[@Shermie] L'idée de base était intéressante : les débuts d'un tueur en série, qui commence très maladroitement, et son évolution...mais les coupures permanentes qui se veulent intellectuelles et artistiques, coupent juste le rythme et l'action et rendent le film chiant au possible...
États-Unis, années 70. Nous suivons le très brillant Jack à travers cinq incidents et découvrons les meurtres qui vont marquer son parcours de tueur en série. L’histoire est vécue du point de vue de Jack. Il considère chaque meurtre comme une œuvre d’art en soi. Alors que l’ultime et inévitable intervention de la police ne cesse de se rapprocher (ce qui exaspère Jack et lui met la pression) il décide — contrairement à toute logique — de prendre de plus en plus de risques. Tout au long du film, nous découvrons les descriptions de Jack sur sa situation personnelle, ses problèmes et ses pensées à travers sa conversation avec un inconnu, Verge. Un mélange grotesque de sophismes, d’apitoiement presque enfantin sur soi et d'explications détaillées sur les manœuvres dangereuses et difficiles de Jack.
Plateformes où le film est disponible
Dans cette section, on te propose de savoir où le film The House That Jack Built est disponible.
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D'abord, noter le film tu dois !
Et ton pitch écrire tu pourras
@Pixelboy
Lars Von Trier nous plonge dans l'esprit d'un monstre parfaitement à sa place dans un monde sans espoir. Le film est sombre, macabre. Il choque et divise forcément. Peut être un peu racoleur ? La performance de Matt Dillon est démente, digne de celle d'un J.Phoenix dans Joker.
@Bomask
Une fascinante plongée dans la tête d'un tueur en série qui se différencie des autres films du genre par le style de Von Trier
Neo CosmicVIP
Lars Van Trier a le don de faire des films aussi moralement dérangeants que fascinants. The House That Jack Built rentre dans cette catégorie en étant vraiment bien réalisé (malgré des scènes assez limites durant le final) et parfois onirique. Tuer c'est mal m'voyez ?
Laure
L'idée de base était intéressante : les débuts d'un tueur en série, qui commence très maladroitement, et son évolution...mais les coupures permanentes qui se veulent intellectuelles et artistiques, coupent juste le rythme et l'action et rendent le film chiant au possible...
Francompagnie
Encore une branlette narcissique de Lars von Trier, monotone comme un après-midi à la biennale de Berlin un jour de pluie. Faut-il crier au génie à chaque fois qu'un illuminé visiblement torturé filme ses obsessions avec des plans merdiques et laids ?
Dolores
Lars Von Trier ne comprend pas que le "choquer pour choquer" n'est plus un argument artistique. Vulgaire et prétentieux, son film est vide.
@detys
Si tu voulais choquer le spectateur (c'est-à-dire moi) c'est raté !