À la place de Dieu ils mangeront, une lueur chaude caresse tendrement son visage glacé d'effroi. Une histoire de mères réparatrices.

La vie, la mort... Les frères d'abord. L'apprentissage passe part le vécu, la haine se dissipe dans la cité des âmes perdues.

Le démon vampirise la jeunesse, les horreurs de la beauté se figent. Quand la mode devient mortifère, éternel sera l'enfer.

Rouge à lèvre sur mégot déposé, comme une trace du passé sans cesse ressassée. Le destin presque pardonné.

Voyage imaginaire, fantasmes refoulés. L'amour et la cruauté s'entrelacent sous un voile sexuel d'une froideur sans égale.

Fresque dantesque, il n'y a donc ni bien ni mal qui triomphe au royaume des fous. La mort approche, seul les vautours resteront.

Ces hommes cachés sous la jupe des roseaux, perdurent dans cette brume épaisse et n'en sortirent jamais. Rendez-vous dans l'autre monde.

Prendre la moralité dans tous les sens, les fantômes du passé dansent. Errer sur le chemin de Damas pour enfin trouver sa place.

Le sabre affûté, embrasse la chair et le sang. La chair et le sang d'un être immortel. L'immortalité, ce flux dans l'âme, intemporel.

Le cœur triste dans la vallée, protégé dans sa forteresse noire. Eva, ultime foyé de l'âme, noyé de souffrance par un ciel rouge sanguin.

La culpabilité comme unique peur du passé où seule, demeure l'ignorance des faux-semblants. Mimétisme d'une maladie inguérissable.