critique | 26 mai 2022
Body Is Reality
Retour à chaud sur le nouveau Cronenberg qui revient au body horror
Par JuDeMelon
[@Kube] Quel Crime ? Celui de l'art ? Du Sexe ? Non. Les vrais crimes que l'on s'inflige sont ceux du plaisir sensuel de nos tripes, la destruction de notre beauté intérieure. L'évolution ? Voilà où l'on fonce : nous deviendrons tous des tortues, ingurgitant nos déjection. 🫀
Date de sortie française : 25 mai 2022
Durée : 1h47
Réalisateur : David Cronenberg
Musique : Howard Shore
Alors que l’espèce humaine s’adapte à un environnement de synthèse, le corps humain est l’objet de transformations et de mutations nouvelles. Avec la complicité de sa partenaire Caprice, Saul Tenser, célèbre artiste performer, met en scène la métamorphose de ses organes dans des spectacles d’avant-garde. Timlin, une enquêtrice du Bureau du Registre National des Organes, suit de près leurs pratiques. C’est alors qu’un groupe mystérieux se manifeste : ils veulent profiter de la notoriété de Saul pour révéler au monde la prochaine étape de l’évolution humaine…
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critique | 26 mai 2022
Retour à chaud sur le nouveau Cronenberg qui revient au body horror
Par JuDeMelon
critique | 02 juin 2022
petite critique avec et sans spoilers
Par harryarnoldi91
critique | 26 mai 2022
Retour sur le nouveau David Cronenberg qui revient enfin au body horror !
Par JuDeMelon
critique | 28 mai 2022
Cartographie du chaos
Par fatal_horror
D'abord, noter le film tu dois !
Et ton pitch écrire tu pourras
geographe
Cronenberg revient au body horror. Programme alléchant sur le papier mais qui se transforme en compilation d'autocitations et d'auto-congratulations. Tout est surligné et asséné ad nauseam et, le comble, désincarné et très satisfait de lui-même. Une autoparodie pitoyable.
Kube
Quel Crime ? Celui de l'art ? Du Sexe ? Non. Les vrais crimes que l'on s'inflige sont ceux du plaisir sensuel de nos tripes, la destruction de notre beauté intérieure. L'évolution ? Voilà où l'on fonce : nous deviendrons tous des tortues, ingurgitant nos déjection. 🫀
Julien JVIP
J'ai bien aimé l'univers présenté ainsi que l'ambiance globale du film. Cependant, pour le reste, je trouve le scénario confus, le rythme trop lent et les thématiques difficile à cerner. Au final je trouve l'ensemble intriguant mais trop métaphorique pour vraiment rentré dedans.
Aurélien BoucherVIP
Un très bon film de David Cronenberg avec un scénario de science fiction sombre et comportant des scènes sensuelles assez dures à regarder. Avec une très bonne ambiance et un très bon casting avec en tête Viggo Mortensen.
Fatal_horror
Malgré une intrigue reléguée au second plan, le long-métrage n'en demeure pas moins une proposition singulière, fascinante par instants, et passionnante à bien des égards qui devrait au moins satisfaire ceux qui d'ordinaire apprécient le réalisateur
Francompagnie
Trop perché et chiant pour moi, mais doit surement trouver ses fans à la Biennale de Berlin.
Neo CosmicVIP
J’ai hésité à mettre « j’aime beaucoup » car j’ai été plus que largué par l’histoire. Mais, le retour à la body horror de Cronenberg et ses thématiques des transformations du corps reste impressionnant. Grosse déception sur le sous-emploi de Kristen Stewart face à notre Léa
Coralie Henriet
J'ai eu envie de le voir grâce au titre. La bande annonce m'a fait changer d'avis.
La description d'amis l'ayant vu m'a de nouveau donné envie d'y aller. Pas pour l'œuvre elle même mais parce que les détails qu'on m'a donné étaient abstraits.J'y suis allé.
À vous de juger....
Cinephile59VIP
Dérangeant comme j'aime
Les Bisseries
Retour (enfin) à un body horror frontal et de sulfureux, quelque part entre Crash, Faux Semblants et Existenz. Le concept de départ léger et déjà-vu devient trop lourd/verbeux pour intéresser sur la durée, malgré la réflexion sur la filmo du canadien. Restent de bons acteurs...
@jambonpuree
Pas vu de Cronenberg depuis un moment, donc retour avec un body horror, la science, l'organisme....bref en terrain connu. Après, dommage je suis resté perplexe, pas vu où ça vous voulait aller. Bons acteurs, K. Stewart notamment (à part Léa Seydoux, mais la c'est perso)
Ti Julius
Un Cronenberg organique, comme toujours, mais peut-être plus crépusculaire qu'à l'accoutumée, obsédé par la fin, la vieillesse, le transhumanisme. Les machines semblent tirées d'Existenz, et ont assez mal vieilli.