », plus on a l’impression que ça ne va nulle part. Heureusement que Benjamin Lavernhe est là pour nous intéresser un minimum. Téléfilm/20, des larmes à l’écran, un suicide culte et des problèmes de riches.. Aïe.

mercredi 29 janvier 2020


Dirty Cops

Dirty Cops (2019)

Classique dans son format, #BlackAndBlue à au moins l’originalité d’avoir un message politique bien développé au long du film et quelques scènes fortes. Sauce « Training Day » avec un peu de « Au bout de la nuit », le visionnage fut fort sympathique malgré l’académisme.

mercredi 29 janvier 2020


Adoration

Adoration (2019)

Tendre, envoûtant et cruel, #Adoration dans son onirisme et sa naïveté exprime le saut d’un développement terrible qui blesse là où sa fait le plus mal : l’enfance. Pour le grain, la lumière, les acteurs mais surtout son ambiance, Du Welz donne tout et c’est très puissant.

mardi 28 janvier 2020


Mr & Mme Adelman

Mr & Mme Adelman (2017)

C’est doux, c’est subtil, vraiment bien mené et surtout excellemment bien écrit. Quelques petits problèmes au niveau de la mise en scène (1er film normal) mais une ambition visible, c’est plaisant. Pas mal Bedos !

mardi 28 janvier 2020


Queen & Slim

Queen & Slim (2019)

En voyant la scène d’introduction je m’attendais à une reddit mais #QueenAndSlim est bien plus que ça. Mélange des genres brillant emporté par un Kaluuya juste, le film trip/société juge avec quelques failles, l’amérique affro de l’an X. La route est longue, la fin est proche.

dimanche 26 janvier 2020


Scandale

Scandale (2019)

J’ai particulièrement adoré #Scandale. Sous tension, Jay Roach dénonce et montre des faits beaucoup percutant que les médias. L’art du cinéma arrive à nous immergé dans ce scandale avec beaucoup de finesse et rythme. Un discours implacable, un discours passionnant.

samedi 25 janvier 2020


Chaud devant !

Chaud devant ! (2019)

Film américain familial par excellence, #PlayingWithFire est une comédie absurde, beauf, enfantine et très 2nd degré qui ne passerait pas en France mais John Cena et ce côté feel good arrive à prendre quelques instants. Ça reste (dans sa globalité) tout de même bien potache..

vendredi 24 janvier 2020


Harriet

Harriet (2019)

C’est dans un point de vue trop extrême qu’#harriet développe l’histoire d’Harriet Tubman en voulant peut-être trop se la jouer Django. Référencé, la prestation de Cynthia Erivo surprend et c’est malheureusement la seule chose à sauver de cette œuvre bien trop artificielle.

vendredi 24 janvier 2020


Judy

Judy (2019)

Peut-être trop convenu, #Judy est un biopic sans aucune forme d’originalité que ce soit dans le scénario ou même la mise en scène. Film néanmoins pas désagréable au visionnage hormis un ennui assez cassant qui arrive avant le climax, film à Oscars qui repartira sans rien.

jeudi 23 janvier 2020


Dark Waters

Dark Waters (2019)

Dans ce #DarkWaters, Todd Haynes met en scène avec parcimonie l’aventure de ce laborieux et audacieux avocat. Filmé en crescendo pour devenir un héros, cette ascension est réjouissante tant le rythme est géré à la perfection. Un biopic mouvementé qui satisfait, oh oui !

jeudi 23 janvier 2020


L'Art du mensonge

L'Art du mensonge (2019)

Porté par deux acteurs phénoménaux, #LartDuMensonge est un thriller haletant qui arrive à surprendre dans son scénario tout au long du long-métrage. Entre Allemagne Nazi, Arnaque et Amour : on pense savoir où on va mais au fait pas du tout. Surprenant !

jeudi 23 janvier 2020


Le cas Richard Jewell

Le cas Richard Jewell (2019)

Clint Eastwood mineur, #LeCasRichardJewell aurait mérité plus de tension, de rythme et d’adopter une image peut-être un plus moderne pour adapter cette histoire qui sonnait comme intrigante. Film néanmoins sympathique sur sa globalité mais faible dans son contenu..

jeudi 23 janvier 2020


Jojo Rabbit

Jojo Rabbit (2019)

Tendre et mignon, #JojoRabbit est une expérience de cinéma agréable bien qu’en deçà des attentes que l’ont a pu avoir à l’annonce du projet. Peut-être trop conforme, la satire aurait dû aller plus loin. Les acteurs restes tout de même incroyablement resplendissants !

jeudi 23 janvier 2020


Bad Boys for Life

Bad Boys for Life (2020)

C’est avec un scénario simple que #BadBoysForLife  se crée une nouvelle identité. Film d’action drôle et absolument jouissif, le départ de Michael Bay fait du bien tant les idées de mise en scène paraissent plus stylisées ! Le meilleur #BadBoys a mon avis..

jeudi 23 janvier 2020


Charlotte a 17 ans

Charlotte a 17 ans (2018)

Découvert grâce à @CinemaDurendal , #CharlotteADuFun est un film léger qui arrive à parler d’adolescence sans prendre de risque mais avec beaucoup de légèreté. Film « fun », sincère et musical : on passe un bon moment malgré un classicisme camouflé derrière la forme (B&W).

mercredi 22 janvier 2020


Une fille facile

Une fille facile (2019)

Film ravagé par la grande majorité de ses acteurs, #UneFilleFacile n’est pas entièrement à jeter car les thèmes abordés sont plutôt bien retranscrit à l’écran mais l’ambiance vacances et donc très « Kechiche » m’a laissé bien en dehors de toute cette réalité sublimée.

mercredi 22 janvier 2020


The Grudge

The Grudge (2019)

J'ai quitté la salle avant la fin, c’était insoutenable.

mardi 21 janvier 2020


Le lac aux oies sauvages

Le lac aux oies sauvages (2019)

Poétique mais surtout magnifique, #LeLacAuxOiesSauvages est un beau petit thriller qui visuellement propose des plans parfaitement composés mais qui dans son rythme est plombé par 30 minutes de brassage qui sort et qui malheureusement désintéresses ! Décevant.

mardi 21 janvier 2020


Selfie

Selfie (2019)

Avec un format "film" peut adapter au propos, #selfie reste avec des propositions d'histoires intéressantes qui ne brillent jamais assez a cause d'un humour bien trop souvent lourd et un enchaînement assez longue. Quelques récits sortent du lot tout de même.

jeudi 16 janvier 2020


Swallow

Swallow (2019)

Absolument abjecte, #Swallow représente le dégoût par l’image et par ses personnages vide de sens qui s’entête à se faire du mal à eux et aux spectateurs. Une œuvre qui ne sait pas où aller mais avec un propos de base plutôt intéressant, ce film aurait dû être autre chose.

mercredi 15 janvier 2020


Une belle équipe

Une belle équipe (2020)

Totalement convenu, #unebelleequipe tente d’émouvoir mais l’intérêt porté à la narration et au personnage devient inexistant chaque scène tant les éléments perturbateur paraissent facile voir incohérent. Le film se termine dans le non-intérêt total.

mercredi 15 janvier 2020


1917

1917 (2019)

‪En deux gros plans-séquences bien différents, #1917Film développe une ambiance, une tension qui fascine. Au-delà du pari technique, l’œuvre respire la première guerre, brille par ces décors et nous choque par son réalisme. Grandiose, Spectaculaire, Prenant.‬

mercredi 15 janvier 2020


Les vétos

Les vétos (2019)

Beau, #LesVetos respire la sincérité et l’envie de rendre cette histoire touchante. Le film brille en partie par le charme resplendissant de Noémie Schmidt et d’un Clovis Cornillac en grande forme. Un film doux qui nous rappelle que les animaux sont nos amis.

mardi 14 janvier 2020


4 mois, 3 semaines, 2 jours

4 mois, 3 semaines, 2 jours (2007)

Terrifiant à souhait, #4mois3semaines2jours est une œuvre dramatique qui dans son réalisme et sa paranoïa nous fais ressentir un stress constant qui fera jalouser 90% des productions horrifiques mondiales. Une réelle claque qui ne laissera personne indifférent.. Masterpiece.

lundi 13 janvier 2020


Underwater

Underwater (2020)

C’est avec des bonnes et des mauvaises idées qu’#UnderWater arrive à se créer une identité avec toutes ces références. Entre film catastrophe et le film d’horreur claustrophobe : la peur est là, le gigantisme aussi. Un divertissement notable qui n’a rien de novateur..

dimanche 12 janvier 2020


The Dinner

The Dinner (2010)

Les américains ont cette fameuse manie de tout expliquer et de tout tourner en blagues salaces. #TheDinner le remake du « Dîner de Con » ne déroge pas à la règle. C’est horrible.

samedi 11 janvier 2020


Polly et moi

Polly et moi (2004)

Philip Seymour Hoffman est dedans, heureusement. #PollyEtMoi c’est de l’humour un peu mou qui fonctionne 1x/3 et une romance très peu crédible. Film plat qui se mange sans prétention.. La scène de la chiasse est juste mythique.

vendredi 10 janvier 2020


The App

The App (2019)

Mélange hybride entre Nerve & Countdown, #TheApp n’a que pour parfaite similitude sa qualité médiocre. Le jeu des acteurs est constamment en accord avec la mise en scène faible voir abjecte (sur certaines scène) d’Eliza Fuksas. Bonne idée à noter pour le final mais.. argh aussi.

mardi 7 janvier 2020


L'Adieu (The Farewell)

L'Adieu (The Farewell) (2019)

Ravageur de l’âme & générateur de mauvaise pensée, #TheFarewell dans son sujet si commun nous bouleverse et nous bloque dans ce qu’on pensait déjà vaincu.. Les mauvais souvenirs remontent, l’écriture nous prends aux tripes, face à cette sincérité : les larmes coulent.

lundi 6 janvier 2020


First Love, le dernier yakuza

First Love, le dernier yakuza (2019)

Déroutant mais d’un autre côté jouissif, #FirstLove dans sa finesse d’écriture arrive à nous transporter dans un univers mixant le réalisme des personnages au fantastique des séquences pour donner forme un OVNI qui prends toutes ses formes lors de son climax. Arigato gozaimasu !

lundi 6 janvier 2020


Andy

Andy (2019)

Mon intérêt à voir ce film était déjà nul, mon intérêt à avoir regardé ce film est toujours le même. Le film se repose sur un postulat qu’on te montre dans la bande-annonce, ce postulat tu l’as pendant exactement 5 minutes sur tout le long-métrage. Bref, c’est vide.

samedi 4 janvier 2020


Manhattan Lockdown

Manhattan Lockdown (2019)

Loin d’être désagréable, #ManhattanLockdown reste bien loin d’être un film d’action ambitieux surtout dans son scénario ‘déjà-vu’. Après il fait les choses proprement, des fusillades crédibles, des acteurs convaincants. Dans le genre, rien à dire.

samedi 4 janvier 2020


Play

Play (2019)

Émouvant et réjouissant à souhait, #Play nous envoie une dose de bonheur et de nostalgie sans difficulté tout en étant la preuve ultime que nous n’avons pas besoin de budget pour raconter une histoire, notre histoire. Un film beau et compliqué comme la vie.

samedi 4 janvier 2020


The Witcher

The Witcher (2019)

Épique à souhait, #TheWitcher  nous transporte dans un univers intrigant et vaste qui d’épisode en épisode nous happe dans cette mystique inédite sublimée par ses personnages mais surtout par sa musique ensorcelante. Pas dénué de défaut, un plaisir monstre.

jeudi 2 janvier 2020


Rendez-vous chez les Malawas

Rendez-vous chez les Malawas (2019)

Cartoonesque au possible, #RendezVousChezLesMalawas ne déroge pas à la filmographie de James Huth mais cette parodie n’est malheureusement pas un film : c’est un best-of des meilleurs gags des Looney Tunes. Délirant bien qu’inintéressant : à voir alcoolisé si possible !

lundi 30 décembre 2019


Marriage Story

Marriage Story (2019)

Dans son naturel, #MarriageStory peut surprendre. Mais la où le scénario est d'un réaliste fou et accentue mon dégoût pour le mariage, la réalisation elle est tout l'inverse. Noah Baumbach veut nous montrer que ces acteurs sont extraordinaires et donc force dans sa mise en scène.

dimanche 29 décembre 2019


6 Underground

6 Underground (2019)

Pourquoi tout le monde s’est pignoler sur la scène d’intro de #6Underground ? 20 minutes de montage ultra-cut, de l’humour beauf et débile, des flashs, des explosions, etc.. Bref ! Le Michael Bay que tout le monde critiquait dans Transformers se fait aduler pour la même merde.

samedi 28 décembre 2019


You

You (2018)

Jouant entre différents genres, #YouSaison2 n’a rien de lassant bien un contraire : il est innovant et apporte plusieurs nouveautés au concept. Frais, drôle et toujours efficacement écrit, Joe Goldberg devient attachant et on se demande si c’est nous, spectateur, le sociopathe.

samedi 28 décembre 2019


Victor et Célia

Victor et Célia (2019)

C’est dans la relation peu subtile mais d’une vérité vraiment bien retranscrite que #VictorEtCelia arrive à nous investir un minimum et à s’attirer une sympathie qui n’est pas à oublier. A partager autour de petits gâteaux et d’un petit café : parfait à l’heure du goûter.

mardi 24 décembre 2019


Un Couteau dans le cœur

Un Couteau dans le cœur (2018)

Entre un jeu d’acteur absolument abjecte, une brutalité dans le propos proche du malsain et du malaise : #UnCouteauDansLeCoeur est une horreur qui tel un corbeau, va vous dévorer jusqu’à votre âme. Je ne me suis pas senti vivre durant ce visionnage.. Je subissais.

lundi 23 décembre 2019


The Report

The Report (2019)

C’est dans cette enquête, qui peut nous rappeler les meilleurs épisodes de série policière que #TheReport nous embarque dans un périple fort qui même avec peu de consistance en terme de mise en scène arrive à nous investir humainement et émotionnellement. Adam Driver.

samedi 21 décembre 2019


Star Wars : L'Ascension de Skywalker

Star Wars : L'Ascension de Skywalker (2019)

#LAscensiondeSkywalker est d’une connerie, on peut limite le considérer comme un chef d’œuvre dans le genre !

mercredi 18 décembre 2019


Lucy in the Sky

Lucy in the Sky (2019)

Hors du temps, #LucyintheSky est l’incarnation même du film spatial.. Voué au rêve d’une vie et à la poésie post-aventure le film l’exprime à travers une Natalie Portman qui ne cesse de se réinventer et son cadre qui lui nous surprend au fur et à mesure du film. Bloqué.

mardi 17 décembre 2019


Black Christmas

Black Christmas (2019)

On est quand même en présence du film parfait pour prouver les méfaits du féminisme extrémiste dans la culture poulaire. Poussif, incohérent et surtout inintéressant : #BlackChristmas est un film à boycotter voir même à oublier tant ses messages et sa forme sont détestables.

jeudi 12 décembre 2019


Docteur ?

Docteur ? (2019)

Aie, j'ai bobo ! Ne vous inquiétez pas, j'ai du protoxyde d'azote.

mercredi 11 décembre 2019


Brooklyn Affairs

Brooklyn Affairs (2019)

‪C’est avec de grosses longueurs et quelques incohérences dans les dialogues qu’Edward Norton nous livre avec #BrooklynAffairs un thriller néanmoins haletant qui de part son antagonisme arrive à nous investir et à nous impliquer ne serait-ce un minimum. La déception est folle.. ‬

jeudi 5 décembre 2019


Jumanji : Next Level

Jumanji : Next Level (2019)

Inventif et neuf, #JumanjiTheNextLevel se révèle être une suite qui a du cran et qui pousse le concept jusqu’à ses limites pour notre plus grand plaisir. Toujours aussi drôle dans son écriture, la mise en scène est devenue plus variée, plus dense, plus épique. UP !

mercredi 4 décembre 2019


À couteaux tirés

À couteaux tirés (2019)

Prévisible tout de même, #ACouteauxTires reste une œuvre intrigante et passionnante transportée par des acteurs qui s’amusent et un scénario qui ne va pas nul part bien qu’il va nous endort à certains moment.. Retour mitigé + pour un film quand même + que -.

jeudi 28 novembre 2019


La Reine des neiges II

La Reine des neiges II (2019)

Agaçant au possible #LaReinedesNeiges2  peut au moins exister dans nos têtes à cause d’un air répétitif et vide malheureusement comme le film.. L’animation des décors est magnifique mais le cara-design classique de chez Disney est d’une laideur qui en ai presque dérangeante. Aïe.

jeudi 28 novembre 2019


Toute ressemblance…

Toute ressemblance… (2019)

En plus d’être d’une modernité folle, #TouteRessemblance est actuel, jeune et dynamique. Pour sûr le meilleur rôle de Dubosc au cinéma, un personnage complet et complexe qui pousse la mise en scène a être au même niveau. Une bonne surprise !

mercredi 27 novembre 2019


Les Misérables

Les Misérables (2019)

C’est dommage que le jeu un peu trop robotique des enfants et que la première partie du film soit un chouïa lambda car #LesMiserables est un film coup de point qui brille et qui va marquer par son trio de tête mais surtout par ses 30 dernières minutes d’excellence. Crescendo.

mercredi 20 novembre 2019


Little Joe

Little Joe (2019)

Little Joe, Tall Shit.

mardi 19 novembre 2019


J'ai perdu mon corps

J'ai perdu mon corps (2019)

Fabuleux, #JaiPerduMonCorps dans toute sa poésie nous transporte dans une histoire de sens et de relation passionnante magnifiée par une esthétique unique. Rien de plus mis à part qu’il faut aller voir cette perle pour le bien de vos yeux, vos oreilles et votre imagination.

mardi 19 novembre 2019


Furie

Furie (2019)

‪Jusqu’au-boutiste, #Furie dans sa longue et poignante critique de notre société décadente nous immerge dans un contrôle psychologique incontrôlable où plusieurs axes se dessinent pour dénoncer, choquer et faire peur à un public en quête d’une certaine jouissance. Bijou. ‬

mardi 19 novembre 2019


Dora et la cité perdue

Dora et la cité perdue (2019)

‪Tout en étant fidèle au dessin animé, #DoraEtLaCitePerdue en est également un parodie sauce pastiche assez plaisante qui dans sa débilité nous fait passer un moment agréable. A noter tout de même des acteurs peu convaincants et une ambition qui s’arrête juste à la forme.. ‬

lundi 18 novembre 2019


Countdown

Countdown (2019)

On peut vite partir sur la conclusion « le concept était bon mais le film est vide » mais même avec cette critique ce serait trop complimenter #Countdown tant le scénario est d’une débilité profonde. 16 jumpscare au compteur, 30 mauvaises idées et une finalité impossible.. Aïe.

jeudi 14 novembre 2019


J'accuse

J'accuse (2019)

Je ne peux que tirer mon chapeau face à cette œuvre historique et minimaliste qu’est #Jaccuse, à travers un scandale à en dormir debout durant mes années lycées, Polanski nous transporte et nous passionne dans cette reconstitution qui brille sur tout les faits. A voir !

jeudi 14 novembre 2019


Le Mans 66

Le Mans 66 (2019)

Non seulement une histoire complètement folle, #LeMans66  est également un film de voiture qui prouve à quel point Fast & Furious, Need For Speed, etc. foire leur objectif là où Mangold avec une simple idée peut pondre l’un des films qui m’a le plus éclaté en salle.

samedi 9 novembre 2019


Midway

Midway (2019)

Dans les codes, #Midway réussit ce que Pearl Harbor avait échouer. Dans cette tension (presque) constante, Emmerich nous montre sa vision dantesque de cette mémorable bataille avec quand même quelques longueurs qui peuvent nous sortir complètement de la narration. Épique.

vendredi 8 novembre 2019


Sous un autre jour

Sous un autre jour (2017)

La profondeur, l’émotion et la simplicité en moins, #TheUpside sous ses aspect « américanisé » n’est peut-être pas de la même facture que #Intouchables mais n’en est pas moins qu’une relecture satisfaisante et délicate de cette fabuleuse histoire.

vendredi 8 novembre 2019


La Belle Époque

La Belle Époque (2019)

Dans une mise en abyme parfaitement compté, Bedos avec #LaBelleEpoque nous envoie l’envie d’aimer et de se rappeler du passé sans franchement se porter sur le présent plutôt sombre de ses protagonistes. Un pari osé sans conséquences qui s’apprécie mais pas assez à mon sens..

jeudi 7 novembre 2019


Mon Chien Stupide

Mon Chien Stupide (2019)

Pur film de cinéma, #MonChienStupide peut se lire rien qu’avec sa mise en scène maîtrisée et saisissante au possible. Quand la dépression se transforme en un périple satirique, la vie nous offre un moment lassant auquel on se rend compte qu’on ne peut plus faire sans. W-Ouf.

mercredi 6 novembre 2019


Stuber

Stuber (2019)

Un tantinet lourdingue, #Stuber est un buddy-movie dans tout ce qui a de plus classique sans forcément rentrer dans la purge attendue. Divertissement convenable, on apprécie le moment sans forcément vouloir le retenir. Un film 2 étoiles qui ne touchera jamais la barre des 5.

vendredi 1 novembre 2019


Brightburn - L'enfant du mal

Brightburn - L'enfant du mal (2019)

C’était très bien #Brightburn ! Vous savez mon amour pour les films pessimistes et les films d’horreur à caractère original. Et bah celui là rassemble avec brio les deux, gros coup de cœur, une petite pépite !

samedi 26 octobre 2019


Mektoub, My Love: Canto Uno

Mektoub, My Love: Canto Uno (2017)

Filmez de la merde : ce sera bien mieux que ce film.

samedi 26 octobre 2019


The Amazing Spider-Man : Le Destin d'un héros

The Amazing Spider-Man : Le Destin d'un héros (2014)

Marc Webb nous a pondu le meilleur spiderman à mes yeux et celui le plus attachant. Chaque plan est un fond d’écran, chaque personnage est une réalité et chaque phrase à un sens. C’est beau, c’est simple !

samedi 26 octobre 2019


Anna

Anna (2019)

La france ne mérite pas @lucbesson , il ne manquera jamais de me surprendre. #Anna est un bijou, dans un bijou, dans un bijou. Tel une poupée russe, on arrive à atteindre le centre sans jamais passer d’obstacle douteux. Une parfaite maitrise du genre, un exemple, du génie.

samedi 26 octobre 2019


Beaux-parents

Beaux-parents (2019)

#BeauxParents où une comédie française correct qui sait jouer avec ses divers quiproquos pour nous faire passer un bon moment avec quelques sincère rigolades ! Après ça reste une comédie française mais au moins, celle là, vous pouvez la voir.

samedi 26 octobre 2019


Le Roi Lion

Le Roi Lion (2019)

J’ai jamais vu un film avec aussi peu d’âme.

samedi 26 octobre 2019


Un grand voyage vers la nuit

Un grand voyage vers la nuit (2018)

Œuvre immersive et maîtrisée, « Un grand voyage vers la nuit » est un drame fort et surtout révolutionnaire avec une deuxième partie qui nous hypnotise.

samedi 26 octobre 2019


Ánimas

Ánimas (2018)

C’est avec un style très Giallo que ce thriller espagnol (#Animas) nous propose une histoire originale parsemée de magnifique plan qui renforce l’idée d’une identité propre à l’univers. Chef d’œuvre absolue disponible sur Netflix !

samedi 26 octobre 2019


Crawl

Crawl (2019)

Sous tension, #Crawl est une œuvre qui a les crocs. Elle pose une ambiance unique en son genre pour surprendre le spectateur. Maitrise malgré quelques faiblesses d’écriture, Aja déploie son génie pour faire un film d’horreur génial.

samedi 26 octobre 2019


La Vie scolaire

La Vie scolaire (2019)

Léger et vrai, #LaVieScolaire est un film classique alimenté de A à Z par une mise en scène/réalisation à en tomber par terre. Couillu.

samedi 26 octobre 2019


La Grande Classe

La Grande Classe (2019)

Bien que sympathique bien que légèrement lourd et convenu, #LaGrandeClasse ne m’a surpris que par son dernier plan vraiment bien pensé.

samedi 26 octobre 2019


Un jour de pluie à New York

Un jour de pluie à New York (2019)

Tendre et drôle, #UnJourDePluieaNewYork est un très bon Woody Allen qui s’amuse avec ses gimmicks sans rentrer dans l’auto-caricature. Timothée Chalamet et Selena Gomez en ressorte grandi devant une Elle Fanning en sur jeu total. Un moment de cinéma mémorable !

samedi 26 octobre 2019


Grave

Grave (2016)

Film inclassable mais pourtant extrêmement abordable, #Grave est un film unique qui 2 ans après la claque en salle a réussi à me mettre K.O ! Drame horrifique intelligent porté par une Garance Marillier fantastique, je ne vais jamais me lasser de voir tout ce sang couler..

samedi 26 octobre 2019


Lucky Day

Lucky Day (2019)

Hors normes et surprenant, #LuckyDay est un petit fourre-tout qui devient instantanément un gros délire bien plaisant à regarder. Face à cet œuvre vous allez trouver de quoi vous sustenter et vous investir. Une petite pépite à regarder de préférence avec une bière et des potes !

samedi 26 octobre 2019


Rambo : Last Blood

Rambo : Last Blood (2019)

Parfaite conclusion à la saga de mon enfance, #RamboLastBlood est un film rempli de bonne volonté et (surtout) destiné aux fans du personnage. Avec une action bien violente, une écriture simple et touchante, John Rambo en sort grandi et attachant et c’est tout ce qui compte.

samedi 26 octobre 2019


Le dindon

Le dindon (2019)

Lourdingue et abruti, #LeDindon est une absurde mise en perspective des quiproquos écrit par un Jalil Lespert et un Guillaume Gallienne inspirés dans leurs histoires mais pas drôle dans leurs écritures. Les acteurs sont en sûr-jeu, le tout parait si redondant qu’on se fait chier.

samedi 26 octobre 2019


J'irai où tu iras

J'irai où tu iras (2019)

Long et sans forcément d’intérêt, #JiraiouTuiras est une comédie dramatique sous signe de bromance qui aurait pu fonctionner tant les dialogues sont maîtrisés mais on recherche encore la morale tellement le film part dans tout les sens durant ses 2 premiers actes.

samedi 26 octobre 2019


Gemini Man

Gemini Man (2019)

Divertissant, #GeminiMan est un film d’action moderne qui se la joue a l’ancienne (ce qui n’est pas pour me déplaire). Dans la simplicité scénaristique on arrive à s’identifier pour contempler une prouesse brouillonne mais certainement jouissive dans son format d’origine.

samedi 26 octobre 2019


Matthias & Maxime

Matthias & Maxime (2019)

Beau mais confus, #MatthiasEtMaxime respire une certaine sincérité qui ne peux exploser tant son histoire l’étouffe. Scénario bête et surtout méchant, la réalisation ne peux rester simple outil de contemplation quand le sujet mis bout à bout paraît si peu cohérent. Maladroit.

samedi 26 octobre 2019


La Vérité si je mens ! Les Débuts

La Vérité si je mens ! Les Débuts (2019)

Au dessus de la purge attendu, #LaVeriteSiJeMensLesDebuts possède pleins de bonnes attentions qui arrive à rendre le visionnage appréciable. Là où tout est déjà-vu, la nouvelle bande d’acteur et les running gag réussissent à nous faire rire sans forcément opprimer quiconque.

samedi 26 octobre 2019


Wounds

Wounds (2019)

Sans manquer de bonnes idées notamment dans l’écriture, #Wounds est un film qui manque d’ambition tant le postulat était novateur. Avec deux premiers actes qui tiennent la route, le 3ème reste néanmoins incompréhensible. Quoi de mieux pour un film que de foirer son climax ?

samedi 26 octobre 2019


Living with Yourself

Living with Yourself (2019)

Saisissant, #LivingWithYourself porté par un brillant Paul Rudd est une réflexion sur la société mais également une ode au bonheur qui nous touche et qui nous fait passer par diverses émotions sans difficulté. Greenberg maîtrise son sujet au travers d’un montage plutôt osé.

samedi 26 octobre 2019


Persona non grata

Persona non grata (2019)

Inintéressant, Persona Non Grata nous plonge dans une intrigue perdue et poussive dirigée par un Roschdy Zem omniprésent (bien que feignant derrière la caméra et à l’écran) et secondé par des acteurs bien trop souvent cantonné au même rôle. 1h30 d’histoire inutile.

vendredi 25 octobre 2019


The Laundromat : L'affaire des Panama Papers

The Laundromat : L'affaire des Panama Papers (2019)

Foutraque et mal dosé, The Laundromat est un oscillement des genres qui malheureusement ne vaut pas le coup. Pauvre Soderbergh !

vendredi 25 octobre 2019


Daybreak

Daybreak (2019)

Vide et beaucoup trop doudou, le premier épisode ne m’a vendu qu’effets spéciaux et humour vieux d’y a 20 ans. DayBreak ? My Ass !

vendredi 25 octobre 2019


The Forest of Love

The Forest of Love (2019)

Le chaos se ressent dans la diégèse et les heures après le visionnage tant Sono Sion réussit à fournir un film fort et philosophique.

jeudi 24 octobre 2019


Terminator : Dark Fate

Terminator : Dark Fate (2019)

C’est fun, c’est bon, c’est sympa mais c’est quand même anecdotique.

jeudi 24 octobre 2019


Queens

Queens (2019)

L'une des meilleures scènes de strip-tease de l'histoire du cinéma est présente dans ce film.

lundi 21 octobre 2019


Celle que vous croyez

Celle que vous croyez (2019)

Frais et puissant, #CelleQueVousCroyez nous transporte dans cette romance impossible pour en sortir troublé et admiratif du travail de Safy Nebbou mais surtout du jeu de Juliette Binoche et François Civil qu’on ne présente plus. Beau, magnifique, poétique : une claque infinie !

vendredi 18 octobre 2019


The Beach Bum

The Beach Bum (2019)

Hypnotisant, #TheBeachBum nous emporte dans la vie d’un artiste camé en deuil et en recherche d’inspiration avec beaucoup de facilité et de compréhension. Korine nous transporte avec ses images malgré une musique omniprésente qui peut nous sortir du récit.

vendredi 18 octobre 2019


The Perfection

The Perfection (2018)

Allégorie maîtrisée du succès, Shepard frôle l’excès mais repousse ses limites pour livrer un film parfois fouillis mais jamais idiot.

vendredi 18 octobre 2019


Zombi Child

Zombi Child (2019)

Bonello signe ici une œuvre incompréhensible qui se perd dans ses inspirations mais surtout dans son genre trop subtil. Paix à Tourneur !

jeudi 17 octobre 2019


Captive State

Captive State (2019)

Captive State n’a dans son scénario que répétitions et déjà-vu malgré un synopsis avec la capacité d’être novateur.

jeudi 17 octobre 2019


Share

Share (2019)

Vrai et troublant, Share arrive tranquillement à nous choquer de la génération adolescente en restant subtile et surtout réaliste.

jeudi 17 octobre 2019


Euphoria

Euphoria (2019)

Sincèrement, j'ai jamais vu une série me prendre autant aux tripes que Euphoria. Un coup de coeur à regarder absolument !

mardi 17 septembre 2019